AUTOBIOGRAPHIE HISTORIQUE DE BOURASSA-LACOMBE ÉCRITE ET RECOMMANDÉE LE 3 NOVEMBRE 1995 AVANT MON EXILE AUX ÉTATS-UNIS!

AUTOBIOGRAPHIE HISTORIQUE DE BOURASSA-LACOMBE
ÉCRITE ET RECOMMANDÉE LE 3 NOVEMBRE 1995
 AVANT MON EXILE AUX ÉTATS-UNIS!

«عربيّة»    «english»    «ESPAÑOL»

CC : 57 personnes

Association Étudiante du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke)

Monsieur Jean-François Morin, responsable des affaires internes
475, rue Parc, pavillon 6
Sherbrooke (Québec)
J1H 5M7
Bonjour à vous tous,
 
Qui consciencieusement liront cette lettre du début à la fin.
Comme tous ceux qui l'auront reçu par courrier enregistré copie conforme.
«Les paroles s'envoleront toujours, comme les écritures resteront toujours»
 
De même que :
 
«Toute vérité n'est pas bonne à dire, comme toute vérité est bonne à lire»

Cette lettre va me permettre de faire le point sur ma vie et sur bien d'autres, car à trente huit ans, moi, Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe décide de me mettre à nu devant Dieu et les humains pour le bien de toute l'humanité. Tout d'abord, la journée de mon anniversaire de naissance cette année, je me suis privé de 32 $ de nourriture pour obtenir un certificat de police provenant de la Gendarmerie Royale du Canada. Comme ce certificat atteste que les recherches dans le fichier national du Canada révèle qu'aucune personne de ce nom née à cette date n'a fait l'objet de condamnations criminelles ! Cela confirme que tout au long de ma vie adulte c'est-à-dire de 1975 à 1995 je n'ai aucun passé criminel. Ce Certificat a été signé d'office par l'agent Roux Martin CVO862 le 20 juin 1995 & plastifié comme on le fait pour un permis de conduire. D'ailleurs c'est en combinant les deux que j'ai pu obtenir une certaine paix comme itinérant. Avant de vous entretenir de cette période de clochard itinérant vécu depuis le douze mai dernier. Je dois vous parler de Serge Lacombe, l'enfant qu'on a vu naître le 20 juin 1957 au Centre Hospitalier de Verdun à 09 h 12.

Cet enfant est doué d'une hyperactivité dès son enfance. Qui plus est, trente mois après le premier respire à l'extérieur du ventre de sa mère, il en est conscient. Pauvre mère, elle qui a du se faire ouvrir le bas ventre pour me voir naître. Publiquement, je te dis merci et j'espère qu'un jour on va reconnaître tout le mal qu'on t'a fait. Mon père dans tout cela, a été plus appauvri que ma mère, car il fait partie de cette génération d'hommes élevés à coup de bâton. J'ai vu mon père violenter ma mère plus verbalement que physiquement cependant. Dès mes deux ans et demi, je savais que ce n'était pas la faute de mon père. Je me rappelle encore lorsque ma sœur se dirigeait vers moi en pleurant lorsque mon père empoignait sa femme par les bras en la secouant vivement pour lui faire comprendre que c'était l'homme qui devait contrôler la femme. Ma mère ne semblait pas vouloir l'accepter car elle se débattait et criait à en fendre l'âme. Devant cet acte de violence, je réconfortais ma sœur de mes quatre ans en la serrant dans mes bras et en lui disant : «Ce n'est pas grave, cela va s'arranger.» J'ai été baptisé le 30 juin 1957 dans cette paroisse. Et laissé moi vous dire que je les ai vécues plus d'une fois les sept douleurs.

Les sept douleurs sont reliées à cet hyperactivité qui m'habite depuis mon enfance.

D'ailleurs mon père me battait justement, car dans ce temps là, l'église disait que j'étais sûrement possédé du démon pour être hyperactif comme cela. Comment pouvais-je ne pas pardonner à mon pauvre père, avec la conscience que j'avais à cet âge là. En 1963, j'avais six ans et c'est à ce moment que madame José Laurent vient s'installer chez nous avec son conjoint, c'est-à-dire dans un salon double du logement que nous habitions ma famille et moi. Elle infirmière, lui médecin interne à l'hôpital ou je suis né, tous deux originaires d'Haïti ont tellement été bien reçu par mon père qu'ils ont eu un enfant que ma mère a élevé pendant six ans. Ensuite, ils sont partis travailler aux États-Unis.

Pendant ces six années, j'étudie à l'école élémentaire Richard. Je suis le premier de classe en toute matière malgré le fait que je suis obligé de me rendre à l'hôpital d'urgence en ambulance parce que mes confrères de classe me battaient. Que voulez-vous, mon hyperactivité ainsi que ma jovialité les dérangeais tous. D'ailleurs, en ce temps là, la maîtresse (voire professeur) nous lançait par la tête sa brosse à effacer le tableau, elle s'en servait même pour l'inverser à grand coup sur nos jointures. Lorsqu'elle en avait assez de moi, elle me conduisait elle-même au bureau du directeur de l'école.

Alors là, c'était l'enfer ! Le directeur était en fait un frère portant ce vêtement ras le sol. Celui que nous avions à la charge de cette école, nous redressait de la façon suivante : un morceau de cuir que les barbiers se servent encore de nos jours pour aiguiser leurs rasoirs. On l'appelait la banane de par la courbure de sa flexibilité. Ceux qui l'ont reçu de ce directeur s'en souviendront toujours car il s'élançait pour nous frapper la main comme pour réussir à fendre une bûche de bois.

Après m'en avoir donné six coups dans la main gauche et après m'avoir demandé si j'en avait assez eu, ce dernier me demandait la main droite pour équilibrer les deux mains. Était-ce pour tenter de faire sortir le démon en moi, toute cette torture dirigée contre moi. Quoi qu'il en soit, mon père, lui n'appréciait guère mon comportement et à chaque fois qu'on me redressait à l'école, il me battait à la maison. Aujourd'hui on n'utilise plus ces méthodes, devant l'hyperactivité d'un enfant on lui donne du Ritalin un médicament, c'est-à-dire qu'on contrôle son humeur dès son enfance par une drogue disons le, chimiquement légale.

Personnellement, laissez-moi dire que vous êtes vraiment hors de la volonté de Dieu.

À partir de mes six ans, la présence de la famille Laurent chez nous a eu son bon côté car mon père cessa de diriger toute violence envers ma mère. Cependant, mon père se défoulait sur moi, avec ou sans raison. Lorsqu'il avait cette soif de se défouler, il m'isolait dans la toilette et me frappait main ouverte sur la peau de mes fesses ou encore utilisait une palette que l'on se sert encore aujourd'hui pour brasser la peinture et ce directement sur la peau de mes fesses.

Ma pauvre mère ainsi que ma sœur furent témoins de toute cette violence physique dirigée vers moi,
tout au long de mon enfance et de mon adolescence.

