Voici après cinq ans et demi de démarches la réponse officielle du Gouvernement ! ----- Message Original -----
Cabinet du vice-premier ministre
Ça fait cinq ans et demi que cela traîne!
Je me souviens du 22 mars N/Réf. : 20000314-211,
l'Inspecteur général des institutions financières du Gouvernement du Québec
m'indiquait que la SERGE BOURASSA-LACOMBE FONDATION était refusée en ce
qui concernait sa charte comme organisme à but non lucratif. Premièrement
il a refusé ma signature, signature du requérant que l'on retrouve dans
une affirmation solennelle devant Renée A Pépin, commissaire qui m'a
assermenté à Montréal le 14 mars 2000. Deuxièmement l'objet de la
fondation a aussi été refusé soit de vouloir dénoncer la mafia médicale
et de combattre ses maladies mentales afin de construire un pays meilleur.
Selon l'Inspecteur général des institutions financières du Gouvernement
du Québec, le mot mafia est inacceptable et doit être reformuler.
Pourtant, Le Petit Robert donne une bonne signification du mot en litige.
Dans ce dictionnaire on parle d'un nom féminin (La Maffia créée en 1875
et originaire de la Sicile, accepté comme nom commun depuis 1933) Péjoratif
Coterie secrète servant des intérêts privés par des moyens plus ou
moins illicites. «Il s'est formé une bande complice; il s'est formé
une mafia» (Giraudoux). Des Maffias.---» Par extension (non péjoratif)
Groupe occulte. Une petite mafia de collectionneurs.
Je ne vois pas, Très Honorable Lucien Bouchard vous qui êtes bien informé, de quel droit votre Inspecteur peut-il se permettre une telle décision. Quant à ma signature, votre Inspecteur n'a sûrement pas consulté les lois qui régissent nos droits et nos libertés. Comme vous le savez, il est légitime pour moi de vouloir dénoncer cette Mafia Médicale voire complot de tortionnaires sans ordonnance de cour. Oui ! Je me souviens de mon 43e anniversaire de
naissance le 20 juin de cette année, je me souviens aussi d'avoir célébré
le cinquième anniversaire de "VICTOR DELAMARRE
Je me souviens m'avoir vu pondre l'autobiographie
que j'ai écrite à Aguanish dans la Basse Côte-Nord afin de révéler ma
vie avant pendant et après le Calvaire vécu dans deux hôpitaux du Québec
suite au comportement de certains professeurs du Collège de Sherbrooke
(maintenant Cégep
de Sherbrooke) ayant décidés pour moi que je ne me rendrais pas en Floride pour y faire
deux stages dans le domaine des chevaux de course en me projetant comme un
homme qui deviendrait pire que «Marc Lépine» et toute la persécution
qui suivi.
D'ailleurs, le ministre de la Sécurité publique, Monsieur Serge Ménard, avait bien reçu mon autobiographie en date du 8 novembre 1995 dans laquelle je lui faisais part de la création de la Serge Bourassa- Lacombe Fondation. De plus, je lui exposais certains faits et situations dans lesquelles j'avais été impliqué. www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ministeres/sec_public/231195.htm Je me souviens d'avoir vécu en exil aux États-Unis pendant 388 jours, le temps de faire la preuve que je pouvais vivre sans aucune médication. Des recherches ont démontré qu'une personne maniaco-dépressive ne peut pas fonctionner en société plus d'un an sans médication. Tôt ou tard cette personne aura des problèmes et ce fait est connu dans le milieu. Dans mon cas cela fait plus de cinq ans que je ne consomme aucune drogue légale et/ou illégale pour faire face à la vie. J'ai tout de même écrit une lettre en prison le 13 janvier 1997 et adressée au ministre de la sécurité publique. www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ecrits/130197.htm Or voilà, je me souviens que le ministre de la Sécurité publique, l'Honorable Robert Perreault, accusa réception le 24 mars 1997 de cette lettre en disant l'avoir reçu le 28 janvier de la même année. Le ministre voyant que je lui demandais de faire le nécessaire pour que justice soit faite dans mon dossier compte tenu de la nature des informations que je lui avais transmises. Il m'écrivait que ma correspondance ne relevait pas de la juridiction du ministre de la Sécurité publique mais de celle du ministre de la Justice, M. Paul Bégin. Ce permettant donc de la faire parvenir à son Cabinet pour qu'il puisse y donner la suite appropriée. www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ministeres/sec_public/240397.htm L'honorable Paul Bégin ne m'a jamais répondu tandis que j'attends toujours une réponse de la ministre actuelle l'honorable Linda Goupil ! Tout compte fait en cette Fête Nationale de l'an 2000, j'étais forcé d'admettre qu'il s'est écoulé 1188 jours depuis le 24 mars 1997.
