Martin Luther King JR Le Blanc, Tout Était Parfait Avec Le Noir

Le 18 janvier 1997 08 h 00

103 rue Oxford Crescent 105
Lennoxville (Québec) J1M 2G3
Téléphone ; (819) 566-4951

Bonjour Eric,

Cette présente lettre a pour but de te présenter à mon frère en Christ, le Pasteur Don Dewrell qui est également Président de «Speaking the Truth ministries» ministères qui favorisent la justice pour les personnes maltraitées et opprimées en prison et pénitencier, un groupe dans lequel il se considère un membre.

Le Pasteur Don et moi avons travaillé plusieurs nuit ensemble pour créer la remorque de mon compagnon de route FOX,   pour montrer à l'humanité ce qu'est la puissance de Dieu. À partir du 1er juillet et cela jusqu'au 27 août 1996, nous avons voyager ensemble. Je l'ai tiré pendant 58 jours pour plus de 2 400km. Selon une balance gouvernementale ma bicyclette et sa remorque pesait 245 livres comprenant mon vice-président qui pesait à lui seul 60 livres selon une balance de clinique vétérinaire. Tout a été fait aux yeux de plusieurs témoins, événement que j'enregistrais avec la date et l'heure.
 
Le Pasteur Don et toi, tous les deux, vous connaissez la raison pour laquelle, j'ai décidé de faire ce voyage sous le nom de la fondation qui porte mon nom. La société ne m'a donné aucun autre choix.
 
Je sais Eric que tu te rappelles encore toute la torture que j'ai vécue à cause de l'équipe médicale aux CHUS et également au comportement de l'équipe de mes professeurs du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke), qui sont responsable du fiasco de mes études entières.
 
Aujourd'hui, le 18 janvier 1997, je célèbre mes 677 jours sans pilules, la dernière fois c'était le 13 mars 1995 au CHUS (CUSE). En outre, je célèbre 15 jours en prison, depuis le 4 janvier en commençant par la ville d'Alma. Une charge pour du harcèlement criminel est la raison pour laquelle je suis maintenant ici au centre de détention de Rivières-des-Prairies.
 
C'est qu'en juillet 1995 un homme qui avait le même nom que moi «Serge Lacombe» avec une adresse inconnue se présente au musée Pointe-La-Calière à Montréal pour solliciter un travail et aurait diriger contre le personnel du musée une menace. Ainsi, le 10 janvier 1997, j'ai comparu au palais de justice à Montréal où j'ai été évalué par un médecin avant de passer devant le tribunal et le docteur a avoué au juge que je n'étais pas apte à comparaître en cours.
 
Tout a commencé le 4 janvier dans la ville d'Alma, je célébrais 604 jours sur la route sans revenu, sans causer de tort à qui que se soit et également sans faire aucune sollicitation parce que c'est contre nos lois en Amérique du Nord. Je suis de retour au Canada depuis le 29 novembre 1996 13 h 10. J'ai parcouru une partie du Nouveau Brunswick : Saint-John, St-Stephens, Frédéricton, Hampton, Sussex etc... Pour la première fois de ma vie je me suis rendu dans la ville de  Sydney en Nouvelle-Écosse et suis également allé à Port-aux-Basques et Stephenville dans Terre-Neuve.
 
Je suis arrivé au Québec le 20 décembre 1996,tout le parcours c'est fait en faisant du pousse sur le bord de la route. J'ai passé par Rivière du Loup, de là j'ai pris le traversier pour me rendre à St-Simon invité par ce charitable capitaine de bateau.
 
Rendu à Tadoussac, j'ai également conduit une voiture que possédais un femme dans le milieu de la trentaine qui se rendait visiter ses parents dans Baie-Comeau. Elle était parti de Montréal, alors qu'elle était sur le traversier avec un problème de dos qui la rendra incapable de continuer à conduire son automobile afin de pouvoir se rendre à destination. Elle me fit part de son handicap et me demanda de conduire sa voiture lorsqu'elle fit ma connaissance sur le traversier. Cependant elle voulait quelqu'un capable de piloter dans une condition de route hivernale à surface glacée. Car il avait commencé à neiger et nous étions sur la Côte Nord du Québec. Nous sommes arrivés à Baie Comeau à 20 h 30.
 
