Montréal, jeudi le 11 février 1999, 00 h 00

À QUI DE DROIT !

BOGUE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE

© Serge Bourassa-Lacombe : Certificat de dépôt SARDEC 09425 22mai 1997 ©

This letter's protected by copyright.

LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME

Adopté par un vote unanime, 10 décembre 1948 par
  l'Assemblée générale des Nations Unies

Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde, Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde,

Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie que révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme, Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie que révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme,

Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression, Considérant qu'il est essentiel que les droits de l'homme soient protégés par un régime de droit pour que l'homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l'oppression,

Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations, Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations,

Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité des droits des hommes et des femmes, et qu'ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande,

Considérant que les états membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l'Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales, Considérant que les états membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l'Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l'homme et des libertés fondamentales,

Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement, Considérant qu'une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement,

L'Assemblée Générale proclame

La Présente Déclaration universelle des droits de l'homme comme l'idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette déclaration constamment à l'esprit, s'efforcent, par l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures progressives d'ordre national et international, la reconnaissance et l'application universelles et effectives, tant parmi les populations des États Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction. La Présente Déclaration universelle des droits de l'homme comme l'idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette déclaration constamment à l'esprit, s'efforcent, par l'enseignement et l'éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d'en assurer, par des mesures progressives d'ordre national et international, la reconnaissance et l'application universelles et effectives, tant parmi les populations des États Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction.

Article 1

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Article 2

(1) Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

(2) De plus, il ne serait fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome, ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

Article 3

Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Article 5

Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 6

Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

Article 7

Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 8

Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violant les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par la constitution ou par la loi.

Article 9

Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu, ni exilé.

Article 10

Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.

Article 11

(1) Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.

Article 12

Nul ne sera l'objet d'immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d'atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 13

(1) Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l'intérieur d'un état.

(2) Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

Article 14

(1) Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l'asile en d'autres pays.

Article 18

Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

Article 19

Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

Article 22

Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l'effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l'organisation et des ressources de chaque pays.

Article 23

(1) Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

Article 24

Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 25

(1) Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notamment pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d'invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans les autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.

Article 27

(1) Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.

(2) Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l'auteur.

Article 28

Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 29

(1) L'individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible.

(2) Dans l'exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n'est soumis qu'aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d'assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d'autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l'ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.

(3) Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s'exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 30

Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un état, un groupement ou un individu, un droit quelconque de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe considère que tous les articles mentionnés précédemment ont été transgressés. En plus pour ce qui est de notre Charte canadienne des droits et libertés les articles suivants ont aussi été transgressés (1, 2a, 2b, 3, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11.1, 12, 13.1, 13.2, 14.1, 18, 19, 22, 23.1, 24, 25.1, 27.1, 27.2, 28, 29.1, 29.2, 30). Pour ce qui est de notre Charte québécoise des droits et libertés de la personne les articles suivants ont de même été transgressé (1, 2, 3, 4, 5, 9.1, 10, 10.1, 15, 23, 24, 24.1, 25, 28.1, 29, 30, 31, 32, 32.1, 33, 34, 35, 44, 45, 49, 51, 52, 53, 54, 55, 86, 88, 89, 92, 138)

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare être né à Verdun (Québec) Canada le vingt (20) juin 1957 à 09 h 12. Qui plus est, a été baptisé par la Sainte Église Catholique Romaine du nom de «Serge Joseph Adrien Lacombe». Compte tenu du fait qu'il était pratique courante d'utilisé comme nom usuel «Serge Lacombe», je découvre à l'été de 1995 que tous ce temps nous étions deux (2) personnes de même identité. De plus, le quatre (4) janvier 1997 j'apprends que nous étions trois (3) de même identité judiciaire «Serge Lacombe, vingt (20) juin 1957, (5'10", 155 livres ou 1.75m, 70 kg).»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe me rappelle encore par un beau soir d'été en 1980 avoir été arrêté par un patrouilleur à l'emploi de la SPCUM dans le quartier Hochelaga sur la rue Haig. Ce policier m'avait donné comme raison qu'un feu arrière était défectueux. Il me demande alors de sortir de voiture pour constater le bris. Comme je lui dis que tout est normal, quatre à cinq autos patrouilles arrivent en renfort, puis on me demande mettre mes mains sur le toit de ma voiture et d'écarter les jambes pour me fouiller sommairement. C'est alors qu'arrive un détective dans son auto banalisée ouvrant sa portière et y plaçant sa jambe gauche à l'extérieur. Par la suite m'éclairant en plein visage et disant : «OK ! Les gars ce n'est pas lui qu'on cherche». Ils s'en vont tous, tandis que moi je demande aux deux derniers pour qu'elle raison est-ce qu'on m'a confondu avec un autre individu comme cela ? Ils m'ont dit : «Toi ne te mêle pas de cela et poursuit ton chemin, le jeune !» J'ai trouvé l'événement loufoque à ce moment là sans plus.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare être aujourd'hui en mesure de confirmer la parole de JÉSUS LE CHRIST cité par Matthieu 10,26 : «Ne les craignez donc point, car il n'y a rien de caché qui ne doive être révélé, ni de secret qui ne doive être connu». Soutenu par ce vieil adage : «La vérité finit toujours par voir le jour.» L'homme qu'on cherchait en 1980, on le cherchait depuis peu pour une affaire de viol en série sur le territoire de la SPCUM soit depuis 1979.

 Je soussigné, Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe constate aujourd'hui que l'ampleur de ce préjudice est incommensurable ; difficulté à me trouver un emploi, instabilité professionnelle, congédiement injustifié, difficulté dans mes relations personnelles, déchéance, et tout le reste. Combien de fois auraient-ils pu m'en avertir de 1980 à aujourd'hui ? Combien aurions nous pu sauver en coût social ? Il n'est jamais trop tard pour se repentir ! Je soussigné, plutôt que de tirer ma révérence préfère construire un pays meilleur, pour le bien de tous. À l'aube de ce troisième millénaire avec toute la technologie en place vous déclare ceci : «Il est archaïque de vérifier l'identité judiciaire en utilisant pour ce faire le prénom, le nom de famille ainsi que la date de naissance, pour ensuite, y aller par élimination négative.»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe désire profiter de ce temps ci pour prier afin que messieurs Gérard Déhaies, Yvan Denis, Michel Lockwell, Patrick Metcalfe et tous ceux qui sont impliqués ou de près ou de loin dans cette histoire de «Marc Lépine II» (référence en cette semaine du 6 février 1995 au Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke)) puissent comprendre la but de cette lettre ainsi que la parabole de JÉSUS LE CHRIST : «Le Cep et les serments»

Jean 15,1-17 (Version Louis Second)