Mais à chaque fois qu'on m'écrasait, je me relevais encore joviale et hyperactif. Je pardonnais toujours car j'étais conscient du pourquoi. C'est pour cette raison que toute ma vie, j'ai aidé le plus faible que moi au lieu de l'écraser comme la plupart des gens le font. C'est à l'école catholique que j'ai appris les dix commandements de Dieu. J'ai même pardonné mon cousin Luc de m'avoir jeté dans le fond d'un puits artésien tête première : Moi qui n'avait que six ans tandis que lui n'avait que quatre ans et demi. Depuis que j'ai appris la parole de Dieu que je m'acharne à servir Jésus-Christ notre Sauveur, je suis un de ses serviteurs poussés par l'esprit saint, je me relève à chaque fois, encore plus fort pour le servir.

C'est en 1970, que je termines ma septième année à l'école Jean-Jacques Olier. D'ailleurs, j'ai recyclé en cette fin d'année un dictionnaire que j'avais récupéré dans les poubelles de fin d'année de cette école. Je fais tout mon secondaire à l'école Richard. J'y vois énormément d'indiscipline, plusieurs facteurs expliquent cette déchéance académique. Premièrement, mes parents ne peuvent plus m'aider dans mes études car j'atteins un niveau d'apprentissage différent. Deuxièmement, cette indiscipline généralisée que les enseignants ainsi que la direction ne pouvaient venir à bout. Troisièmement, un certain Gilbert Jolicœur, m'écœurait et dirigeait vers moi toute cette violence gratuite. Il était pour moi une hantise certaine. J'obtiens mon diplôme de secondaire cinq en 1975. Durant toutes ces années je me suis fait plus d'ennemis que d'amis, car j'allais à l'école pour apprendre et non pas pour me battre. D'ailleurs, je courais le plus vite de l'école pour ne pas avoir à me battre justement.

À l'automne 1975, je fais mon entrée au Collège André-Laurendeau en sciences administratives, choix judicieusement établi par l'orienteur du secondaire. Moi, qui était bon en mathématique, aimerait travailler comme comptable agréé me disait-il. Cette année là, cela fait déjà cinq ans que je travaille vingt-quatre heures par semaine tout en allant à l'école. Sans compter, ces étés sans vacance, pour ne pas devenir trop lourd pour mon père. Pensant qu'il deviendrait compréhensible avec le temps. Le temps change en passant mais mon père n'y change rien.

Je suis devenu un homme, mon père a cessé toute violence physique, par contre lui augmente la violence mentale à l'égard de son fils unique. Je suis hyperactif donc hypersensible. Je nage dans l'alcool pendant deux ans, du matin au soir, pour oublier tout le mal qu'il me fait. Heureusement que cela n'affecte en rien mes résultats académiques. Le seul échec obtenu fut à l'hiver 1976 en calcul différentiel et intégral II, car notre professeur était délégué syndical actif contre le gouvernement de l'époque, voire grève générale des enseignants du Québec. Oui, par abus de pouvoir ce professeur avait coulé toute une classe.

Tandis que moi j'abusais de cet alcool, sans jamais affecter mon travail à temps partiel de même que mes études. Je me réveille à un moment donné avec une boule de feu grosse comme une orange, là où se trouve mon estomac. J'apprends par mon médecin de famille, celui-là même qui traite mon dossier médical depuis ma naissance. «Tu fais un ulcère duodénal, ce n'est pas grave en soit», me disait-il. «Tu viens de découvrir la faiblesse de ton corps, tu es nerveux comme ta mère», me dit-il encore. J'accepte son régime de six moi à la crème avec le Tagamet comme médicament pour m'en sortir temporairement. Ce médecin m'avait condamné à mourir avec, tandis que moi j'ai décidé d'aller me confié au Docteur Camille Simard en 1978. C'est d'ailleurs avec les conseils et le suivi du Dr Simard que je réussirai à me débarrasser de cette maladie en 1990.

Oui, à force de courage, j'ai su redresser mon cerveau moi-même sans l'aide de travailleur social (psychologue, psychiatre). Pour ceux qui ne sont pas au courant, la personne qui souffre d'un problème digestif de ce type doit réapprendre à penser et se défaire de cette mauvaise grille comportementale. Cela m'a pris treize ans à apprendre à gérer mon stress pour ne plus avoir de problème de maladies dites nerveuses.

En 1977, je suis forcé de prendre une année sabbatique car la vie collégiale et le travail à temps partiel de même que cette maladie nerveuse affectant mon estomac comme un lance flamme est insoutenable. Je suis embauché comme commis de bureau pour l'Hydro-Québec jusqu'à février 1980. Pendant ce temps, j'étudie le soir : 225 heures en Dessin Architecture 1978-79, 120 heures en Moteur I 1979-80, 60 heures en menuiserie 1980, 120 heures en Électricité automobile de base I 1980-81. Lorsque je remets ma démission à mon supérieur immédiat à l'emploi de l'Hydro-Québec, on me dirige au bureau du directeur du personnel du siège social. Pendant une avant-midi complète celui-ci essaie de me convaincre de rester.

Je lui dit que cela m'a pris trois ans de ma vie pour me rendre compte que mon hyperactivité ne me permet pas de travailler comme fonctionnaire.

Entre-temps, je rencontre Joanne Vincent technicienne en radiologie, dans une discothèque le 20 juin 1978. Peu de temps après, j'apprends qu'elle est la fille de Romuald Vincent et de Angèle Lafrenière. Le premier septembre 1979, nous nous sommes mariés en cette paroisse Saint-Clément devant Dieu et les humains. Mais voilà que subitement et six mois après avoir célébré notre mariage, elle me dit qu'elle ne m'a jamais aimé. Je ne veux vraiment pas la quitter car je l'aime. Je fais alors parti de ces hommes battus, car elle m'applique de solides gifles pour me convaincre de partir. À un moment donné, je n'en peux plus parce qu'elle menace de se suicider ou de me tuer alors je pars.

Bilan : six mois de mariage, jugement irrévocable de divorce prononcé le 26 février 1982 obtenu d'un faux aveu de violence conjugale de la partie défenderesse, perte financière par moi de 20,000$.  en la paroisse Saint-Clémemt de Montréal, entre Serge Lacombe et Joanne Vincent fut déclaré nul et invalide devant l'église catholique le 21 septembre 1990 par le Tribunal ecclésiastique de Montréal et confirmé par le Tribunal d'appel du Canada le 11 janvier 1991, coût par moi 600$.

Je pardonne encore, même si je reconnais cette arnaque pur et simple. Un jeune homme hyperactif, jovialiste et doué d'une servitude envers Jésus-Christ notre Sauveur, comme moi ne pensera jamais être arnaquer comme cela. Je devenais naïf, sans m'en rendre compte car j'imaginais le tout impossible.

