Plainte en Déontologie Policière contre la Communauté Urbaine de Montréal le 20/03/97 à 14 h 20 !

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Commissaire
à la déontologie
policière
1200, Route de l'Église, RC.20
Sainte-Foy (Québec) G1V 4Y9
Téléphone : (418) 643-7897
Télécopieur : (418) 528-9473
Plainte
PLAIGNANT(E) Note: La loi prévoit que toute plainte doit être formulée par écrit.
NOM: Bourassa-Lacombe PRÉNOM: Serge Joseph Adrien DATE DE NAISSANCE: 20 juin 1957 09:12
ADRESSE: 103, Rue Oxford-Crescent #105, Lennoxville (Québec) Canada J1M 2G3
Téléphone (rés.) (819) 566-4951
 
Je désire me plaindre de la conduite des policiers(ères) ou constables spéciaux suivants:
NOM DU CORPS POLICIER CONCERNÉ CUM POSTE: ?
 
DATE DE L'INCIDENT À L'ORIGINE DE LA PLAINTE: 1995 08 16
Généralement, le délai pour déposer d'une plainte est de deux ans à compter de la faute reprochée.
 
LIEU DE L'INCIDENT (Municipalité, route...)
Université du Québec à Montréal (voire UQAM) St-Denis et Ste-Catherine
NATURE DE LA PLAINTE
Résumez l'incident et expliquez vos reproches. Si vous reprochez aux policiers(ères) ou constables spéciaux des propos injurieux, obscènes, blasphématoires, discriminatoires ou irrespectueux, veuillez s.v.p. rapporter les mots employés aussi exactement que possible.
 
En cette journée du 16 août 1995, je me rappelle qu'il faisait beau et je pense que j'étais en début d'après-midi, cette précision étant entreposée aux États-Unis. Vous, commissaire à la déontologie policière vous pourrez découvrir lors de votre enquête cette précision manquante.
 
J'étais à vélo de montagne GT Avalanche, je le cadenasse sur la rue Ste-Catherine entre les rues St-Denis et Berri. Je me dirige amicalement vers les bureaux de droit de l'Université du Québec à Montréal (voire UQAM), car je sais que les professeurs qui enseignent le droit dans toutes universités sont avocat et/ou notaire. Je m'adresse à la réceptionniste du département lui faisant part de mon désir de rencontrer un professeur pour obtenir une guidance juridique afin de savoir qu'est-ce que je peux faire dans la cause du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke), soit l'endroit où deux professeurs pour me priver de me rendre en Floride comme stagiaire en technique santé animale dans les chevaux de course ont pris les grands moyens i.e. de me projeter comme une espèce de Marc Lépine en devenir. Moi qui n'avais jamais eu cela dans la tête, moi qui toute ma vie a aider le plus faible que moi au lieu de le détruire lui disais-je d'un ton des plus calme.
 
Cette dame s'informa devant moi et me dit qu'il n'y avait aucun professeur de présent au moment auquel je passais par-là. En vélo j'y étais venu, je transportais donc mon casque de vélo d'une main et mon sac de vélo de l'autre. Qui plus est, j'étais vêtu comme un cycliste professionnel. En ce temps là, je m'attabla dans une cafétéria désertique car les étudiants n'avaient pas encore commencer. Je m'assoyais pour écrire car je suis écrivain.
 
Un gardien de sécurité est venu vers moi, puis un autre, puis un autre arriva. Le premier me demande si je peux m'identifier. Ce que je fais sur le champs devant eux avec l'aide de mon permis de conduire photographique. Puis un autre est venu vêtu d'une chemise blanche, il était définitivement plus jeune que moi et me dit : «Monsieur Lacombe ! Vous êtes en état d'arrestation, la police de la CUM s'en vient ajouta-t-il.» Pourquoi lui demandais-je ? Il m'a dit : «Vous avez diriger des menaces de mort envers une employée de UQAM.» Qui est-ce ? Lui demandais-je. Il me dit alors : «C'est la femme que tu as vue au département de droit.» Je lui dis d'un ton très calme: «Cette femme a menti.» Il me dit alors : «Je dois te mettre les menottes.» Alors, je lui tends les mains. Il me dit de me coller au mur, face contre le mur, mains sur la tête, de passer ma main droite derrière le dos, puis la main gauche. J'étais alors menotté, les mains dans le dos pour la deuxième fois de ma vie. (La première avait été le 11 février 1995, lors de cette arrestation illégal au poste de police de Sherbrooke sise au 400, rue Marquette.)
 
On me conduit dans une salle de cours puis j'attends là pendant 45 minutes avec ces nouveaux amis. Pendant ce temps, je demande la permission de me promener dans la classe en présence de ces 4 agents de sécurité dont un est un homme d'origine asiatique. Attendre une personne qui ne vient pas pendant 45 minutes cela paraît très long dans le cerveau d'un humain accusé d'un crime qu'il n'a jamais commis. Pourquoi m'ont-ils refusés ce besoin de marcher ? Le chef avait dit non, puis 2 policiers de la CUM arrivent et me demandent qu'est-ce qu'il y a ? Je leurs dit qu'une femme a menti en disant que j'avais proféré des menaces de mort à son endroit.
 
Je suis revenu au pays avec l'intention que justice me soit rendu, c'est pourquoi je prends le temps de le faire. Combien a coûté cette mise en scène ? Devant moi, les policiers ont demandé si j'avais résisté à mon arrestation. Les gardiens ont répondu par la négative, alors les policiers ont demandé au chef de sécurité de me libérer. Dites-moi alors, pourquoi le chef de sécurité m'a-t-il demandé de me coller face contre le mur plutôt que de me démenotter à l'air dégagé. Qui plus est, pourquoi les deux policiers armés ont-ils laisser faire cette précaution inutile?
 
Les policiers me conduisent à l'extérieur et se rendent compte que j'ai dis vrai lorsqu'ils voient mon vélo GT Avalanche. Ce vélo m'a permis d'avoir la vie sauve et de pouvoir écrire cette histoire pour construire plutôt que de détruire car il est très facile de pécher par abus de pouvoir.
 
Rendu à l'extérieur, ces deux policiers me disent que je n'ai plus le droit d'aller à l'UQAM. Qui donc essai donc de protéger et pourquoi le fait-on ? J'ai demandé aux policiers un rapport d'événement. Ils m'ont dit : «On n'a pas le temps pour ça, mais toi tu ne peux plus mettre les pieds à l'UQAM, si tu veux pas avoir de problème.»
 
Toute cette histoire a été révélé partout ou je suis allé car DIEU sait que je dis la vérité et si on veut me mettre en boîte parce que je suis un homme pacifique qui écrit ce qu'il a à dire pour rapprocher la police du citoyen, cela ne sera jamais mon problème,
 
J'ai démontré partout que je suis un homme de paix et la médecine comme l'éducation ainsi que la police ont besoin de moi.

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SIGNÉ LE 20 MARS 1997 14:20 À Ste-Foy Serge Bourassa-Lacombe
Victor DeLamarre II & Martin Luther King Jr Le Blanc
Tout Était Parfait Avec Le Noir

Voilà toutes leurs procédures pour ce dossier 97/02/28 !