1 Je suis le vrai cep, et mon Père est le vigneron. 2 Tout sarment qui est en moi et qui ne porte pas de fruit, il le retranche; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, afin qu'il porte encore plus de fruit. 3 Déjà vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée. 4 Demeurez en moi, et je demeurerai en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure attaché au cep, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi. 5 Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous ne pouvez rien faire. 6 Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche; puis on ramasse les sarments, on les jette au feu, et ils brûlent. 7 Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. 8 Si vous portez beaucoup de fruit, c'est ainsi que mon Père sera glorifié, et que vous serez mes disciples. 9 Comme le Père m'a aimé, je vous ai aussi aimés. Demeurez dans mon amour. 10 Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, de même que j'ai gardé les commandements de mon Père, et que je demeure dans son amour. 11 Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite. 12 C'est ici mon commandement: Aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés. 13 Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. 14 Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande. 15 Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père. 16 Ce n'est pas vous qui m'avez choisi; mais moi, je vous ai choisis, et je vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. 17 Ce que je vous commande, c'est de vous aimer les uns les autres.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le samedi 11 février 1995, la Sûreté Municipale de Sherbrooke n'écrit aucun rapport de police, pourtant ma colocataire avait logé un appel d'urgence 911, pour qu'ils viennent me cueillir avec l'aide de deux autos patrouilles par ce que j'étais selon ses propos dans un état démentiel. Qui plus est, aucun rapport pour indiquer que je m'étais rendu moi-même au poste de police pour y donner ma version des faits. Sans oublier que les policiers m'ont mis les menottes pour me placer dans une auto patrouille afin de me conduire au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke CHUS évidemment sans le rapporter par écrit. Heureusement que dans le rapport médical CHUS 398 068 il est écrit que lors de mon arrivée à l'hôpital, je suis accompagné par deux policiers. Il était par contre impossible d'aller contre la volonté de deux policiers armés représentant pour moi l'autorité.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare avoir été séquestré contre ma volonté au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke CHUS (voir Centre Universitaire de la Santé de l'Estrie CHUS site Fleurimont) pour la période du onze (11) février au douze (12) avril mil neuf cent quatre vingt quinze (1995) inclusivement et y avoir vécu un calvaire soit : cinquante-sept (57) jours de torture physique et mentale de toutes sortes ; trente (30) jours de torture chimique (LITHIUM, HALDOL, RIVOTRIL, DALMANE, ATIVAN) en plus du STÉLAZINE ; la soumission par inconfort des prises de sang pendant dix (10) jours non consécutifs ; vol de mes droits et liberté en plus de ma dignité ; fabrication fausse de mon dossier médical ; usage de faux ; harcèlement criminel ; voie de fait ; parjure et tromperie etc.….

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare avoir été interrogé le treize (13) février par l'équipe médicale : AUJOURD'HUI, QUELLE DATE SOMMES-NOUS ? CROIS-TU EN DIEU ? AS-TU DES POUVOIRS ?

À la première, je réponds : «Nous sommes le 13 février 1995, il est environ 16 h 30.»

À la deuxième, j'ai répondu : «Je suis Canadien Français, né à Verdun le 20 juin 1957 9 h 12, baptisé Chrétien Catholique en la PAROISSE NOTRE-DAME-DES-SEPT-DOULEURS. J'ai reçu un enseignement primaire et secondaire Richard ; écoles catholiques de Verdun. De plus, dans mon enfance, j'ai été servant de messe. Je crois non seulement en DIEU, mais aussi en JÉSUS LE CHRIST LE FILS DE DIEU. Je suis aussi un de ses serviteurs.»

À la troisième question, je réponds : «Oui ! c'est évident que je possède des pouvoirs, depuis l'été 1990, je rêve mon futur i.e. que DIEU me permet de rêver d'événements qui se produiront entre trente (30) et quarante-cinq (45) jours après en avoir fait le rêve. Qui plus est, depuis le 25 décembre 1995, j'ai reçu un DON pour m'aider d'avantage à aider les autres. Je m'en suis tellement bien servi que le 4 février 1995, DIEU a pénétré mon corps. J'aime mieux être possédé de DIEU que d'être possédé du Démon.» L'entrevue c'est terminé sur cela, ce fut la première, il y en a eu bien d'autres tout au long de mon séjour.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare avoir été torturé à cause de ma foi en DIEU et à maintes et maintes fois leurs avoir dit : «Vous êtes dans l'erreur médicale et vous allez à l'encontre de notre «CHARTE CANADIENNE DES DROITS ET LIBERTÉS DE LA PERSONNE»«HUMEN RIGHTS» (1982) «Pendant tout ce temps, en aucun temps ma cause à été «entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial» Déclaration Universelle des droits de l'homme (1948).»Jamais j'aurai été «présumé innocent tant que je n'étais pas déclaré coupable, conformément à la loi, par un tribunal indépendant et impartial à l'issue d'un procès public et équitable» «Attendu Que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de DIEU et la primauté du droit.» «Charte Canadienne des Droits et Libertés (1982)». Qui plus est, je n'ai jamais eu le «droit, en pleine égalité, à une audition publique et impartiale de ma cause par un tribunal indépendant et qui ne soit préjugé, qu'il s'agisse de la détermination de mes droits et obligations ou du bien fondé de toute accusation portée contre moi» Quant à la Charte québécoise des droits et libertés de la personne, «Reconnue comme étant l'une des plus progressistes, la Charte des droits et libertés de la personne constitue l'assise des droits et libertés de toutes les citoyennes et de tous les citoyens du Québec. Elle enchâsse les principes fondamentaux qui régissent la vie quotidienne de chacune et de chacun d'entre nous. Héritière de la Déclaration universelle des droits de l'homme, la Charte est sanctionnée par l'Assemblée nationale de Québec le 27 juin 1975. En 1982, le gouvernement du Québec confère une valeur supra législative. En 1989, elle est modifiée par la création du Tribunal des droits de la personne, favorisant ainsi une plus grande accessibilité à la justice pour toutes celles et ceux qui veulent faire reconnaître leur droit à l'égalité. Le gouvernement du Québec réitère solennellement son engagement, envers les Québécoises et les Québécois, d'intensifier ses efforts afin que notre société sois plus que jamais respectueuse des droits et libertés de la personne. Le ministre de la Justice Gil Rémillard.»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le mardi 18 juillet 1995, après avoir parcouru une partie de la ville de Montréal de clinique médicale en clinique médicale soit cinq (5) au total. Moi qui avais les pieds usés depuis plusieurs semaines déjà ayant un problème de pieds d'athlète sévère accompagné de champignons microscopiques. Me promenant avec ma carte d'assurance maladie incluant une identification photographique. Ayant été référé par la cinquième clinique médicale à me rendre au CLSC ST-HENRI, 3833, rue Notre-Dame ouest, Montréal (Québec) H4T IP8, je suis surpris de constater indéniablement que je suis guidé par le système à me rendre à l'hôpital de mon choix pour me faire soigner ces pieds de clochard. Je choisis de me rendre à celui où je suis né, soit le Centre Hospitalier de Verdun anciennement Hôpital CHRIST-ROI, 4000, boul. Lasalle, Verdun (Québec) H4G 2A3. Parce que le médecin de garde Laurent Boisvert refusait de me traiter, moi qui avais huit (8) pansements par pied causé par ampoule sur ampoule sur ampoule, moi qui n'avais pas manger de la journée. Il était environ 22 h 30, il refusait même de me nourrir ou de me prescrire un soluté de glucoses. À ma demande la police de la SPCUM est venu, je croyais pour forcer ce médecin de garde à me guérir. Je réalisa bien vite que c'était plutôt pour me forcer à m'allonger sur un lit, ils étaient huit (8) policiers autour de moi pour m'attacher les chevilles et les poignets pendant huit (8) heures sans boire ni manger. En plus, on m'injecta une substance inconnue dans les cuisses en riant et en implorant DIEU de venir sauver son fils.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare avoir été transporté le mercredi 19 juillet 1995 de 07 h 00 à 07 h 30, par deux (2) ambulanciers d'Urgence Santé à l'hôpital Ste-Mary's, 3830, avenue Lacombe, bureau 1301 A, Montréal (Québec) H3T 1M5. J'ai été dans cette dernière pendant 08 h 00 et on m'y a servi un repas à 13 h 30. Au fait de la médecine moderne, j'ai donc été vingt quatre (24) heures sans manger. Espérait-on que je devienne hypoglicémicque afin de favoriser mon transfert dans cet hôpital universitaire psychiatrique de Verdun baptisé «Douglas Hospital».