Par la suite, j'ai essayé d'atteindre Sept-Îles, mais à 22 h 30 il faisait noir et froid. J'ai commencé à chercher un endroit pour passer la nuit à l'intérieur. Finalement j'ai été invité le 21 décembre il était 00 h 30, par un homme ivre qui m'a souhaité la bienvenue à son appartements qu'il partageait avec un autre. Même ivre, il a veillé m'offrir de cuire pour moi un spaghetti accompagné d'une sauce faite maison. Je ne pouvais rien manger tellement épuisé que j'étais. Avec toute ma connaissance en santé, je savais quel était mon besoin et je lui ai dit cela : «Si je mange maintenant je sais que j'en serai très malade, un bain me serait très bénéfique avant d'absorber toute nourriture puisque cela fait 10 jours que je n'ai pas eu accès à une douche.
 
J'ai pris un bon bain chaud accompagné d'une douche fraîche. Ensuite, j'ai dégusté ce délicieux repas pour finalement m'endormir comme un petit bébé sur le sofa. Le lendemain matin, je me suis rendu à Sept-Îles.. Je suis arrivé au Havre Saint-Pierre avec le compliment du directeur général de la compagnie d'autobus. Au  Havre un ami m'a reçu dans sa famille avec un souper digne d'une grande table comprenant du saumon au menu. Après le repas parce que la maison était pleine, je suis allé convaincre le propriétaire de l'Hôtel-Motel du Havre que j'avais besoin d'une chambre pour la nuit. Enfin le 24 décembre, j'ai atteint mes amis d'Aguanish - Natashquan. C'est l'endroit où je m'étais rendu pour écrire mon autobiographie de mes 2 années à 38 ans, la semaine où j'ai passé 100 heures devant un ordinateur pour écrire. Là où j'ai eu également la chance d'établir des liens d'amitié avec les Montagnais de la réserve indienne de Natasquan. Peut-on parler d'une longue route!

Le 31 décembre, je suis arrivé dans la ville du Québec avec des documents que j'avais laissé à Aganish lors de mon passage en 1995. Cette information est le fruit de tout ce que j'ai écrit en septembre 95 ils font depuis ce temps la preuve que la plume est plus forte que l'épée.

Dans la ville du Québec, un homme pleurait sur la rue quand il m'a vu. Je lui ai demandé pourquoi pleurs tu. Il dit : «c'est la veille du nouvel an et je suis seul, si je vous demande d'être avec moi, je sais que vous refuserez. Je n'étais pas assez imbécile pour passer cette nuit sur la rue. J'ai dormi sur un autre sofa-lit et le lendemain je me suis rendu à cet endroit dans le Québec où ils servent des repas pour les pauvres. Le personnel était content de me recevoir et de découvrir l'existence de ma Fondation car ils étaient au courant de ma cause, ils m'avaient vu à la télévision.

Pour commencer la nouvelle année, je suis allé à ce sanctuaire où «Victor DeLamarre II» a été créé le 08 juin 1995 par l'inspiration de l'Esprit Saint. J'étais très surpris de me faire recevoir là, comme un chien dans une allée de quilles. Ils ne voulaient pas m'héberger pour la nuit. Cet endroit est situé en plein bois.

Rappelles-toi notre voyage à l'été 1993 au Lac St.-Jean, le grand et long parc de forêt que nous avons traversé. Pas vrai! Enfin Dieu est toujours avec moi et à 20 h 30, IL m'aide à convaincre une femme célibataire qui m'a invité en dedans pour la nuit. Le lendemain, j'ai su qu'elle devait passer par Alma, ainsi elle me dépose à cette endroit le 02 janvier 1997.

Il est parfois très difficile de se trouver un endroit à l'intérieur, finalement j'ai réussi à convaincre le propriétaire de motel de m'accommoder.«Alma» était la ville dans laquelle je devais écrire et envoyer mes meilleurs voeux de paix pour 1997 à tous les Québécois, Canadiens et Américains avec le monde entier.