www.bourassa-lacombe.org/fr/table/min_justice.htm Je me souviens avoir été estomaqué lorsque Madame Fernande Rousseau, coordonnatrice de la correspondance et de la rédaction de votre cabinet avait en votre nom accusé réception de ma carte d'affaires. Elle m'invita de son gré que je vous expose l'objet de ma demande, voulant donné l'impression que j'avais remis une carte d'affaire sans plus. www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/pm/qc/020497.htm Voici la lettre qui accompagnait ma carte d'affaire soit le trac que j'ai distribué à plus de 8000 copies à partir du 01 juillet 1996 en partance de la Floride et cela tout au long de mon retour au Québec afin de me mettre à table pour le Québec !: www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ecrits/010796.htm En réaction à cette réponse saugrenue, j'ai prié Notre Seigneur Dieu pour me retrouvé à Chicoutimi dans la ville même où j'avais vécu mon baptême carcéral le 04 janvier 1997. Sans abris mais pourvu de l'Esprit-Saint, j'ai entrepris d'exposé l'objet de ma demande devant le Collège des Médecins du Québec. Le 24 avril 1997, une copie conforme vous étais adressée ainsi qu'à 26 autre personnes dont tout les ministères concernés. www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/ecrits/240497.htm Je me souviens du 02 juillet 1997 d'avoir reçu du sergent Yves Parenteau, Division identification judiciaire de la SPCUM une lettre désirant m'informer qu'ils avaient reçu de la GRC, en ce jour, confirmation de la destruction de tous les documents composant mon dossier criminel. Ils avaient également détruit en relation avec le dossier mentionné leurs fiches, empreintes, photos. Puisque votre nom n'apparaît plus sur le réseau national d'information policière et n'est plus dans leurs fichiers, ils m'ont certifié que mon dossier n'existe plus. www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/spcum/020797.htm Simultanément, je me souviens d'avoir déposer sept plaintes devant la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse . Il m'est impossible de vous présenter ces dites plaintes car elles ne sont pas disponible sur mon site Web présentement. J'ai cependant été amèrement déçu de la décision du Commissaire inconnu et représenté par Me Michèle Morin, Secrétaire de la séance : Résolution prise à l'unanimité par les membres du Comité des plaintes à leur 312e séance tenue le vendredi 3 octobre 1997 par leur résolution CPF-312.38. Malgré l'envergure de l'atteinte à mes droits et ma dignité ces derniers ont juger après étude et discussion de fermer le dossier pour les raisons indiquées.
www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/commission/droits_pers/131197.htm Je me souviens encore de toutes ces plaintes écrites en déontologie policière. D'ailleurs leurs contenus se conformaient en tout point avec le contenu de celles déposées auprès du Commissaire à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse. En tout sept plaintes ont été déposées, la majorité ont été porté en appel pour finalement être rejeté une à une.
Ne reculant devant rien, je me souviens avoir poussé mon enquête jusque dans la mémoire de la Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ) demandant les renseignements concernant les services payés par la RAMQ pour mon compte soit BOUS 5706 2019. Ces renseignements m'ont été transmis le 29 avril 1997 et ne sont pas disponible présentement sur mon site Web. Par contre voici ce que cette enquête m'a révélé.
Les faits pour lesquels je portais plainte auprès de la Régie de l'assurance maladie du Québec ont bien été reçu, à savoir la facturation par des professionnels pour des soins non reçus. La RAMQ, m'assurait dans un premier temps que ces faits feront l'objet de toute l'attention requise en référant copie de ma correspondance aux Service des analyses et des enquêtes, pour une considération appropriée. Cependant l'enquêteur ferma rapidement le dossier ne pouvant croire à une histoire comme la mienne ou ayant peur d'enquêter cette Mafia Médicale.