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le vendredi 21 juillet 1995, je me rends chez L/S A. Desautels Enr., 4141, boul. Lasalle, Verdun à 03 h 46 et 05 h 02 pour y acheter de la glace en cube pour me permettre de passer d'un état d'hyperthermie à un état d'hypothermie. J'ai finalement dormi de 05 h 30 à 10 h 30, mon réveil fut brutal car le virus qu'on m'avait injecté en riant à l'hôpital de Verdun était très virulent s'attaquant précisément à ulcérer mon tube digestif, entraînant une hémorragie interne très grave, mes fèces étaient d'un bleu foncé pour la première fois de ma vie. Après avoir téléphoné le centre antipoison qui ne pouvait rien faire pour moi, j'ai été confié mon histoire abracadabrante à cette conseillère formée par Monsieur Jean Marc Brunet des produits Le Naturiste JMB 3990 rue Wellington, Verdun (514) 761-7464 qui me recommanda devant mon état : une bouteille d'Aloès, des ampoules d'extrait de choux concentré et de la chlorophylle. Coût 35$ avec cinq (5) jours de prières invoquées par moi, DIEU m'a finalement sauvé de ces montres de la médecine à la solde de la MAFIA MÉDICALE !

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le lundi 14 août 1995 vers 09 h 00, je suis chez Imprimerie Guy Legault au 861 rue de l'Église à Verdun (514) 766-5318 pour un travail de photocopie afin de ne pas perdre la mémoire de mes écrits. Je prends tout d'abord le document représentant le contenu de mon agenda électronique Sharp I. Q. 8300 128 K et demande d'en faire quatorze (14) copies de quarante quatre (44) feuilles soit un total de 616 photocopies. Sur la page couverture de ce document il est écrit : «Verdun, le 14 août 1995 CHUS psychiatrie 11 février au 12 avril 1995, Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke) 12 avril au 12 mai 1995, itinérant au Québec 12 mai à aujourd'hui (hospitalisation cause mal de pied infernal 8 pansements par pied cause ampoule sur ampoule sur ampoule fongus (champignon) pied d'athlète (athletic foot) 18 juillet 1995 vol de document à l'hôpital de Verdun et/ou St-Mary's par la médecine et ou la police.»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare avoir préparé un autre document en cinq copies. Ce document contient une multitude de papier important pour moi, soit un document de 107 pages pour 535 photocopies ce qui fait un total de 1 151 photocopies. J'insère le premier document produit dans le deuxième. Je me retrouve donc avec 10 documents de 44 pages et 5 documents de 153 pages. À partir de ce moment, vous comprendrez qu'après avoir fait la distribution de ces copies je me sentais en sécurité sachant que le tout servirait à construire un pays meilleur. Je tiens à préciser que je ne suis pas associé ni de près ni de loin avec Dr Guylaine Lanctôt car mon cheminement spirituel est très différent de celui de cette dernière. Et qu'il m'est impossible de rendre GLOIRE à quelque chose d'autre que la SAINTE TRINITÉ : DIEU le PÈRE, JÉSUS LE CHRIST le FILS et le CONSOLATEUR ESPRIT de VÉRITÉ soit le SAINT-ESPRIT. Car DIEU est ROI des Rois et JÉSUS LE CHRIST SEIGNEUR des Seigneurs. AINSI-SOIT-IL ! AMEN ! POUR TOUJOURS !

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le vendredi 15 septembre 1995, je commence à faire du traitement de texte en utilisant l'ordinateur de la municipalité d'Aguanish. Au fait, je traite le texte qui provient de ma transcription du début du mois de juin à l'Ermitage Saint-Antoine de Padoue contenu dans mon agenda électronique Sharp I. Q. 8300 128 K. de mémoire pour en faire une lettre. Lettre historique car elle servira de transparence auto biographique par le fait même elle en deviendra aussi une de dénonciation et de référence. Cette lettre est adressé à l'association Étudiante du Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke) copies conformes à cinquante-sept (57) personnes car je suis né en 57 et j'ai été torturé pendant 57 jours. Les gens d'Aguanish m'auront permis de composer cette lettre dans un HAVRE DE PAIX ENCHANTEUR, loin de tout : balourd, goujat, mufle, pignouf qui m'auraient empêché de travailler cette lettre de cent (100) heures en composition seulement car je la voulais authentique solennellement sans aucun doute et protégé par droits d'auteur © Serge Bourassa-Lacombe : Certificat de dépôt SARDEC 09425 22mai 1997 © This letter's protected by copyright.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que c'est dans la ville de Sussex au Nouveau-Brunswick le vendredi 27 octobre 1995 que j'ai complété ma lettre d'une annexe de huit (8) pages en une vingtaine d'heures.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le vendredi trois (3) novembre 1995, je réussi à mettre à la poste cette lettre historique pour le bien de tout un peuple. Le coût de cette envoie est historique aussi, 298.78$ car souvenez-vous ! Elle était adressé à l'association des étudiants du Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke) copie conforme à cinquante-sept (57) personnes, composée de deux (2) parties : la lettre de cinquante-sept (57) pages et l'annexe de huit (8)pages ce qui fait un total de 3 910 photocopies, représentant 15 pouces de papier. Que pensez-vous de cette performance, venant d'un sans abri et d'un sans le sou. Il est écrit : «L'esprit de sagesse et d'intelligence, Esprit de conseil et de vaillance, Esprit de connaissance et de crainte de l'ÉTERNEL ; Il ne jugera pas sur l'apparence, Il n'arbitrera pas sur un ouï-dire. Mais il jugera les pauvres avec justice, Avec droiture il sera l'arbitre des malheureux de la terre ; Il frappera la terre du sceptre de sa parole, Et du souffle de ses lèvres il fera mourir le méchant. La justice sera la ceinture de ses reins, et la fidélité la ceinture de ses hanches.» (ÉSAÏE 11.2-5)