C'est immédiatement après avoir quitter l'Hydro-Québec que je commence à faire mes débuts dans la vente sur la route. Un mois au Club Automobile Canadien pour apprendre qu'avec seulement une troisième année on pouvait se faire un revenu annuel dans les six chiffres. Ce ne fut pas mon cas, je suis forcé d'admettre que durant quatre ans je m'efforçait de travailler soixante heures par semaine pour en retirer un salaire annuel en dessous du seuil de pauvreté. C'est en février 1982 que je termines un cours de relations humaines Sylva Bergeron avec mon amie Lynda. Pour essayer de faire découvrir un art de vivre..., avec soi et les autres en développant le savoir, le vouloir, le pouvoir et le croire chez mon amie. Ce fût peine perdu. Le 21 janvier 1984 je termines un cours d'initiations aux micro-ordinateurs. Cela m'intéresse vraiment.

À l'automne 1984, je suis inscrit malgré moi en technique juridique, car initialement cela se voulait un retour au étude en technique policière. Que voulez-vous depuis 1977 que j'essayais de percer tout les corps de police pour devenir agent de la paix. Aujourd'hui je sais très bien pourquoi on n'a jamais voulu me donné ma chance.

La première chose que je déclarais en entrevue, 
c'était que je serai un policier incorruptible.

Pour effectuer ce retour aux études sans que ce soit un fardeau pour ma compagne je travaille pour une agence de sécurité au Village Olympique de 18 h 00 à 06 h 00 le matin et cela 7 jours sur 14. À voir mes résultats académiques pour un homme de vingt huit ans on pourrais dire que j'avais juste à étudier. J'abandonne en me disant que le milieu d'huissier est trop fermé pour m'y laisser entrer. Et que dans le fond, ce n'est peut-être pas ce que je cherches. Vais-je chercher toute ma vie comme cela, me disais-je.

Au printemps 1985, je décide de m'engager comme représentant commerciale dans le domaine de l'équipement de garage pour la compagnie Bear Automotive Inc.

Au moment de mon embauche, je possède un diplôme d'études collégiales en Sciences humaines avec maths, quinze ans d'expérience de travail à servir le public, je possède quatre ans d'expérience comme homme de service et pompiste dans une station service. De plus je me débrouille en langue anglaise et j'ai acquis une certaine formation théorique qui me permettra d'être capable de vendre ces pièces d'équipements de 35 000 $ pièce.

Le directeur monsieur Ronald Routhier m'engage même si je n'ai pas de voiture à ma disposition. Le lendemain de mon embauche, je loue une Ford Escort 1985, à court terme le temps de voir mes ventes progresser. La compagnie me donnait 1 500 $ d'avance sur salaire, j'avais 650 $ à payer pour l'auto seulement en plus de l'essence et de ma nourriture. Je travaillais en moyenne quatre vingt heures pour me faire un nom. Voilà que six mois après mon embauche, je découvre que le directeur Ronald Routhier de la compagnie Bear Automotive Inc me voles 700 $ à même mon salaire. Plutôt que de lui demander un remboursement, je me dis que s'y il vole le plus pauvre, il en vole sûrement d'autres. Je décide donc, de faire une enquête criminelle tout en travaillant.

Le 19 octobre 1985, je mets tout mon enquête sur papier et j'en fais quatre copies. Le dimanche 20 octobre 1985, je me rends à Toronto, je couche au Relax Inn pour être frais et dispos le lendemain matin. Veuillez prendre notes, tous ceux qui me lisez que je vis sous le seuil de pauvreté établi en ce temps là. Cependant, je n'hésite pas à mettre toute dépenses relatives à ce voyage sur mes cartes de crédit. Ma côte de crédit est à ce moment A-1 partout. Le lundi matin, 21 octobre 1985, je me rappelles être debout devant le président de la compagnie au Canada monsieur Ted Hyde, le directeur pour l'Est du pays monsieur Ross Jenkins ainsi que le contrôleur de l'époque. De neuf à treize heures, cela sans arrêt je leurs parles en anglais et eux suivent avec mes écrits. Avec quatre pages d'écrits ainsi que des preuves très incriminantes, je réussis à faire prendre l'avion à ces hommes la journée même vers Montréal.

Mardi matin monsieur Rod Boursier secrétaire de notre branche à Montréal ainsi que monsieur Camille Roy un représentant qui s'amusait depuis le début à venir vendre son équipement usagé dans mon territoire par la porte de derrière ont été congédié. Tandis que le directeur monsieur Ronald Routhier a été suspendu pour être finalement congédié au bout de quinze jours. Monsieur Routhier, lui-même, se chargea de venir m'intimider en me demandant un matin d'aller emprunter ou voler 600 $ et de lui remettre, car la compagnie l'avait forcé à rembourser cette somme. Je lui répondis qu'il me devait 700 $, qu'il était responsable lui-même de sa vie et de ne plus me harceler avec cela. Forcé d'admettre que pendant plusieurs mois, je me promenais comme un transporteur d'argent, car cet homme pouvait me faire la fête à tout instant. J'apprit plus tard qu'il avait eu des problèmes cardiaques après son licenciement.

Pourquoi avoir risqué ma vie à les dénoncer comme cela,
c'était pour moi la voie du saint esprit,
la volonté de bien servir mon Dieu,
Jésus-Christ notre sauveur.

À force de courage, de persévérance et de patience, je suis devenu un bon vendeur dans mon domaine. Je me suis acheté un Buick Somerset 1985, flambante neuve. J'ai été le premier représentant dans le domaine de l'automobile à me doter d'un téléphone cellulaire. Pour moi le service à la clientèle était très important. Un jour, j'ai passé une journée au Centre d'estimation Guy Jalbert de Rock Forest à attendre un pont de levage pour automobile qui tardait à être livré par le transporteur. Après quatorze heures d'attente, je l'ai installé de vingt heures à six heures du matin. C'est monsieur Guy Jalbert lui-même, qui me réveilla le lendemain matin. Pour moi la marchandise était livrée, ce n'est qu'un exemple pour démontrer la notoriété que j'ai su obtenir dans le domaine de l'automobile. Tout mes compétiteurs savaient qui j'étais, comment je m'appelais, avec quelle efficacité je travaillais à servir ma clientèle. Au printemps 1987, j'étais au summum de mon art, j'étais devenu le meilleur vendeur dans l'équipement de garage.

Au mois de juin 1987, un homme du nom de Myer Bloom viens me voir pour m'offrir d'aller travailler à Québec. Je lui explique que je gagne bien ma vie à travailler dans la région de Montréal, alors pourquoi déménager à Québec. Monsieur Myer Bloom était alors Directeur de l'Est du Canada pour la compagnie Moog Canada Ltd. Je suis forcé d'admettre que j'avais une bonne opportunité de travail.

Gérant de territoire pour une partie de Montréal,
les Laurentides, l'Abitibi et le Témiscamingue.

Cependant, un coup que je ne peux plus revenir en arrière, c'est-à-dire un coup que j'ai réussi à vendre mon auto à monsieur Serge Grenier et que je me déplace avec l'auto qui m'est fourni par mon employeur, monsieur Myer Bloom commence à me démontrer sa vrai nature. Assez que je m'invite à aller le rencontrer à son bureau un vendredi après-midi du mois de juillet. Je lui fais remarquer alors que je n'avais pas besoin de lui pour vivre et qu'il devra à partir de ce moment là respecter ses employés, en commençant par monsieur Raymond Briand qui cumule quatorze ans de servitude pour lui, monsieur Gilles Lecompte sept ans de servitude aussi bien que moi évidemment.