Être sans-abri pendant l'hiver c'est très dur parce que la plupart des gens ont l'âme  très pauvre. Ainsi le 04 janvier 04 h 00, je n'ai eu aucun choix, j'étais dans le besoin de dormir pour pouvoir passer la journée à la bibliothèque publique pour utiliser sur un ordinateur. Je suis allé au commissariat de police d'Alma pour dormir en prison. Ils étaient censés me libérer à 07 h 00 mais ils sont venus et m'ont dit : «Vous êtes en état d'arrestation, vous serez transféré à la prison de Chicoutimi puis à Montréal pour une charge de harcèlement criminel que vous avez commis en 1995.«Je leur dis OK, je suis prêt pour cette épreuve parce que je ne suis pas coupable.

Alma est loin de Montréal surtout par transport de prisonniers, d'Alma à Chicoutimi par la Sûreté du Québec, menotté dans une auto de police. La prison de Chicoutimi est vieille, j'y ai passé 5 jours. Chanceux que j'étais, car je me suis retrouvé seul dans une cellule double, soit la cellule #17 devant la cellule #26 =» 88. Ce nombre est venu me rencontrer plusieurs fois pendant le temps de ma croisade. Le 08 janvier je suis transféré de Chicoutimi à la prison d'Orsainville. Je sais que tu te rappelles l'été 1993 lorsque nous avions fait ce voyage à Chicoutimi. Imagine Eric que tes mains et tes chevilles se trouvent menotté pour le voyage et que tu voyage dans un autobus d'écolier peint bleu pour une randonnée de 3 ou 4 heures. En outre chaque fois que tu sort ou entre en prison, on te fouille complètement à nu. Le 08 janvier 1997, ils me permettent de dormir dans le trou # 8dans la prison d'Orsainville pour ne pas désorganiser la prison.

Le 09 janvier 1997, j'ai été transféré de la prison d'Orsainville, Québec jusqu'à  Montréal avec un arrêt à la prison de Donnacona et également à Trois-Rivieres. J'étais toujours attaché dans le même fourgon cellulaire. J'ai fait face à un grand problème lorsque nous sommes arrivés à Trois-Rivières, J'ai eu l'urgence d'une vessie pleine et je savais que je ne pourrais pas me retenir jusqu'à ce qu'on atteigne Montréal. J'ai demandé au gardien de répondre à mon besoin essentiel, la réponse fut négative. Alors je lui ai demandé de me donner le récipient vide de liquide nettoyant à pare-brise. La réponse fut encore négative. En raison de ce besoin essentiel d'uriner, je me suis mis à me tortiller comme un souffre douleur à la manière d'un serpent. J'étais courbant tout en me déplaçant sur mon banc parce que je n'ai pas voulu uriner dans cet autobus devant tous mes compagnons de voyage. Comme un serpent qui à peur, j'ai souffert. J'ai pu finalement libérer ma vessie 20 minutes après mon arrivée dans le centre de détention de Rivière-des-Prairies. Je n'oublierai jamais ce genre de douleur pour le reste de ma vie.

Le 09 janvier 1997, ils me transfèrent au siège social de SPCUM (Bonsecour) en prison sans oreiller et sans couverture sur un lit de ciment recouvert par un morceau de contre-plaqué. Pour la première fois dans ma vie j'ai bu l'eau d'une cuvette de toilette. Puisqu'il n'y a aucune fontaine d'eau ou robinet et que la force policière ne vous donnent pas l'eau au moment où nous avons soif. Après 8 repas de sandwichs froids tu commences à en tomber malade et tu deviens également faible pour passer devant le tribunal. Je me rappelle que j'étais parfaitement lucide, mais le docteur a déclaré faussement que j'étais inapte à comparaître en cour, pour protéger les médecins qui m'ont fait du tort au CHUS, comme tu te souviens.