En vérité Je soussigné, Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe vous dis une seule personne sur les cinquante-huit (58) a répondu à cette lettre historique. Sachant qu'il faut rendre à César ce qui est à César et à DIEU ce qui est à DIEU. Aujourd'hui je dois rendre à l'honorable André Gariépy, avocat et agissant à titre de Directeur de cabinet adjoint attaché au ministre de la Sécurité publique du QUÉBEC, Monsieur Serge Ménard ce qui appartient à ce dernier : «Le 23 novembre 1995, Monsieur Serge Bourassa-Lacombe, 103, rue Oxford Crescent - App. 105 LENNOXVILLE (Québec) J1M 2G3, Monsieur, Le ministre de la Sécurité publique, Monsieur Serge Ménard, a bien reçu votre lettre en date du 08 novembre 1995 dans laquelle vous lui faites par de la création de Serge Bourassa-Lacombe Fondation. De plus, vous lui exposez certains faits et situations dans lesquelles vous avez été impliqué. Le Ministre est sensible à la situation que vous lui exposez et à pris bonne note des objectifs de votre fondation. Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments les meilleurs. N\R : 3768-1, André Gariépy, avocat, 2525, boul. Laurier, 5e étage Sainte-Foy (Québec) G1V 2L2 (418) 643-2112.»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare qu'en ce lundi dix-neuf (19) novembre 1996 à 10 h 30 je suis devenu grandement surpris de voir Kiristin Rachael Hayward Ph. D., Directrice des Services d'affaires, chambre 101, 5703 Alumni Hall, 04469-5703, téléphone (207) 581-1545, lorsqu'elle a menti vicieusement contre ma fondation devant le Lieutenant Alan D. Stormann et Sergent Sproul. Mme Hayward a déclaré : «Que je venais toujours dans ce département pour déranger continuellement les employés.» Moi qui avais mis les pieds dans ce département le 8 novembre 1996 de 15 h 20 à 15 h 30, j'ai rencontré Madame Beth Morin du département de service d'affaires, Chambre 101, 5703 Alumni Hall, Orono, Maine 04469-5703, phone (207) 581-1545 afin de lui expliqué mon projet et y revenir en ce 19 novembre 1996 à 10 h 30 afin de voir avec Mme Morin quand le recteur serait disponible pour me rencontrer.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que quoi qu'il en soit ici comme ailleurs nous sommes présumés innocents jusqu'à la preuve du contraire et lorsque que le contraire vient de personnes en autorité ont présumes que les employés sont du même avis. C'est pour cette raison que j'ai été détenu de 10 h 45 à 13 h 05 par le département de la Sécurité publique. Après toute cette attente le Lieutenant Alan D. Stormann devant la Sergent Sproul me demande d'enlever mon chandail pour démontrer que je n'avais pas de tatous sur mes bras. Ce qui me confirme qu'à cette date la Gendarmerie Royale du Canada n'a pas encore trouvé le violeur en série portant mon identité.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare être surpris de découvrir que mes problèmes avec la police tout au long de mon voyage ont été pour la plupart causé dans des institutions éducationnelles. C'est à se demander si les gens qui travaillent en éducation veulent vraiment éviter des drames comme MARC LÉPINE In Mémorium le mercredi 6 décembre 1989, VALÉRY FABRIKANT In Mémorium le lundi 24 août 1992 etc. … Car vous voyez, le 19 novembre 1996 à 13 h 05 j'ai reçu un autre avis verbal de violation de propriété privée i.e. une interdiction de revenir sur le territoire de l'université sous peine d'encourir des problèmes avec la justice. Cependant celui-ci était en vigueur jusqu'au 26 novembre 1996, date à laquelle l'Université du Maine devait rendre leur décision concernant ma fondation. Ils étaient tous anxieux de voir si l'immigration américaine décidera de me considérer comme étant un réfugié légal ou illégal aux États-Unis après avoir vécu plus d'un an comme réfugié dans leur pays.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare s'être poser cette question à ce moment précis. Est-ce que l'Université de l'Ours Noir, Maine aurait boycotté ma fondation comme toutes les autres en cette journée du mardi 26 novembre 1996 ? Est-ce que l'Université de l'Ours Noir supportera cette fondation qui veut protéger toutes institutions éducationnelles d'événements comme MARC LÉPINE In Mémorium Université de Montréal le 6 décembre 1989, VALÉRY FABRIKANT In Mémorium Université Concordia le 24 août 1992 etc. …? Chose certaine, je ne peux pas lâcher prise parce que DIEU m'a appelé à faire ce travail et il m'a protégé, il me protège et il me protégera en conséquence de sa VOLONTÉ ! Sa volonté étant de nous amenés à la repentance qui nous amène à «Obéir à JÉSUS LE CHRIST afin d'obtenir la VIE ÉTERNEL» (Hébreux 5.9) «Prenez garde de peur de vous trouver en guerre contre DIEU» (Actes 5.39) DIEU c'est servi, se sert et se servira de moi pour vous montrer que la plume est plus forte que l'épée autant que l'amour est plus fort que la guerre et que DIEU était, est et sera toujours plus fort que la Police. Parce qu'IL est le TOUT-PUISSANT. AINSI-SOIT-IL ! AMEN !