Monsieur Myer Bloom s'est toujours entêté à ne pas respecter ses serviteurs en tant qu'humain. Il a même tenté de s'accaparer de vingt pour-cent de mon bonus en 1987, soit une somme de 1 500 $. Somme que j'ai récupéré à notre meeting national annuel du mois de décembre, devant toute la force de ventes de Moog Canada Ltd. Monsieur Bloom, à partir de ce moment là, ne me fait pas de cadeaux, tout les moyens étaient bons pour rallonger mes semaines de travail, par contre mon employeur m'a permis de me rendre en Floride, plusieurs fois à St-Louis, Missouri, ainsi que plusieurs fois à Toronto, en plus de me permettre de voyager partout à travers la province de Québec. Tandis que monsieur Bloom nous écœurait au travail, nous qui travaillions tous ensemble à dépasser les objectifs de ventes de la compagnie. En Abitibi/Témiscamingue mon territoire est passé de 60 à 90 % du marché. J'étais encore devenu le meilleur dans mon domaine.

En 1987, j'obtiens ma première lettre de reconnaissance d'un de mes clients. En 1988, monsieur John M. Giebe senior vice-président me remets sa plume Cross personnelle en or me disant que peu de gens en possède une et que j'aurai à signer des lettres importantes tout au long de ma vie avec cette dernière. Le 23 mars 1989 monsieur Myer Bloom me fais venir à son bureau de Pointe-Claire dans l'après-midi pour me remettre un avertissement écrit juste avant de partir pour le Mexique des fruits de nos labeurs. C'était un jeudi saint, sa lettre était C.C. : Mike Holland, Directeur des ventes Nationales ainsi que Mary Jones Directrice des ressources humaines.

J'étais tellement en colère, d'autant plus que cet avertissement n'était fondé
que sur un paquet de mensonge et qu'il venait de se doter d'une arme
pour pouvoir me congédié dans les trente jours suivant la tombée de cette lettre.

Le vendredi saint, c'était congé pour mes confrères de travail mais pas pour moi. Je me suis emparé de faits réels et j'ai couché la vérité sur papier. Quatre pages pour démontré le non fondé d'un avertissement écrit d'une page. J'ai fait parvenir cette lettre à mon patron, C.C. : aux même personnes. Cela a prolongé mon emploi d'un an. Quel année ! Le supérieur immédiat me rendant la vie encore plus dur. Le 7 juin 1989, on parle de moi en bien au journal anglophone The Gazette, car pour la première fois de ma vie je donne de mon sang sur le bateau Honmoku Maru de Nissan, ce dernier étant amarré au vieux port de Montréal pour une vente de voiture, moi qui travaille en vélo cette journée là car l'auto de fonction est au garage pour un problème d'entretien de freins. Le 13 novembre 1989, j'ai du lui écrire une lettre à Monsieur Bloom lui demandant de cesser de me harceler concernant un bris mécanique dont je n'étais même pas responsable, C.C. à cinq travailleur du siège social de la compagnie, soit toute les personnes concernées par cette histoire de bris mécanique.

Bilan de cette expérience de travail, congédiement réussi par monsieur Myer Bloom par conspiration avec l'aide de certaines personnes œuvrant comme dirigeant d'entreprises semblables à celle auquel je travaillais. Et cela juste après m'être acheter une maison avec la femme que j'aimais. J'ai plusieurs lettres de clients satisfaits. Tout le monde dans le domaine de l'automobile m'appréciait pour le travail que je leurs fournissait, j'étais le meilleur. Pour quelle raison, n'ai-je pas pu être embauché par un autre employeur dans le domaine de l'automobile. Monsieur Myer Bloom a mené une campagne de salissage à mon endroit tout simplement.

Perte causé par cette conspiration : maison, blonde, 30 000 $ de salaire annuel, 7 500 $ de Bonus, 2 500 $ d'essence personnel pour l'année, perte de 1 500 $ de vacance, voiture de fonction disponible 24 h, nourriture fournis par l'employeur dans le cadre de mon travail, perte de possibilité d'avancement, etc....

D'avril à décembre 1990, je fais parvenir 500 curriculum vitae, pour passer 50 entrevus, pour être finalement embauché par un requin de la finance. Lors de mon embauche monsieur Gaétan Bourdon président et propriétaire de Beauté Star Inc sise à Ville Saint-Laurent comme distributeur de produits de coiffure, s'est avéré pour moi un menteur direct. Au deux questions que je lui ai posé, j'ai obtenu deux mensonges.

Bilan cet homme est menteur à 100 % !

Qui je remplace et pourquoi lui ai-je demandé. Il me répond qu'il viens de perdre un homme qui travaillais pour lui depuis dix ans et que cet homme travaillait comme un dieu pour lui, d'ailleurs il a tellement bien travaillé me dit-il que je suis obligé de le remplacer par deux hommes pour couvrir son territoire.

J'accepte de prendre un des deux territoires pour découvrir dès la première semaine de travail que celui que je remplace c'est fait mettre dehors car il vendait pour lui-même en plus de vendre pour son patron, d'où son congédiement. Je m'acharnes à y travailler pendant dix mois quand même, parce que j'ai tout de même confiance en moi. Cependant lorsque j'ai des problèmes de territoires, je n'ai aucun support de monsieur Gaétan Bourdon. D'ailleurs le seul support que j'ai eu de cet homme, c'est lorsqu'il est venu travailler à Coaticook avec moi pour m'aider me dira-t-il.

Bilan de cette journée selon lui j'avais besoin d'un cours de diction et d'un cours de ventes.

La semaine d'en suite je lui ai rendu ma démission. Si monsieur Bourdon avait été franc et honnête lors de mon entrevue, je n'aurais définitivement jamais travailler pour lui. Je comprends maintenant pourquoi il est devenu propriétaire de la compagnie Bédard de Québec distributeur de produits de coiffure.

De septembre 1987 au 1er août 1990, je fréquente une jeune femme que j'aime et que j'aide beaucoup, son nom est Johanne Provencher fille de monsieur Ernest Provencher et de madame Françoise Guillemette. Cette femme était très près de moi et j'étais très près d'elle. Elle étudiait au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke pour devenir médecin. Aujourd'hui elle est médecin interne dans un hôpital de la région de Québec, elle sait que j'ai pris une part active dans le succès de ses études, car j'ai investi beaucoup dans notre relation de couple sans jamais la brimer dans ses choix personnels. Et même, à un moment de sa vie d'étudiante en médecine, elle m'annonce avoir été sollicité par l'armée canadienne pour un contrat d'enrôlement dans les forces.

