Martin Luther King JR Le Blanc, Tout Était Parfait Avec Le Noir Le 18 janvier 1997 08 h 00
Bonjour Eric, Cette présente lettre a pour but de te présenter à mon frère en Christ, le Pasteur Don Dewrell qui est également Président de «Speaking the Truth ministries» ministères qui favorisent la justice pour les personnes maltraitées et opprimées en prison et pénitencier, un groupe dans lequel il se considère un membre.
Le 31 décembre, je suis arrivé dans la ville du Québec avec des documents que j'avais laissé à Aganish lors de mon passage en 1995. Cette information est le fruit de tout ce que j'ai écrit en septembre 95 ils font depuis ce temps la preuve que la plume est plus forte que l'épée. Dans la ville du Québec, un homme pleurait sur la rue quand il m'a vu. Je lui ai demandé pourquoi pleurs tu. Il dit : «c'est la veille du nouvel an et je suis seul, si je vous demande d'être avec moi, je sais que vous refuserez. Je n'étais pas assez imbécile pour passer cette nuit sur la rue. J'ai dormi sur un autre sofa-lit et le lendemain je me suis rendu à cet endroit dans le Québec où ils servent des repas pour les pauvres. Le personnel était content de me recevoir et de découvrir l'existence de ma Fondation car ils étaient au courant de ma cause, ils m'avaient vu à la télévision. Pour commencer la nouvelle année, je suis allé à ce sanctuaire où «Victor DeLamarre II» a été créé le 08 juin 1995 par l'inspiration de l'Esprit Saint. J'étais très surpris de me faire recevoir là, comme un chien dans une allée de quilles. Ils ne voulaient pas m'héberger pour la nuit. Cet endroit est situé en plein bois. Rappelles-toi notre voyage à l'été 1993 au Lac St.-Jean, le grand et long parc de forêt que nous avons traversé. Pas vrai! Enfin Dieu est toujours avec moi et à 20 h 30, IL m'aide à convaincre une femme célibataire qui m'a invité en dedans pour la nuit. Le lendemain, j'ai su qu'elle devait passer par Alma, ainsi elle me dépose à cette endroit le 02 janvier 1997. Il est parfois très difficile de se trouver un endroit à l'intérieur, finalement j'ai réussi à convaincre le propriétaire de motel de m'accommoder.«Alma» était la ville dans laquelle je devais écrire et envoyer mes meilleurs voeux de paix pour 1997 à tous les Québécois, Canadiens et Américains avec le monde entier. Être sans-abri pendant l'hiver c'est très dur parce que la plupart des gens ont l'âme très pauvre. Ainsi le 04 janvier 04 h 00, je n'ai eu aucun choix, j'étais dans le besoin de dormir pour pouvoir passer la journée à la bibliothèque publique pour utiliser sur un ordinateur. Je suis allé au commissariat de police d'Alma pour dormir en prison. Ils étaient censés me libérer à 07 h 00 mais ils sont venus et m'ont dit : «Vous êtes en état d'arrestation, vous serez transféré à la prison de Chicoutimi puis à Montréal pour une charge de harcèlement criminel que vous avez commis en 1995.«Je leur dis OK, je suis prêt pour cette épreuve parce que je ne suis pas coupable. Alma est loin de Montréal surtout par transport de prisonniers, d'Alma à Chicoutimi par la Sûreté du Québec, menotté dans une auto de police. La prison de Chicoutimi est vieille, j'y ai passé 5 jours. Chanceux que j'étais, car je me suis retrouvé seul dans une cellule double, soit la cellule #17 devant la cellule #26 =» 88. Ce nombre est venu me rencontrer plusieurs fois pendant le temps de ma croisade. Le 08 janvier je suis transféré de Chicoutimi à la prison d'Orsainville. Je sais que tu te rappelles l'été 1993 lorsque nous avions fait ce voyage à Chicoutimi. Imagine Eric que tes mains et tes chevilles se trouvent menotté pour le voyage et que tu voyage dans un autobus d'écolier peint bleu pour une randonnée de 3 ou 4 heures. En outre chaque fois que tu sort ou entre en prison, on te fouille complètement à nu. Le 08 janvier 1997, ils me permettent de dormir dans le trou # 8dans la prison d'Orsainville pour ne pas désorganiser la prison. Le 09 janvier 1997, j'ai été transféré de la prison d'Orsainville, Québec jusqu'à Montréal avec un arrêt à la prison de Donnacona et également à Trois-Rivieres. J'étais toujours attaché dans le même fourgon cellulaire. J'ai fait face à un grand problème lorsque nous sommes arrivés à Trois-Rivières, J'ai eu l'urgence d'une vessie pleine et je savais que je ne pourrais pas me retenir jusqu'à ce qu'on atteigne Montréal. J'ai demandé au gardien de répondre à mon besoin essentiel, la réponse fut négative. Alors je lui ai demandé de me donner le récipient vide de liquide nettoyant à pare-brise. La réponse fut encore négative. En raison de ce besoin essentiel d'uriner, je me suis mis à me tortiller comme un souffre douleur à la manière d'un serpent. J'étais courbant tout en me déplaçant sur mon