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le samedi 4 janvier 1997 à 04 h 00 du matin, seul dans la nuit, j'en suis à geler dehors, alors pour ne pas mourir et ne pas faire de crime je me rends de plein gré au poste de police d'Alma, la ville de l'hospitalité dit-on. On m'offre le gîte du passant, la cellule jusqu'à 07 h 00, j'accepte de plein gré pour ne pas faire de crime. Lorsque qu'arrive 07 h 00 du matin le policier d'Alma ne me libère pas car je suis sous un mandat d'amener depuis 1995 déposé envers moi depuis 1995 pour une question d'harcèlement criminel, on ne connaissait aucun détails (où pourquoi et quand), mais ils se devaient de me conduire en prison. Ce policier d'office m'a arrêté légalement en m'expliquant mes droits me donnant même accès à un téléphone afin que je puisse communiqué avec un avocat, contrairement à ce que j'ai vécu le samedi 11 février 1995 à Sherbrooke. Ils sont sur le point d'organiser mon transfert vers Montréal, alors deux policiers de la Sûreté du Québec posté à Alma m'ont conduis menottes aux poignets devant mon corps, sans avoir le temps de récupérer tous mes bagages.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que du samedi 4 janvier 1997, vers 11 h 00 au mercredi 8 janvier 1997, vers 13 h 30 j'ai vécu mon baptême carcéral dans l'établissement de détention de Chicoutimi, 225, rue Price est, Chicoutimi, Québec (418) 545-3830, fax ; (418) 543-5287. Lors de mon inscription dans cette prison un des constables spéciaux m'a demandé : «Au mois de mai 1996 étais-tu au Palais de Justice de Montréal ?» Je lui ai répondu : «Cela ne pouvais pas être moi car des millions de personnes m'ont vu faire 5 000 km de vélo en Floride du 22 novembre 1995 au 08 juillet 1996. Qui plus est, d'autres millions de personnes m'ont vu vivre durant trois semaines à Atlanta lors des jeux olympiques d'été avec la responsabilité d'un chiot de 60 livres.» Je lui ai demandé alors de bien vouloir vérifier si celui convoqué et présent au Palais de Justice de Montréal était bel et bien né le même jour que moi. Réponse positive, ce qui m'amène à déclarer sans aucun doute l'existence de trois personnes né le même jour, le même mois, la même année sensiblement et/ou précisément de même grandeur et de même taille. Sachant que celui qu'on cherche depuis 1979 est toujours recherché le 19 novembre 1996 ce n'est donc pas lui qui a été convoqué au Palais de Justice de Montréal au mois de mai 1996. Comme il y en a un qui si est présenté et que ce n'est pas moi, ayant comme alibi mon exile aux États-Unis du 6 novembre 1995 15 h 40 au 29 novembre 1996 13 h 10. Nous sommes donc au moins trois pour tous les incrédules de ce monde.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que l'infirmier monsieur Jeannot Jean se rappellera toujours de mon aptitude à comparaître en Cours malgré qu'il ne soit pas médecin psychiatre. Puis est venu mon baptême de fourgon cellulaire, ces autobus d'écoliers peints en bleu aux couleurs du ministère de la sécurité publique, menottes aux poignets et aux chevilles, relié par des chaînes, destination Orsainville. Afin de ne pas désorganiser cet établissement de détention qu'est Orsainville, car je suis en transition pour Montréal, on me donne le trou # 8 pour la nuit du 9 janvier 1997, j'accepte à ce moment là car je suis un adepte de méditation/relaxation/respiration profonde, depuis sept ans déjà.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le vendredi 10 janvier 1997 vers 15 h 30, un médecin généraliste travaillant dans les sous-sol du Palais de Justice de Montréal a jugé mon état de santé mentale inapte à comparaître devant un juge de la cour criminel du Québec. Pourtant j'étais parfaitement lucide devant DIEU et tous les gens qui avaient la chance de me rencontrer à l'exception du médecin n'hésitant pas à faire de faux témoignage doublé devant le juge car le juge lui a fait répété sa décision sur mon état de santé car j'étais parfaitement apte à comparaître en Cours. Qui plus est, au même moment Me Danielle Lavoie me souffla à l'oreille qu'elle était convaincu comme le médecin que j'allais avoir besoin de médicaments tout en me remettant sa carte d'affaire, elle qui avait été désigné d'office par l'aide juridique pour me défendre. On devrait lui demandé de retourner faire ses devoirs.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare être retourner à l'établissement Rivière-des-Prairies du vendredi 10 janvier 1997 vers 19 h 30 comme prévenu PAVO338854296 dans le G5D213H au mercredi 22 janvier 1997 vers 12 h 30 (Dr Wolwertz, médecin psychiatre attaché à l'Institut Philippe Pinel de Montréal était chargé de la première évaluation psychiatrique. Pour se faire, il me posa plusieurs questions. Il obtenu aussi plusieurs réponses très cohérentes de la part du Président/Fondateur et Contrôleur de Serge Bourassa-Lacombe's Fondation. Cependant il déforma devant moi le contenu de mes réponses en rapportant le tout dans ce rapport médical qui deviendrait mien. Le but de son exercice, me prescrire une médication quelconque afin de protéger tous ces criminels mentionnés décrit tout au long du document en cours. Selon la charte québécoise des droits et libertés de la personne, j'ai maintenu mon droit de refus de médication, lorsque l'infirmière s'avança vers moi devant les autres détenus du G5 me demandant de prendre ma prescription tout en utilisant mon ancien nom de famille. Je l'informe alors devant tout les gens présents (constables spéciaux, détenus et prévenus) ce qui suit : «Mon nom est Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe depuis le 12 juillet 1996 suite à une décision du Directeur de l'état Civil Me Guy Lavigne. Je suis né à Verdun le 20 juin 1957 à 09 h 12. Qui plus est, il m'est interdit de permettre que les gens m'appelle par mon patronyme «Lacombe», car on pourrait m'accuser d'usage de faux. Pour ce qui est de la prescription prescrit par le Dr Wolwertz, ça fait 677 jours que je ne prends pas de médicaments pour contrôler mon humeur soit depuis le 13 mars 1995 date à laquelle l'équipe médicale impliqué dans le dossier CHUS 398 068 a provoqué une intoxication (Lithium, Haldol, Rivotril, Dolmane, Ativan). Je suis convaincu qu'après avoir parcouru plus de 12 000 km sur le pouce au Québec et plus de 12 000 km en vélo à travers l'Amérique du Nord, dont 2 400 km avec un chiot de soixante (60) livres nous qui étions même allé à Atlanta lors des jeux olympiques d'été, être en parfaite santé physique et mentale. Et que si le Dr Wolwertz, est convaincu que j'ai besoin de médication ce n'est pas mon problème.»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le lundi 13 janvier 1997, 13 h 41, je commençais à écrire une lettre au Ministre de la Sécurité Publique, Monsieur Robert Perreault, lettre qui lui décrivait la situation vécue par son auteur. (Monsieur Robert Perreault a transféré le dossier au Cabinet du ministre de la Justice, Monsieur Paul Béguin N/R ; 3768-4). Une deuxième évaluation, faite par Dr Ricard interne comme médecin psychiatre, afin de prendre la relève du dossier car j'avais dénoncé le Dr Wolwertz de menteur antérieurement par écrit. Devant l'invitation du Dr Ricard de me transférer dans les murs de l'Institut Philippe Pinel de Montréal afin me disait-il pour être plus près de moi, afin de comprendre ce qui m'était arriver en 1995. J'étais sans inquiétude car DIEU m'a révélé que j'y vivrait pour une courte période de temps dans cette institution. Détention dans les murs de cet Institut du mercredi 22 janvier 1997, vers 12 h 30 au jeudi 30 janvier 1997 vers 10 h 30 (Évaluation psychiatrique de 8 jours, intérêt marquant pour une participation volontaire proposée par moi, afin de faire avancer cette science souvent beaucoup trop suicidaire causé par de l'abus de pouvoir médical entraînant ce vice de fond que tout le monde connaît mais que peu gens ose s'y attaquer de front de peur d'y perde la vie.)