Elle me demande mon avis, car elle ne veut pas que je m'éloigne d'elle par le choix qu'elle fera. Je prends alors le temps d'éclairer son choix avec elle, en prenant une feuille de cartable que je sépare par un trait de crayon en plein centre de cette feuille et à la verticale. Je lui dis : «Lorsqu'il faut faire un choix important dans notre vie, il s'agit de peser le pour et le contre de ce choix. Vois-tu Johanne, si tu ne t'enrôle pas dans les forces armés, tu vis un endettement de 10 000 $ par année ce qui fait un endettement total de 30 000$. Par contre, si tu accepte leur invitation afin de combler leur besoin, ces gens t'offrent un salaire annuel de 25 000$ en plus de défrayer tout tes frais de scolarité. Tu pourras donc facilement mettre de côté 10 000 $ annuellement ce qui fera à la fin de tes études 30 000 $. Cependant tu devras remplir ton contrat avec eux et ce jusqu'à la fin de ce dernier, tu t'engages dans ce contrat à servir l'armée pendant cinq ans après tes études. Si jamais tu brises ce contrat, ils seront en droit d'exiger de toi tout l'argent qu'ils t'auront versé. Pour ce qui est de ces cinq ans cela est vite passé et peu importe le choix que tu feras, en ce qui me concerne, je n'ai pas l'intention de m'éloigner de toi.» Après s'être enrôlée dans l'armée, elle doit à l'été 1990 partir dans l'Ouest canadien pour recevoir une formation d'officier.

Séparé pendant deux mois, je l'attends avec une fidélité puritaine par amour pour elle. Au retour de cette base militaire, les sentiments qu'elle avait jadis pour moi avaient changé. Était-ce parce que j'avais été congédié injustement par la compagnie Moog Canada Ltd à peine un mois après l'achat d'une maison en copropriété ? Était-ce vraiment par son évolution personnelle ? Ou bien ! Suite à une enquête militaire sur ma personne sans que je le sache. Aujourd'hui, je suis en droit d'émettre ces trois hypothèses, car le 30 ou le 31 mai je me rend au poste de police #22 pour m'entretenir avec le même policier d'office que le lundi 29 mai 1995 que je pourrais éventuellement clairement identifié car je possède une bonne mémoire photographique que la médecine n'a heureusement pas réussi à détruire. Ce policier m'apprend qu'il serait en droit de me placer en cellule car il y a un mandat criminel d'amené contre moi et que tout les corps policiers me recherche depuis 1979 me dit-il. je lui dis alors : «Cela est impossible, il y a erreur car moi je ne me suis jamais caché de la police moi qui ai toujours travaillé et qui suis toujours allé à l'école.» Il me dit : «Tu vas voir on va te le démontrer, on va sortir ton dossier sur l'imprimante.» Puis sortant un papier long comme le bras sur cette imprimante il me dit : «En 1979, tu restais à Saint-Léonard, as-tu demeuré sur la rue Cellier ?» Je réponds alors par la négative. Il me dit : «OK ! Ce n'est pas toi qu'on cherche.»

Qui cherche-t-on alors et pour quelle raison ? On cherche Serge Lacombe, né le 20 juin 1957 comme moi, avec le même physique que moi, mon sosie quoi, cependant mon sosie aurait dirigé «Violence sexe envers une ou plusieurs femmes en 1979.» En 1980, je me rappelle encore avoir été arrêté par un auto patrouille dans le cartier Hochelaga à Montréal sur la rue Haig, si ma mémoire m'est fidèle. Ce policier m'avait donné comme raison qu'un feu arrière était brûlé. Il me demande alors de sortir de voiture pour constater le bris. Comme je lui dis que tout est normal, quatre à cinq autres auto patrouilles arrivent en renfort, puis on me fouille sommairement. C'est alors qu'arrive un détective dans son auto banalisée qui sort de voiture en disant en m'éclairant en plein visage : «OK ! Les gars ce n'est pas lui qu'on cherche.» Il s'en vont tous. Tandis que moi je demande au deux derniers pour quelle raison est-ce qu'on m'a confondu avec un autre individu comme cela ? Ils m'ont dit : «Toi mêle-toi pas de cela et poursuit ton chemin.» J'ai trouvé l'événement loufoque à ce moment là, sans plus.

D'ailleurs du 1er août 1990 au 24 juin 1992 nous avons habité ensemble se considérant comme ami parce que sa vie amoureuse avait pris un autre cheminement. À partir du 1er août de cette année là, je suis forcé d'admettre que j'ai passé à travers une peine d'amour qui a durée dix mois. Pour m'en sortir j'ai vu un médecin qui m'a conseillé un cours universitaire de yoga et de massage suédois. Pendant cette période je n'ai pris aucun médicament pour contrôler mon humeur. Qui plus est, je n'étais pas dangereux ni pour moi ni pour les autres.

Au mois de juillet 1991, je subis le vol de ma voiture et comme je suis à ce moment là, jugé par l'ajusteur de la compagnie d'assurance comme vivant d'un emploi précaire, on m'accuse délibérément d'avoir volé ma voiture. Le sort en est jeté, je suis confronté à passer un interrogatoire du Service anti-crime des Assureurs par monsieur Jacques Bergeron agent spécial. L'enquêteur monsieur Bergeron a terminé son enquête le 14 mai 1992 pour finalement établir que je n'étais pas mêlé à mon vol d'auto ni de près, ni de loin. Je communique le tout à l'ajusteur monsieur Jean Denis Brault de Déry Barette & associé, ce dernier est malade et remplacé par quelqu'un d'autre, je ne sais pas par qui. Ce dernier me dit : Ce n'est pas parce que l'enquêteur du Service Anti-crime des Assureurs a conclu que tu n'es pas mêlé au vol de ta voiture qu'on est obligé de te payer. Cela m'a pris six mois pour me trouver un avocat avec assez de couille pour poursuivre légalement la compagnie d'assurance Missiquoi & Rouville.

Cela fait trois ans que cette compagnie d'assurance m'offre 3 000 à 4 000 $, lorsque j'exige d'eux 16 000 $ plus les intérêts encourus depuis le vol qui remonte à juillet 1991.

Au mois de novembre 1991, monsieur Benoît De Gari ex compagnon de travail pour Beauté Star Inc. Nous avions été engagé au même moment pour remplacer un certains Rock Leclerc afin de couvrir la région de Sherbrooke. Le but de son appel était de me donner le numéro de téléphone d'un homme qui était à la recherche d'un chauffeur pour le conduire en Floride avec sa voiture. Je téléphone à Monsieur Hubert de Palma pour apprendre qu'il est prêtre Catholique. Je lui dit que cela ne change rien, car il a besoin d'un chauffeur et que moi j'ai au-delà d'un million de kilomètres de parcourus et que je saurai installer une chimie incroyable entre nous. Je pars avec lui et nous nous arrêtons à Ocala en Floride pour voir madame José Laurent, cette dame qui habita chez nous lorsque j'étais enfant. Puis finalement, je passe dix jours chez lui à North Fort Myers sur la côte ouest de la Floride. Je me cherche du travail et je suis venu très près d'en trouver un.