Par contre, je suis convaincu que toute les démarches décrite ci-dessus serait un jour reconnu comme étant le fruit d'un labeur convaincant. Ainsi le 23 octobre 1997, lors de l'audition devant la Commission des Affaires Sociales un parchemin était présenté afin d'obtenir mon dossier médical "CHUS 398 068. " Ce dossier avait été gardé caché par une équipe médicale qui ne faisait pas honneur à leur profession.
Je me souviens de ce 20 novembre 1997, Me Lina Bisson-Jolin, commissaire à la commission a rendu sa décision soit celle de me donner l’accès à mon droit d'avoir en ma possession l'intégral de mon dossier après plus de 34 mois de démarche et d’attente.
www.bourassa-lacombe.org/fr/documents/commission/cas/201197.htm
Il va sans dire que le contenu d'un dossier
médical doit être tenu d'une manière strictement confidentielle : c'est-à-dire
qui se dit sous le sceau du secret professionnel afin d'éviter tout préjudice
au patient à cause de son état de santé. Cependant lorsqu'une équipe médicale
le cache pour rendre inaccessible l'état de santé du patient pendant plus
de 34 mois, parce que le contenu de ce dossier était controuvé, c'est-à-dire
inventée de toute pièce, afin de faire de l'argent au dépend d'une société
qui dépense, de plus en plus, en soin de santé. Ce dossier médical doit
alors obligatoirement perdre sa teneur confidentiel. C'est pour cette raison
qu'aujourd'hui, je prends la décision devant DIEU et devant les hommes de
rendre publique le contenu intégral de mon dossier médical "CHUS
398068" afin de venir en aide à tous ceux qui souffrent de maladies
mentales légales et/ou illégales. De plus, je tiens que la divulgation
de ce dossier qui est le mien soit en hommage à tous ceux qui sont mort
d'une dose létale de drogues légales.
Mon vécu au CHUS s'éloignait grandement du contenu de mon dossier médical. C'est pour cette raison que j'ai pris la décision de déposer une poursuite devant LA COUR SUPÉRIEUR DU QUÉBEC contre le Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke en premier lieu. D'autant plus que j'avais prophétisé de vive voix que ce jour viendrait si non-collaboration de l'équipe médicale à vouloir me libéré lorsque j'étais détenu à l'hôpital contre ma volonté et sans ordonnance de cour pendant 57 jours. Je suis derrière tout un peuple qui s'attend de payer pour un système de santé qui saura intervenir suite à une maladie ou un accident et non intervenir lorsqu'une personne est en santé.
C'est par la GRÂCE de JÉSUS LE CHRIST que j'ai été libéré de ce CALVAIRE afin de dénoncer la mafia médicale et combattre leurs maladies mentales afin de construire un pays meilleur. Qui plus est, dans le dossier médical CHUS 398 068 on ne peut malheureusement pas parler dans ce cas ci d'ERREURS MÉDICALES mais d'ACTIVITÉS CRIMINELLES sous COMPLOT. J'exige donc la destruction du dossier médical CHUS 398 068 comme je l'ai obtenu pour mon dossier criminel le 02 juillet 1997.
Je me souviens d'avoir livré un témoignage
450-05-002521-983. Pour une raison de sécurité ce témoignage est
disponible en imagerie seulement, afin d'éviter la déformation de son
contenu. Il va sans dire que je savais avant même de dénoncer tout
cela, qu'on ne pourrait jamais ce servir de mon témoignage pour me
nuire ou encore pour protéger cette Mafia Médicale ainsi que les
membres du corps médical qui sont impliqué de près ou de loin dans
cette flétrissure morale.