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare avoir obtenu libération par la Cour du Québec, chambre criminelle et pénale, dans la localité de Montréal, corps policier C. U. M. la décision fut rendue le mercredi 29 janvier 1997, 19 h 14, Dossier 500-01-16679-950. Sortir par la grande porte de Institut Philippe Pinel de Montréal, tel avait été mon désir, tel avait été ma prière. Afin de construire un monde meilleur, afin de me comporter comme le «PREMIER GRAND HOMME DE PAIX RECONNU AU Canada». Pouvoir me promener partout sans pilules dans mes poches afin d’être hautement crédible dans mes propos pour le bien de toute l'humanité. Ce moment était une grande «VICTOIRE» par contre le travail n'était pas terminé. Car ma libération était conditionnelle, engagement de ma part à habiter à la Maison du Père ou Old Brewery Mission, informer le tribunal par écrit et préalablement de tout changement d'adresse. M'abstenir de communiquer en aucune façon avec les employées de la pointes à Calières, garder la paix et avoir une bonne conduite et respecter les conditions suivantes : à 15 h 00 le jeudi 30 janvier 1997 me présenter au CLSC des Faubourgs, 1250, rue Sanguinet, bureau 460, Montréal, Québec, H2X 3E7 pour y rencontrer Monsieur Thierry Webanck Criminologue et suivre ses recommandations, dans mon dossier.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare qu'une modification était apportée au dossier # 500-01-016679-950, Corps policier CUM 33-950803-041, habiter à l'adresse suivante 103, rue Oxford Crescent # 105, Lennoxville, Québec, J1M 2G3, afin d’être présent au tribunal du palais de justice de Montréal, 10 est, rue St-Antoine, salle SAD le jeudi 22 mai 1997, à 09 h 30 et, par la suite, à être présent selon les exigences du tribunal, afin d’être traité selon la loi.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le mardi 18 février ainsi que le jeudi 27 mars 1997, plusieurs plaintes formellement écrites et déposées devant la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse, Monsieur Réal Tremblay, 375, rue King Ouest, bureau 1.05, Sherbrooke (Québec) J1H 6B9, tél. : (819) 820-3855, fax. : (819) 820-3860. Le mercredi 19 et le jeudi 20 mars ainsi que le vendredi 11 avril 1997, plusieurs plaintes formellement écrites et déposées devant le Commissaire en déontologie policière, 1200, Route de l'église, RC. 20, Sainte-Foy (Québec G1V 4Y9, Monsieur Marcel Canuel, tél. : (418) 643-7897, fax. : (418) 528-9473. Une plainte fut déposée formellement par écrit devant Monsieur Laurien Aspirot, technicien en droit le mardi 18 mars 1997 entre 14 h 10 et 15 h 28 à la Commission des Affaires Sociales, dans l'Édifice SSQ, tour des Laurentides, 2525, boul. Laurier, 2 ieme étage, Sainte Foy (Québec) GlV 4Z5, tél. : (418) 643-3400, fax. : (418) 643-5335.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le lundi 24 mars 1997, le Gouvernement du QUÉBEC m'a expédié une lettre qui dit : «Monsieur Serge Bourassa-Lacombe, 103, rue Oxford Crescent - App. 105 Lennoxville (Québec) J1M 2G3, Monsieur, au nom du ministre de la Sécurité publique, Monsieur Robert Perreault, permettez-moi d'accuser réception de votre lettre reçue le 28 janvier dernier dans laquelle vous lui demandez de faire le nécessaire pour que justice soit faite dans votre dossier. Compte tenu de la nature des information que vous nous avez transmises, il appert que votre correspondance ne relève pas de la juridiction du ministre de la Sécurité publique mais de celle du ministre de la Justice, M. Paul Bégin. Je me permets donc de la faire parvenir à son Cabinet pour qu'il puisse y donner la suite approprié. Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments les meilleurs. N\R : 3768-4, 2525, boul. Laurier, 5e étage Sainte-Foy (Québec) G1V 2L2 (418) 643-2112.»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le mardi 25 mars 1997 à 13 h 00, je me présente pour la première fois de ma vie au Collège des médecins du Québec pour y rencontrer le syndic au 2l7O, boul. René-Lévesque ouest, Montréal (Québec) H3H 2T8, tél.: ( 514) 933-4441 ou 1-888 MÉDECIN, poste 270, fax. (514) 933-3112, (une de leurs réceptionnistes me demande d'attendre, puis une de leurs secrétaires viens me voir à 13 h 15 pour m'indiquer que les gens du Syndic étaient à l'extérieur pour le lunch et m'invita à les attendre dans une salle de conférence pendant qu'eux s'organisaient dans un étage supérieur de leur Collège. Trente minutes plus tard, Messieurs Maurice Miousse et Richard Meloche se sont présentés devant moi à 13 h 45, comme deux taupins (la carrure de leurs courbures, étant très imposantes devant moi), qui plus est, de part leurs comportements, il va sans dire que l'entretient que j'ai eu avec eux a durée moins de cinq minutes. Moi qui refusais toujours de juger sur des apparences ou encore sur les ouï-dire du Dr Guylaine Lanctôt et/ou Dr Roland Albert, je m'y suis rendu moi-même accompagné de L'ESPRIT SAINT et aujourd'hui je déclare publiquement par écrit que ces deux taupins étaient sans aucun doute membres de cette MAFIA MÉDICALE et ont très bien fait leurs travail.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le mercredi 02 juillet 1997, j'ai obtenu de la Communauté Urbaine de Montréal, 750, rue Bonsecours Montréal, Québec H2Y 3C7 ce qui suit : «Monsieur Serge Joseph-Adrien Bourassa-Lacombe 103 rue Oxford Crescent App 105, Lennoxville, Québec J1M 2G3 A L'ATTENTION DE : Monsieur Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe OBJET ; DESTRUCTION DE DOSSIER COMPLÉTÉE DDN :57-06-20 SPCUM : 404 450 Monsieur, Suite à notre correspondance, nous désirons vous informer que nous avons reçu de la GRC, en ce jour, confirmation de la destruction de tous les documents composant votre dossier criminel. Nous avons également détruit en relation avec le dossier ci-haut mentionné nos fiches, empreintes, photos. Puisque votre nom n'apparaît plus sur le réseau national d'information policière et n'est plus dans nos fichiers, nous vous certifions que votre dossier n'existe plus. Le tout pour votre information. Robert Desjardins, mat. 946 Préposé Module destruction Division identification judiciaire et Yves Parenteau, sergent Division identification judiciaire /cb let7.C»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le jeudi 23 octobre 1997 à 13 h 30 je me présente devant la Commission des Affaires Sociales à l'hôtel Delta de Sherbrooke. Je suis accompagné de Mesdames Lilianne Boucher et Sylvie Poirier. Pour y obtenir le jeudi 20 novembre 1997 de Me Lina Bisson Jolin la décision No : SS-10369 (398068) qui accueille ma requête afin d'obtenir mon dossier médicale intégral CHUS 398 068

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que depuis mon retour au Canada le vendredi 29 novembre 1996, j'ai fait un nombre incommensurable de démarches afin d'obtenir Justice. Toutes les plaintes formelles portées à l'attention de la Commission des droits de l'homme et de la jeunesse ont été rejetées. Les Plaintes formelles portées à l'attention de la Régie de l'assurance Maladie du Québec dénonçant plusieurs fraudes ont été rejetées. Toutes les plaintes portées devant la Déontologie Policière ont été rejetées. Les plaintes portées au Collège des Médecins du Québec ont été rejetées. La plainte portée devant l'Office des Professions du Québec concernant le comportement des deux taupins du Collège des Médecins a été rejeté aussi. Les visites au bureau du Protecteur du Citoyen non rien données non plus. Pourquoi suis-je traité de telle sortes ? C’est tout simplement parce qu'on me considère en santé mentale et on me traite comme un ex-patient psychiatrique, sans aucun doute ! Voilà toute la porté de ce préjudice ! Un jour vous rendrez à Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe ce qui lui appartient.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare avoir communiqué au Premier ministre du Canada, Très Honorable Jean Chrétien à plusieurs reprises par écrit. Premièrement, le 20 janvier 1996, de Key West, Floride, j'envoie une lettre de huit (8) pages copie conforme à huit (8) personnes par courrier enregistrée. Puis, le 17 mai 1996, de Tallahassee, Floride je lui ai envoyé un document de quatre-vingt-quinze (95) pages par voie de télécopie à son cabinet au (613) 941-6900. J'y explique avec plus de détail l'histoire et la raison de ma Fondation. Qui plu est, le 26 juillet 1996, d'Atlanta, Georgia par voie de télécopie, j'en achemine une autre pour finalement en expédié encore une le 8 septembre 1996, Eatontown, New Jersey par télécopie. 

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que malgré le fait que depuis le mardi 14 avril 1998 il existe devant la COUR SUPÉRIEUR chambre civile PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE ST-FRANÇOIS une poursuite de 1 888 000$ no : 450-05-002521-983. Et malgré le fait qu'une déclaration sous serment a été faite durant dix (10) heures. Tout le climat est encore très préjudiciables. Comme par exemple lorsque je me suis rendu à l'Université Bishop's de Lennoxville pour assister au cérémonial à l'endroit du prix Nobel de la Paix Mgr Oesmond TuTu. Nous sommes le jeudi 26 novembre 1998 08 h 30, je me présente devant les portes de St-Mark's Chapel, je remarque que les gens qui y entre ont une carte d'invitation à la main. Qui plus est, j'ai remarqué aussi qu'une dame attendait à la porte sans invitation. Je demande à la portière s'il y aura de la place pour les gens qui n'ont pas reçu d'invitation formelle. Elle me réponds qu'il y aura peut-être une possibilité vers 09 h 00. Puis une dame fait son arrivé comme nous sans invitation. Nous sommes donc trois (3) personnes en attente d'une entrée libre. Dès mon arrivée j'ai remarqué trois (3) gardes du corps (Pingouin).