Je suis revenu au Québec avec un collier en cuir et la tête d'un ours sculpté dans de l'os par un indien séminole. Ce souvenir de la Floride va changer ma vie complètement. Car après avoir passé quarante-quatre heures en autobus pour revenir dans mon pays et je fais la rencontre d'une fille du nom de Pauline Déraps quinze jour après mon arrivée à Sherbrooke qui m'apprends qu'elle étudie au Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke)  pour devenir technicienne en Santé Animale. J'envisage donc, comme elle un retour au étude dans la même technique. J'envoies par courrier recommandé mon inscription le 20 février 1992 à madame Monique Lafnier aide pédagogique au Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke). Puis au printemps, je dois refaire ma chimie du secondaire IV & V, afin d'être accepté dans cette technique. Je décide au même moment de refaire ma physique du secondaire pour arriver à bien départager ces deux sciences pures. Surpris, j'apprends par madame Monique Lafnier qu'elle me refuse au premier tour de sélection, parce que, me dit-elle, ma chimie du secondaire V n'est pas terminée. Je lui répond que c'est un préjudice contre moi car les étudiants de jour n'ont pas fini eux aussi. Je suis finalement accepté pour l'automne 1992 comme je le désirais.

Parallèlement à cette période, je fréquente mon amie Pauline. Celle-ci me confie au mois de janvier que son frère Sylvain est dans un état très précaire. Elle me raconte que son frère a eu un accident très grave, s'étant fait frappé par un chauffard le 8 novembre 1991 dans son village d'Aguanish. Qu'il était présentement à Sept-Îles avec une fracture multiple à la jambe gauche et souffrant d'une dépression profonde. Devant l'urgence de la situation, j'offre à Pauline de défrayer le coût de la location d'une auto avec elle et je pars seul pour Sept-Îles. Arrivé à Sept-Îles le soir, je rencontre Sylvain et sa mère chez l'un de ses oncles. Je rassure la mère de Pauline et le lendemain je reviens avec Sylvain. Il est vraiment dans un état confus par tout ces médicaments. Car Sylvain est atteint de plusieurs maladies psychotiques, en plus de ces quatre tiges qui lui traversent son tibia.

Bref, Sylvain avait un besoin urgent de se faire changer les idées en ce temps là et Pauline et moi y sommes arrivés. Sylvain est venu visiter Sherbrooke et dans cette semaine nous sommes allés visiter une animalerie tous ensemble. Ils ont découvert un chat et sont tombés en admiration devant lui. Le lendemain, j'ai été acheté le chat car je savais que c'était nécessaire pour Pauline d'en avoir un. J'arrive avec ce chat à la surprise de Pauline et de son frère. Bien sûr que Pauline a accepté d'en défrayer le coût avec moi sachant que je n'avais pas beaucoup d'argent moi-même. Au bout de la semaine, Pauline et moi avons décidé de ramener Sylvain à Sept-Îles constatant que sa jambe avait besoin de soin ainsi qu'un renouvellement de médicament. Pourquoi, m'ai-je investi de la sorte dans cette relation ? Eh bien ! Le petit Robert appelle cela de l'altruiste et laissez-vous dire que ça dérange tout le monde qui sont égoïstes.

Au mois de juin 1992, je me suis impliqué comme bénévole de «La Grande Randonnée Cycliste de l'Estrie». Le 24 juin de la même année, je me casse la clavicule gauche en vélo. Dans cette douleur insupportable sans l'aide de ces antidouleurs, je réussi à faire rire le monde en leur racontant ma chute de vélo. Même dans l'épreuve je continu à aider mon prochain comme moi-même. Je fais tellement de bien dans mon entourage, que le 24 juillet de la même année, mon ami Gordon Bruce m'invite sur son bateau moteur de trente-six pieds. Son bateau est amarré au quai, lorsque celui-ci explose que nous n'avons même pas eu le temps de partir. Quel horreur, nous sommes tous partiellement brûlés à différents degré par un beau vendredi ensoleillé. Par chance que j'étais sur place car le propriétaire de la marina ou nous étions voulais appliquer généreusement du beurre sur nous ou encore nous inviter à sauter dans sa piscine quand je sais que cet eau renferme énormément de produits chimiques. Du beurre sur une brûlure cela vient d'une vielle croyance médicale, on pensait que cela favorisait la guérison dans le temps maintenant on sait que cela active la brûlure. Je savais que ça prenais de l'eau froide, j'ai alors invité tout le monde à prendre une douche d'eau froide et de se mettre à l'ombre. Tandis que je demandais que l'on couvre d'une couverture cette femme la plus brûlée de tous car sa peau avait déjà commencé à clocher. Cette dernière est demeurée six mois à l'hôpital parce qu'une infection s'est installée dans ses plaies. Que serait-il advenu de cette femme si nous lui avions versé du beurre sur son corps.

C'est comme lorsque je suis intervenu pour étouffer le feu répandu sur une nappe de cuisine causé par de l'alcool de réchaud à fondue. Par chance que j'ai sacrifié cette nappe neuve plutôt que de voir un autre invité essayer de l'éteindre avec de l'eau. C'est comme tirer sur le frein à main d'une Camaro lorsque vous êtes passager et que votre amis est dans un état de panique parce que sa voiture dévale la côte Belvédère sud à Sherbrooke et que le système de frein hydraulique ne répond plus. Par chance, qu'il avait suivi mon conseil l'année d'avant quand je lui ai demandé de faire réparer son frein à main. Éric Nutbrown se rappellera toujours de cette balade en voiture par un beau samedi soir. Combien de personnes ai-je réellement sauvées ? Je ne saurais vous le dire, mais une chose est certaine en situation d'urgence je ne panique pas et je suis hyper efficace.

Le 24 août 1992, je fais mon entrée au Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke). Dès cette journée, je réalise que certains professeurs se demande bien qu'est-ce que je viens faire en technique santé animale, moi qui viens justement d'avoir trente-cinq ans. Certains professeurs offrent même une réticence certaine. D'ailleurs, dès la première session d'études quelques jeunes confrères de classe me rejettent et en entraînent d'autres avec eux. L'indiscipline s'y installe et aucun professeur n'ose mettre de la discipline là-dedans, aucun d'entre eux n'invite les étudiants à cesser qu'on me rejette. Car, on espère sûrement que je quitte cette technique.

Je passe par-dessus tout cela en faisant du yoga. Au même moment je travaille au Motel La Réserve, 4235, rue King ouest, Sherbrooke comme auditeur de nuit, c'est-à-dire du vendredi et samedi soir de vingt heures à huit heures. En cette première année, je suis premier de classe et je réalise que certains étudiants de troisième année pleurent parce que l'on ne leur fourni pas l'épanouissement qu'ils espéraient dans le choix de leur stage. Je m'implique et je deviens l'un des directeurs pour «La Grande Randonnée Cycliste de l'Estrie» comme directeur ce qui veut dire qu'une fois la semaine, je participe à une réunion du conseil d'administration en présence de monsieur Laurent Péloquin, Président-fondateur de cet événement. D'ailleurs, le 3 juin 1993, j'ai reçu, du maire de Sherbrooke de l'époque Monsieur Paul Gervais, une lettre de félicitations et de remerciements.