Je me souviens d'un beau soir d'été
en 1980 avoir été arrêté par un patrouilleur à l'emploi de la SPCUM
dans le quartier Hochelaga sur la rue Haig. Ce policier m'avait donné
comme raison qu'un feu arrière était défectueux. Il me demande alors
de sortir de voiture pour constater le bris. Comme je lui dis que tout
est normal, quatre à cinq autos patrouilles arrivent en renfort, puis
on me demande mettre mes mains sur le toit de ma voiture et d'écarter
les jambes pour me fouiller sommairement. C'est alors qu'arrive un détective
dans son auto banalisée ouvrant sa portière et y plaçant sa jambe
gauche à l'extérieur. Par la suite m'éclairant en plein visage et
disant : "OK ! Les gars ce n'est pas lui qu'on cherche". Ils
s'en vont tous, tandis que moi je demande aux deux derniers pour qu'elle
raison est-ce qu'on m'a confondu avec un autre individu comme cela ? Ils
m'ont dit : "Toi ne te mêle pas de cela et poursuit ton chemin, le
jeune !" J'ai trouvé l'événement loufoque à ce moment là sans
plus.
Aujourd'hui je sais que cette histoire est la pierre angulaire d'une mesure attentatoire à la Justice. C'est pour cette raison que je demande l'accès à mon dossier détenu par le Centre de Renseignements policiers du Québec, communément appelé CRPQ.
En définitive, je me souviens que
DIEU m’a demandé le 12 février 1995 de mettre le nom de fille de
ma mère "Bourassa" entre mon prénom et le patronyme de mon
père. Ainsi le Directeur Me Guy Lavigne de l’État Civil du Québec
me l’a accordé le 12 JUILLET 1996, soit exactement DIX SEPT (17)
mois plus tard.
Vous ne pouvez êtes tenu responsable en toute chose cependant je suis forcé d'admettre que plusieurs ministères ont agis en CORSAIRE. Ils peuvent toujours continuer à défendre les intérêts de criminels, cela peut leur sembler bon. Cependant JÉSUS LE CHRIST les attendras tous sans exception des son retour et peut-être bien avant la fin des temps ! Il y a des gens qui s'amusent à faire dire n'importe quoi au calculs. Cependant avec un peu de recul historique on se rend compte rapidement que lorsque les facteurs économiques changent aux États-Unis, l’économie Québécoise et Canadienne en sort toujours affectés.
Je vous rappelle que selon les statistiques de la province en 1999 il y a eu 1 600 suicides au Québec. Je ne suis vraiment pas fier de ce constat et décide de continuer à travailler avec acharnement contre ce fléau inacceptable.
**** PRENEZ DONC LE TEMPS D’ANALYSER MES
ÉCRITS ! ****
Je vous réclame depuis cinq ans cette commission royale d'enquête sur les abus en santé mentale. Je sais que mon travaille commence à marquer le Québec. D'ailleurs, savez vous que ma demande se trouve officiellement dans le programme du Parti de la Sagesse, un nouveau parti politique au Québec : Commission royale d'enquête sur le respect des droits et les conditions de traitement des patients en santé mentale.
Il y a des MILLIARDS de DOLLARS en COÛTS
SOCIAUX à récupérer pour tout un peuple qui SOUFFRE de ce MANQUE d’AMOUR
! Je vous recommande donc de tirer avantage de l'expertise d'un
conseiller-expert en santé afin de faire le grand ménage pour de bon
dans ce milieu pervers.. Je suis derrière tout un peuple qui s'attend
de payer pour un système de santé qui saura intervenir suite à une
maladie ou un accident et non intervenir lorsqu'une personne est en santé.
Dans la Tribune de Sherbrooke du mardi 27 juin 2000 - Il était écrit : Pénurie de psychiatres au CHUS - Au cours des 10 derniers mois, six des 18 membres de l'équipe de spécialistes du département de psychiatrie du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke ont remis leur démission. J'aimerais savoir : Étaient-ils impliqués dans le dossier du CHUS 398 068 ? Ont-ils été confrontés au potentiel de dangerosité du milieu (voire MAFIA MÉDICALE) ? Si quelqu'un possède des informations pouvant m'aider à obtenir justice face au corps médical impliqué dans le dossier du CHUS 398 068. Ces révélations seront très appréciées pour convaincre les coupables de se repentir et de comprendre que la vérité qui est dite éclaire le corps et guérit l'âme. Alors il vaut mieux pour eux que la vérité soit révélé le plutôt possible, car Jésus-Christ mettra un jour en lumière ce qui est caché dans les ténèbres et il manifestera les desseins des cœurs. Alors chacun recevra de Dieu la louange qui lui sera due !
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