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare qu'à 08 h 45 ils se dirigent vers moi sans aucun doute malgré leurs comportements hypocrites. Lorsqu'ils sont assez près de mon manteau officiel, soit celui du Président -Fondateur et Contrôleur de SERGE BOURASSA-LACOMBE'S FONDATION, VICTOR DELAMARRE
II et NOTHING WAS WRONG WITH THE BLACK, MARTIN LUTHER KING JR THE WHITE. Je remets à chacun d'eux ma carte d'affaires en leurs disant très clairement : «Mon nom est Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe alias VICTOR DELAMARRE
II alias Martin Luther King Jr Le Blanc car tout était parfait avec le Noir vous pouvez me vérifier je suis né à Verdun le 20 juin 1957 à 09 h 12. Je suis celui qui poursuit pour 1 888 000$ le Centre Universitaire de la Santé de l'Estrie et 6 médecins depuis le 14 avril 1998, en plus d'y ajouter qu'hier le 25 novembre avait commencé l'interrogatoire sous serment d'une durée de quatre (4) heures. Par-dessus tout je mentionne aussi avoir parcouru plus de quarante milles (40 000) km en auto stop et/ou en vélo avec une charge de 110 à 245 livres. Que c'était même moi qui étais à Atlanta avec un chiot de soixante (60) livres lors des jeux olympiques à l'été 1996. Je mentionne aussi avoir été publié dans La Tribune et The Record de Sherbrooke, ainsi que dans Le journal de Montréal. Qui plus est, je les informe sur mon dernier voyage effectué dans les maritimes du 1er août au 9 octobre 1998, 4150 km en vélo, 900 km en camion remorque et 1 000 km en traversier sans argent dans mes poches pour y distribuer dix milles (10 000) cartes d'affaires y promouvant mon site web
http://www.bourassa-lacombe.org, , 1645, rue King ouest, suite 188, Sherbrooke, J1J 2C7.»

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare qu'à 09 h 50, la portière veut faire entrée les deux femmes qui attendent à la porte depuis 08 h 30, la jeune dame qui était arrivée après moi la mentionné à la portière. Elle a répondu qu'il y aurait aussi de la place pour moi. Les deux femmes sont entrées peu de temps avant moi, car mon tour arrive. Lorsqu'on m'invite à y entrer, je les remercie de cet honneur. Un garde du corps (Pingouin) me fait face, j'apprendrai le lendemain du 50e anniversaire de la Déclaration Universelle des droits de l'homme soit le vendredi 11 décembre 1998 qu'il s'appelle Michel Noël. Cet homme me demande devant tout le monde présent : «Donne moi ton sac et ton manteau !» Les gens sont alors tous éblouis par ces épinglettes que je portes fièrement. Le Pingouin me demande de sortir sans mon sac et sans mon manteau parce les Pingouins situé à l'extérieur veulent me parler. Malgré la froideur matinal de cette journée, j'obtempère et rendu à l’extérieur, je leurs demandes : Pourquoi tout ce cirque à mon endroit ? Un membre anglophone de l'administration de l'Université me fait part qu'ils ont aménagé une salle à laquelle je pourrai voir la cérémonie en direct. Je lui réponds que si ma présence ne pose aucun problème pour eux, j'accepte avec plaisir. Dans cette salle à mon entrée il y avait seulement un homme d'arrivée, puis arrive un Pingouin prénommé Frank, il fait sont travail et je n'ai rien compte. Je salut l'arrivée du journaliste Marcel Gagnon de CHLT Télé, il me dirige un sourire très radieux car il sait déjà que je dois être de cette fête. À la fin de la célébration eucharistique, Frank a la tâche désagréable de m'avertir de ne pas me rendre inutilement au abord du complexe sportif de l'Université où se tiendra la remise d'un Diplôme Honoris Causa toujours dans le cadre de cet hommage à Mgr Oesmond Tu Tu en me précisant que la décision ne vient pas d'aucun membre de la sécurité.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le jeudi 10 décembre 1998 en ce 50e anniversaire de la Déclaration Universelle des droits de l'homme, je me suis rendu à l'hôtel de ville de Sherbrooke j'ai pu donné la main au Maire Jean Perreault en plus de le mettre au parfum de mes démarches pour obtenir Justice, entre autre je l'avise que j'ai terminé un interrogatoire de dix (10) heures sous serments devant les procureurs et que le tout c'était terminé la veille 50e anniversaire de la Déclaration Universelle des droits de l'homme. Par la suite, je me rends à la Sûreté municipale de Sherbrooke, j'y rencontre le constable en relation publique Serge Fournier, je lui remets un : «SOUVENIR DE VOYAGE PAR DÉSIR DE VOUS FAIRE DÉCOUVRIR UN SOURIRE ÉTERNEL». En suite, je me rends à la Sûreté du Québec dans le même but de même qu'à la GRC poste de Rock Forest pour le même intérêt.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare que le lendemain je me rends à l'Université Bishop's pour y rencontrer Éric Bergeron Président de l'association étudiante ainsi qu'un membre de la Direction car j'aimerais obtenir le privilège d'utilisé un accès Internet et de traitement de texte. Voilà que deux Pingouins arrivent pour m'inviter à les suivent, Michel Noël le responsable de la Sécurité me demande de prendre place à l'intérieur de la voiture de Sécurité. Rendu sur place, il me demande de m'identifier pour me donner un avis verbal de violation de propriété privée i.e. une interdiction de revenir sur le territoire de l'université sous peine d'encourir des problèmes avec la justice.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare qu'un jour on me rendra ce qui m'appartient et je serai reconnu à m'a pleine valeur. Vous rendez vous compte qu'une histoire comme la mienne est dure à avalez ! Que voulez-vous, je ne peux pas prétendre avoir été torturé pendant cinquante (50) ans par les autorités chinoises comme Dalaï Lama du Tibet. Pour plusieurs raisons, tout d'abord j'ai seulement quarante et un (41) ans et ensuite ce que je dénonce a été vécu dans le Québec au Canada. Cependant, je suis déjà le PREMIER GRAND HOMME DE PAIX DE L'HISTOIRE DU CANADA, sans aucun doute. Je prie DIEU à tous les jours comme JÉSUS LE CHRIST me l'a enseigné dans l'évangile selon Matthieu 6e chapitre.

Notre PÈRE qui est au cieux !
Que ton nom soit sanctifié.
Que ton règne vienne ;
Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien,
Pardonne-nous nos offenses comme 
nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Ne nous laisse pas entrer dans la tentation, mais délivre-nous du malin.
Car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, 
Le règne, la puissance et la gloire.
AINSI-SOIT-IL ! AMEN!

Je soussigné, Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe crois en la parole de DIEU plus que jamais et vous en fait part ;

Psaumes 1 (Version Louis Second)

1 Heureux l'homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, Qui ne s'arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s'assied pas en compagnie des moqueurs, 2 Mais qui trouve son plaisir dans la loi de l'Éternel, Et qui la médite jour et nuit ! 3 Il est comme un arbre planté près d'un courant d'eau, Qui donne son fruit en sa saison, Et dont le feuillage ne se flétrit point: Tout ce qu'il fait lui réussit. 4 Il n'en est pas ainsi des méchants: Ils sont comme la paille que le vent dissipe. 5 C'est pourquoi les méchants ne résistent pas au jour du jugement, Ni les pécheurs dans l'assemblée des justes; 6 Car l'Éternel connaît la voie des justes, Et la voie des pécheurs mène à la ruine.