Au mois de février 1992, je viens en aide à une femme monoparentale, je lui prête quatre-vingts dollars pour qu'elle puisse nourrir sa petite fille. Le 10 mars 1992 madame Suzy Déraps me rembourse avec un chèque en sachant que son compte est en provision insuffisante. J'attends toujours son remboursement. Le 8 mai 1993 monsieur Serge Leroux arnaque la Caisse Populaire Sherbrooke Est en même temps que plusieurs commerçants de la région. Monsieur Leroux demeurant dans la même maison de chambre que moi, il m'arnaque aussi.

Je réussi à obtenir signée de sa main une reconnaissance de dette de 3 200 $
son numéro d'assurance social est 263 631 465 ou 475
et son numéro de permis de conduire est LERS 6610 3114.

Au moi de juin 1993, je travaille pour Travaux étudiants Stéphane Ricard. Je poursuis ce dernier par la Commission des normes du travail, j'attends toujours mon argent. Alors dites-moi comment se fait-il qu'on ne puisse m'aider légalement à récupérer mon argent. Je profites de l'occasion pour vous dire ce que j'en pense. Le problème, c'est qu'il y a une loi écrite qui peut toujours être interprétée de plusieurs façons. Cette loi écrite favorise toujours le plus riche ou celui qui fait le plus peur. Qui plus est, il y a toujours cette loi non écrite qui protège toujours ce malicieux. Lorsque nous livrons témoignage à la cour, nous demande-t-on de jurer de dire toute la vérité seulement la vérité en ayant notre main droite sur la Bible ? Est-ce que ces lois écrites respectent la volonté de Dieu ? Est-ce que ces lois non écrite respectent la volonté de Dieu ? Voilà d'où nous vient toute cette corruption malicieuse. Je pense qu'en 1995, il serait temps qu'on remanie tout ces lois en préparation du nouveau millénaire. On ne devrait plus permettre aux arnaqueurs, aux fraudeurs ainsi qu'aux voleurs de se sauver d'un remboursement légitime envers la victime.

J'ai travaillé du 1er août au 30 septembre 1993 chez Bombardier de Valcourt comme ouvrier spécialisé sur la ligne de montage de 23:00 à 07:00. C'est donc dire que du 25 août au 30 septembre, je dormais une heure sur le plancher de la salle de cours et deux heures le soir avant d'aller faire ma nuit de travail. Je blâme monsieur Stéphane Ricard pour cette période difficile de ma vie. Par chance que je n'ai pas mis mes études en péril. Dès le mois d'octobre, je convainc les propriétaires Patrick Lagniel et Michel Igual du Restaurant La Falaise St-Michel de m'embaucher comme laveur de vaisselle et laveur éplucheur de légumes. J'y travaille jusqu'au mois de septembre 1994. Durant l'été, je travaille aussi chez Bombardier de Valcourt. Je cesse tout travail à la fin de cet été de 1994 car je m'embarque pour la dernière année du programme de santé animale. Ce qui veux dire pour moi que je passerai de dix-huit à trente-huit heures de cours. C'est maintenant très sérieux. Pour réussir, je dois cesser tout travail, je n'ai pas besoin de vous dire à quel point que tout ces argents perdus dans différentes arnaques me seraient très utiles pour cette dernière année d'étude. Heureusement que mes amis de la Falaise Saint-Michel étaient là de même que mon père qui me dépannait financièrement lorsque le besoin se faisait sentir.

Au mois de novembre 1994, mon professeur Patrick Metcalfe me convoque à le rencontrer dans son bureau pour me dire que si je ne change pas mon attitude mon cours de pathologie ainsi que mon cours de nursing sont mis en péril. Que personne ne veut plus travailler en équipe avec moi, que le problème c'est moi et non pas l'équipe. Je lui dit alors, que je suis rejeté depuis 1992. Que le problème, ce n'est pas moi mais bien l'équipe. Car moi, je suis au collège pour réussir mes études. Je lui fait part aussi que j'ai été nommé président de ma classe. Dès le mois de septembre, je m'empresse de m'informer auprès de messieurs Yvan Denis et Gérard Déshaies des procédures concernant mes stages car je tiens à avoir des stages spéciaux. Ces deux professeurs s'amusent alors à jouer au ping-pong avec moi. J'aborde alors monsieur Yvan Denis pour lui faire part de mon désir de le voir réuni à monsieur Gérard Déshaies concernant mes stages. Je leur fais part de mon désir d'aller faire un stage en Chine.

Je communique avec mon ami Geng Li Zhao, un homme que j'ai parrainé durant trois ans car il avait été admis dans mon pays comme réfugié politique. Le 10 octobre 1994, j'envoie une deuxième lettre à mon ami au sujet de mes stages. Pressurisé par ces deux professeurs pour obtenir une réponse, je communique avec une autre de mes amies, cette fois-ci, c'est madame José Laurent, résidant à Ocala, Floride. Je reçois une réponse de mon ami Geng Li provenant de Beijing (Pékin), en Chine. Cette lettre m'indique de communiquer avec monsieur Wang De Li du zoo de Beijing et que si j'ai besoin d'informations supplémentaires de bien vouloir communiquer avec lui.

Le 31 octobre 1994, j'envoie une lettre à madame Krist Carrol. Cette dame me mettra en contact avec madame Siobhan P. Ellion DMV. Cette lettre étant envoyée en anglais, mon professeur Yvan Denis s'est donné un malin plaisir à me la corriger en écrivant à l'endos : «Ou bien tu n'as pas de dictionnaire, ou bien, tu es trop paresseux pour fouiller dedans. L'apprentissage d'une langue passe par de très nombreuses incursions dans ce gros volume !» Soit dit en passant, j'étais un étudiant hyper ouvert avec mes professeurs et avec les étudiants de plus, je suis un adulte de 37 ans et j'ai composé moi-même cette lettre en anglais.

Le 27 novembre 1994, Madame Siobhan P. Ellison, DVM, PA a confirmé qu'elle serait contente de me recevoir et que nous semblons avoir un intérêt mutuel dans le yoga et que peut-être nous pourrions faire ensemble quelques salutations au soleil. Par cette réponse, je vois très bien que cette vétérinaire a très bien compris mon anglais et a très bien apprécié mon curriculum vitae.

Le 7 décembre 1994, à 08:30 le matin, messieurs Yvan Denis et Gérard Déshaies me disent que je n'irai pas en Floride. Parce que je suis un être farfelu, marginal, qui ne veut pas se mouler au moule qu'ils m'offrent pour mes stages, que je manque de sérieux et que je veux seulement me payer une vacance. Ils veulent me ramener sur terre d'un ton très agressif.