Maintenant, je suis au centre de détention de Rivière-des-Prairies depuis le 10 janvier attendant mon procès. Le 11 janvier, ils m'ont fait rencontrer le DR Wolwertz, un autre psychiatre qui ne pouvait pas écrire ce que je répondais à ses questions, essayant de protéger d'autres docteurs. Il m'a dit que j'avais besoin de médicament. Après une couple d'heures, une infirmière est venue avec du kemadrin 5mg q.i.d. et moditen 20mg h.s. J'ai refusé tout médicament. Comme tu le sais, je n'en ai pas besoin de ces produits chimiques et la médecine devra admettre dans mon cas leur erreur de diagnostic du 11 février 1995.

Récemment dans la «La Presse de Montréal, édition de la page B8 de jeudi 1997 le 16 janvier» que le coroner Anne-Marie David a eu pour conclure d'un dosage 4x le dosage maximum était administrent au patient d'Atif Naëk par le psychiatre de docteur Ronald Goulet qui causent la mort du patient. Nous tous comprenons maintenant en ce moment, pourquoi Me Annick Reinhardt de la Commission d'accès à l'information était incapable de sortir mon dossier médical # 398068 du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke CUSE - CHUS. Ils savent tous ce qu'ils m'ont fait entre le 11 février 1995 au 12 avril. Le tout est décris de toute façon par leur patient dans cette autobiographie certifié par courrier le 03 novembre 1995 de Saint-John, Nouveau-Brunswick.

Le 28 janvier 1997, je suis censé passer devant un juge pour fixer une date de comparution. Je prie Dieu de me protéger contre n'importe quel genre de conspiration. Le prix que j'ai déjà payé pour cette erreur d'identité est énorme. Je n'ai jamais entretenu de la haine ou de la vengeance. Mais plutôt pardonné et agis comme le plus grand homme de paix de l'histoire du Canada. Des milliards de personnes ont remarqué cela jusqu'à ce jour. Je préfère porter cette réputation de «Victor DeLamarre» plutôt que celle de «Marc Lépine».

Ainsi Eric, je pourrais devoir retourner à la maison si le juge me demande de faire ainsi avant mon procès. Je préférerai être dans la région de Montréal, avec plus de  1000 pieds de protection contre mon père. Si mon père viens à l'intérieur de cette limite, il devra entrer en prison. Ce genre de protection sera demandé pour toutes les personnes qui pourraient essayer de me causer un certain ennui, comme ils l'on fait dans le passé.

Sent toi libre d'appeler mon frère en Christ le Pasteur Don Dewrell «Speaking the Truth Ministries» 1-888-393-8047, P.O. Box 77, Woodville, Floride 32363. De l'intérieur de la prison, il n'est pas possible que je téléphone en utilisant un #800, c'est la loi et le système. C'est la raison pour laquelle j'ai encore besoin également de ton support. Je demanderai au Pasteur Don Dewrell de rester en contact avec toi. C'est la raison pour laquelle vous recevrez la même lettre.

P.S. Je suis en prison comme non coupable, je paye toujours le prix, mais quand je recevrai ma liberté mon témoignage sera plus puissant envers ceux qui font du tort dans notre société. Ne t'inquiète pas pour moi parce que si ces médecins me causent encore du trouble. Dieu et Jésus le Christ me renforcera encore 100X de sorte que 100 X 100 =»  10 000, je serai donc 10 000 fois plus puissant que le 11 février 1995.

CC : Pasteur Don Dewrell «Speaking the Truth Ministries»
1-888-393-8047 P.O. Box 77 Woodville, La Floride 32363

Serge Bourassa-Lacombe «=» Victor DeLamarre II

Serge Bourassa-Lacombe's Fondation croit et vous dit : «La plume est plus forte que l'épée»«Patience et longueur de temps vaut mieux que force et que rage»«La puissance de croire au Seul & Unique Dieu Vivant accompagnée de nos prières, c'est plus fort que toute autre chose».

Pourquoi une telle signature ? Cliquez-là pour connaître la réponse :)…- Why such a signature for a man like him ? Click-on-it to know the answer :)... - ¿Porqué tal firma para un hombre como él? Tecleo-en-él para saber la respuesta :)...

Dormez très bien sur ceci mes frères en Christ.