Psaumes 2 (Version Louis Second)

1 Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Ces vaines pensées parmi les peuples? 2 Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se liguent-ils avec eux Contre l'Éternel et contre son oint? - 3 Brisons leurs liens, Délivrons-nous de leurs chaînes! - 4 Celui qui siège dans les cieux rit, Le Seigneur se moque d'eux. 5 Puis il leur parle dans sa colère, Il les épouvante dans sa fureur: 6 C'est moi qui ai oint mon roi Sur Sion, ma montagne sainte! 7 Je publierai le décret; L'Éternel m'a dit: Tu es mon fils! Je t'ai engendré aujourd'hui. 8 Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, Les extrémités de la terre pour possession; 9 Tu les briseras avec une verge de fer, Tu les briseras comme le vase d'un potier. 10 Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse! Juges de la terre, recevez instruction! 11 Servez l'Éternel avec crainte, Et réjouissez-vous avec tremblement. 12 Baisez le fils, de peur qu'il ne s'irrite, Et que vous ne périssiez dans votre voie, Car sa colère est prompte à s'enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui!

Qui plus est, je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe déclare mettre en pratique depuis toujours dans ma vie ce passage de;

Matthieu 51 (Version Louis Second)

43 Vous avez appris qu'il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. 44 Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, 45 afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. 46 Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même? 47 Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même? 48 Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait.

C'est sans aucun doute la raison qui me pousse à écrire encore et encore afin …de me maintenir dans cette voie véritable;


«Obéir à JÉSUS LE CHRIST afin d'obtenir le SALUT ÉTERNEL»
(Hébreux 5.9)

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe vous rappelle avoir quitté la capitale de la Floride le premier juillet 1996 avec mon compagnon de route «FOX» en direction de la capitale de Georgie, Atlanta lors de la tenue des Jeux Olympiques d'été. Je me souviens avoir suscité l'intérêt de millions de personnes. D'ailleurs, je remercie la chaîne de télévision française de m'avoir télédiffusé avec mon compagnon et vice-président «FOX» et ce partout dans le MONDE où TV5 se diffuse. Je tiens à ajouter à cette photo historique un drapeau d'Atlanta ville olympique hôte, un du Canada, un du Japon, de même qu'un autre des États-Unis, car ils ont été conquis lors de mon séjour là-bas.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe vous dis que considérant qu'il est légitime pour moi de faire valoir mes droits, j'agis donc de plein droit d'autant plus appuyé par celui qui m'a envoyé point à la ligne. Car JÉSUS est ROI des rois et SEIGNEUR des seigneurs. «Par LUI, avec LUI et en LUI, pour les siècles des siècles. AINSI-SOIT-IL !»

Qui plus est, je soussigné, Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe déclare avoir expédié au Cardinal Jean-Claude Turcotte une copie conforme de cette lettre historique du trois (3) novembre 1995 sans avoir été contacté par la suite. Par ailleurs au mois de septembre 1997, j'ai finalement pu m'entretenir pendant soixante-dix (70) minutes avec l'Archevêque de Sherbrooke Mgr André Gaumond après plusieurs tentative échelonné sur une période de sept (7) mois. De plus, le mardi vingt-six (26) janvier 1999 à quinze heures (15 h 00), je me suis rendu au 2000, rue Sherbrooke ouest à Montréal au Diocèse dans le but de prendre un rendez-vous avec le Cardinal Jean-Claude Turcotte Archevêque de Montréal, la réceptionniste me donne alors comme information le numéro de téléphone (514) 931-7311, tandis que je lui demande de porter à l'attention du Cardinal ma carte d'affaire. Vers seize heures vingt minutes (16 h 20) le même jour, je suis en conversation téléphonique avec l'Abbé Toupain agissant comme secrétaire du Cardinal. Ce dernier m'indiquant très clairement l'impossibilité de rencontrer le Cardinal après lui avoir expliqué le but légitime de ma démarche.

Je soussigné, Joseph Adrien Serge Bourassa-Lacombe considère donc les gens à la tête de la Sainte Église Catholique Romaine au Québec comme étant rebelle à la parole de DIEU. Ezéchiel 33,11(Version Louis Second) «Dis-leur : je suis vivant ! dit le Seigneur, l'Éternel, ce que je désire, ce n'est pas que le méchant meure, c'est qu'il change de conduite et qu'il vive. Revenez, revenez de votre mauvaise voie ; et pourquoi mourriez-vous, maison d'Israël ?» et Psaumes 2,9 (Version Louis Second) «Tu les briseras avec une verge de fer, Tu les briseras comme le vase d'un potier.»

Romains 13 (Version Louis Second)

1 Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de DIEU, et les autorités qui existent ont été instituées de DIEU. 2 C'est pourquoi celui qui s'oppose à l'autorité résiste à l'ordre que DIEU a établi, et ceux qui résistent attireront une condamnation sur eux-mêmes. 3 Ce n'est pas pour une bonne action, c'est pour une mauvaise, que les magistrats sont à redouter. Veux-tu ne pas craindre l'autorité? Fais-le bien, et tu auras son approbation. 4 Le magistrat est serviteur de DIEU pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains; car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant serviteur de DIEU pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal. 5 Il est donc nécessaire d'être soumis, non seulement par crainte de la punition, mais encore par motif de conscience. 6 C'est aussi pour cela que vous payez les impôts. Car les magistrats sont des ministres de DIEU entièrement appliqués à cette fonction. 7 Rendez à tous ce qui leur est dû: l'impôt à qui vous devez l'impôt, le tribut à qui vous devez le tribut, la crainte à qui vous devez la crainte, l'honneur à qui vous devez l'honneur. 8 Ne devez rien à personne, si ce n'est de vous aimer les uns les autres; car celui qui aime les autres a accompli la loi. 9 En effet, les commandements: Tu ne commettras point d'adultère, tu ne tueras point, tu ne déroberas point, tu ne convoiteras point, et ceux qu'il peut encore y avoir, se résument dans cette parole: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. 10 L'amour ne fait point de mal au prochain: l'amour est donc l'accomplissement de la loi. 11 Cela importe d'autant plus que vous savez en quel temps nous sommes: c'est l'heure de vous réveiller enfin du sommeil, car maintenant le salut est plus près de nous que lorsque nous avons cru. 12 La nuit est avancée, le jour approche. Dépouillons-nous donc des oeuvres des ténèbres, et revêtons les armes de la lumière. 13 Marchons honnêtement, comme en plein jour, loin des excès et de l'ivrognerie, de la luxure et de l'impudicité, des querelles et des jalousies. 14 Mais revêtez-vous du Seigneur JÉSUS LE CHRIST, et n'ayez pas soin de la chair pour en satisfaire les convoitises.

«Prenez garde de peur de vous trouver en guerre contre DIEU»
(Actes 5.39)

Pourquoi une telle signature ? Cliquez-là pour connaître la réponse :)…- Why such a signature for a man like him ? Click-on-it to know the answer :)... - ¿Porqué tal firma para un hombre como él? Tecleo-en-él para saber la respuesta :)...

EN FOI DE QUOI J'AI SIGNÉ

1645, rue King ouest, suite 188
Sherbrooke (Québec) Canada
J1J 2C7

c.c.: 1 888 courriel et tous les autres !