banc parce que je n'ai pas voulu uriner dans cet autobus devant tous mes compagnons de voyage. Comme un serpent qui à peur, j'ai souffert. J'ai pu finalement libérer ma vessie 20 minutes après mon arrivée dans le centre de détention de Rivière-des-Prairies. Je n'oublierai jamais ce genre de douleur pour le reste de ma vie. Le 09 janvier 1997, ils me transfèrent au siège social de SPCUM (Bonsecour) en prison sans oreiller et sans couverture sur un lit de ciment recouvert par un morceau de contre-plaqué. Pour la première fois dans ma vie j'ai bu l'eau d'une cuvette de toilette. Puisqu'il n'y a aucune fontaine d'eau ou robinet et que la force policière ne vous donnent pas l'eau au moment où nous avons soif. Après 8 repas de sandwichs froids tu commences à en tomber malade et tu deviens également faible pour passer devant le tribunal. Je me rappelle que j'étais parfaitement lucide, mais le docteur a déclaré faussement que j'étais inapte à comparaître en cour, pour protéger les médecins qui m'ont fait du tort au CHUS, comme tu te souviens. Maintenant, je suis au centre de détention de Rivière-des-Prairies depuis le 10 janvier attendant mon procès. Le 11 janvier, ils m'ont fait rencontrer le DR Wolwertz, un autre psychiatre qui ne pouvait pas écrire ce que je répondais à ses questions, essayant de protéger d'autres docteurs. Il m'a dit que j'avais besoin de médicament. Après une couple d'heures, une infirmière est venue avec du kemadrin 5mg q.i.d. et moditen 20mg h.s. J'ai refusé tout médicament. Comme tu le sais, je n'en ai pas besoin de ces produits chimiques et la médecine devra admettre dans mon cas leur erreur de diagnostic du 11 février 1995. Récemment dans la «La Presse de Montréal, édition de la page B8 de jeudi 1997 le 16 janvier» que le coroner Anne-Marie David a eu pour conclure d'un dosage 4x le dosage maximum était administrent au patient d'Atif Naëk par le psychiatre de docteur Ronald Goulet qui causent la mort du patient. Nous tous comprenons maintenant en ce moment, pourquoi Me Annick Reinhardt de la Commission d'accès à l'information était incapable de sortir mon dossier médical # 398068 du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke CUSE - CHUS. Ils savent tous ce qu'ils m'ont fait entre le 11 février 1995 au 12 avril. Le tout est décris de toute façon par leur patient dans cette autobiographie certifié par courrier le 03 novembre 1995 de Saint-John, Nouveau-Brunswick. Le 28 janvier 1997, je suis censé passer devant un juge pour fixer une date de comparution. Je prie Dieu de me protéger contre n'importe quel genre de conspiration. Le prix que j'ai déjà payé pour cette erreur d'identité est énorme. Je n'ai jamais entretenu de la haine ou de la vengeance. Mais plutôt pardonné et agis comme le plus grand homme de paix de l'histoire du Canada. Des milliards de personnes ont remarqué cela jusqu'à ce jour. Je préfère porter cette réputation de «Victor DeLamarre» plutôt que celle de «Marc Lépine». Ainsi Eric, je pourrais devoir retourner à la maison si le juge me demande de faire ainsi avant mon procès. Je préférerai être dans la région de Montréal, avec plus de 1000 pieds de protection contre mon père. Si mon père viens à l'intérieur de cette limite, il devra entrer en prison. Ce genre de protection sera demandé pour toutes les personnes qui pourraient essayer de me causer un certain ennui, comme ils l'on fait dans le passé. Sent toi libre d'appeler mon frère en Christ le Pasteur Don Dewrell «Speaking the Truth Ministries» 1-888-393-8047, P.O. Box 77, Woodville, Floride 32363. De l'intérieur de la prison, il n'est pas possible que je téléphone en utilisant un #800, c'est la loi et le système. C'est la raison pour laquelle j'ai encore besoin également de ton support. Je demanderai au Pasteur Don Dewrell de rester en contact avec toi. C'est la raison pour laquelle vous recevrez la même lettre. P.S. Je suis en prison comme non coupable, je paye toujours le prix, mais quand je recevrai ma liberté mon témoignage sera plus puissant envers ceux qui font du tort dans notre société. Ne t'inquiète pas pour moi parce que si ces médecins me causent encore du trouble. Dieu et Jésus le Christ me renforcera encore 100X de sorte que 100 X 100 =» 10 000, je serai donc 10 000 fois plus puissant que le 11 février 1995.
Serge Bourassa-Lacombe «=» Victor DeLamarre II Serge Bourassa-Lacombe's Fondation croit et vous dit : «La plume est plus forte que l'épée»«Patience et longueur de temps vaut mieux que force et que rage»«La puissance de croire au Seul & Unique Dieu Vivant accompagnée de nos prières, c'est plus fort que toute autre chose». Dormez très bien sur ceci mes frères en Christ.
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