Pas plus agressif qu'eux, je leur donne entièrement raison en leur disant : «Je suis farfelu, marginal, et inmoulable. Pour aucune considération, je considérerai un stage au Québec car j'ai décidé que j'allais en Floride pour une immersion en langue anglaise. Il est même certain que je ne serai pas en stage vingt-quatre heures par jour et que je mangerai pamplemousses et oranges à votre santé. Que je partirai avec le voyage qui s'organise au collège par notre agence de voyage occupation quadruple six nuits et sept jours à Daytona Beach. Je serai donc à cent kilomètres de mes lieux de stages. De plus, je me demande moi, qui donc est le mieux placé pour le choix judicieux d'un stage, l'étudiant après deux ans et demi de formation en technique santé animale ou un professeur qu'il ne verra probablement plus de sa vie. J'ai droit à une certaine récompense après tout ces sacrifices de collégien et qu'avec les connaissances que j'ai en santé animale aujourd'hui, soit les mêmes que vous, l'un d'entre nous pourrais très bien se diriger dans l'animalerie pour empoigner un chat par la peau du coup et de le serrer jusqu'à temps qu'il étouffe.» Il est entendu ici que j'ai seulement mimé le geste pour être bien compris par ces deux professeurs véreux.

Pour faire sur d'être bien compris je me rends voir monsieur René Richard Registraire du Collège et responsable de tout ces stages. Je prends rendez-vous avec ce dernier le jeudi 8 décembre 1994 à 08:00. Le lendemain, j'arrive avec deux cafés pour le rencontrer à son bureau, j'ai dû l'agrafer car il se sauve de moi. Croyez le ou nom, il ne peut pas me rencontrer car il s'était appointé un autre rendez-vous plus urgent. Je remets donc mes cafés aux deux secrétaires en demandant à la secrétaire de monsieur René Richard un autre rendez-vous. Je rencontre donc monsieur Richard dans l'après-midi de jeudi après mon cours d'hématologie. J'explique clairement ma situation à monsieur Richard allant jusqu'à lui raconter toute la discussion que j'ai eu la veille avec messieurs Yvan Denis et Gérard Déhaies. Cette lettre du 27 novembre 1994 de madame Siobhan P. Ellison était arrivée par télécopie au fax central du collège et retrouvée le 8 décembre 1994.

Le vendredi 9 décembre 1994 monsieur Yvan Denis s'entête fortement à ne pas me confirmer ce stage car selon lui je n'ai pas l'expérience suffisante dans les chevaux pour m'y laisser partir. Bilan, mon stage clinique est confirmé par une vétérinaire et infirmé par mon professeur. Mon histoire réussit à faire le tour de notre département.

Mesdames Claire Bariteau et Martine Nadeau,
deux professeurs s'indignent devant cet entêtement de la part de
monsieur Yvan Denis car cette histoire risque de me faire échouer quelques examens.

Le dimanche 11 décembre 1994 à 08:30 je reçois un téléphone de Monsieur Yvan Denis, celui-ci me sensibilise au fait qu'il tient à superviser mon stage clinique. Il se propose d'écrire une lettre, de me la faire lire avant et de l'expédier à madame Ellison. Le lundi 12 décembre 1994, il me fait lire la lettre qui dit que je n'ai aucune expérience dans les chevaux et que cela sera au risque et péril de celle qui m'accueille. C'est le genre de lettre qu'on compose pour avoir un refus catégorique. J'autorise monsieur Yvan Denis à envoyer cette lettre car mon contact en Floride est très solide, je suis attendu là-bas par plusieurs personnes. La même journée madame Ellison réponds par fax en disant à mon professeur que selon sa croyance une conjonctivite chez la souris ça se traite comme une conjonctivite chez le cheval. Pour quelle raison, monsieur Yvan Denis me remet la copie de cette lettre et me confirme l'acceptation de mon stage le 15 décembre 1994 seulement.

Le 25 décembre 1994, je marche dans Montréal, pour finalement me divertir dans un bar de la rue Saint-Denis. Je me dirige vers une femme de trente-six ans, mère de trois enfants en bas âges, abandonnée par son conjoint depuis trente mois parce qu'elle avait fait une petite dépression me confia-t-elle. J'avais senti que cette femme avait besoin de mon aide. Elle était accompagnée de son frère ce soir là. Je demandais donc à son frère de nous reconduire chez sa sœur. Chose demandée, chose obtenue et je vous arrête car je ne fais que de la relation d'aide. D'ailleurs en cinq ans, j'ai énormément aidé de gens. Cela dérange énormément les gens qui sont payés pour aider ou pour guérir. Le 26 décembre 1994, madame Lyne Dusseault assistante infirmière en chef à l'hôpital Pierre Boucher de Longueuil, me remercie de lui avoir démontré qu'elle pouvait plaire encore à un homme. J'ai été reçu par madame Dusseault le 15 et le 16 avril 1995, à ce moment là j'ai fait la connaissance de ces trois enfants. J'ai même joué au Monopoly avec le plus vieux de ses garçons. Mon ami Gordon Bruce est venu me chercher en cette journée pascale pour aller dîner au restaurant Chez Doval au 150, rue Marie-Anne est à Montréal, parce qu'on y sert le meilleur poulet cuit sur la braise en ville. Il faut réserver au (514) 843-3390 et demander pour les propriétaires messieurs Marques ou Xavier. J'ai prié pour que le rêve de madame Dusseault se réalise et quelques mois après elle m'apprenait qu'elle fréquentait sérieusement l'homme qu'elle espérait rencontrer.

Le 31 décembre 1994, je me rends avec mon ami Éric Nutbrown au bar Meadow's de Sherbrooke pour fêter la fin de l'année et le début de 1995. C'est un rituel pour moi depuis cinq ans, moi qui habituellement ne bois pas en cette veille de jour de l'an je fais sauter quelques bouteilles de champagne que je partage avec mes amis. Le 1er de l'an 1995, je me rends à Montréal avec mon ami Jean-Pierre Champagne. Je vois toute ma famille et demande à mon père de me bénir comme cela fait parti de mes us et coutumes. Le 2 janvier 1995, je revois mon amie Lyne Dusseault, avant de partir sur le pouce vers la ville de Québec pour rendre visite à une de mes amies Lucie Taillon vérificatrice pour le ministère du revenu du Québec. J'avais été invité à passer la première semaine du mois de janvier chez elle, je fais connaissance avec son «chum» africain Abdou Amidou. Durant cette semaine, je rencontre une femme du cartier Saint-Sacrement qui se prénomme Marie-Claude. J'ai dépensé beaucoup d'énergie pour aider cette dame à ce sortir de cette dépression. Elle m'a même conduit à sa mère la première journée que je l'ai rencontrée.

Le 8 janvier 1995, je m'en retourne à Sherbrooke, mais avant de partir, j'invite mes amis Abdou, Lucie ainsi que Nancy Nolan une amie de Lucie à venir me rendre visite chez moi avant que je parte pour mes stages en Floride. Le mercredi 11 janvier 1995, je reçois une offre de stage au Québec par la compagnie Ami Alliance Médical, je décline cette offre en expliquant que ma voie intérieure me demande de me rendre en Floride. Cependant, dès mon retour de la Floride au mois de juin, je communiquerai avec lui. Je suis conscient qu'il se peut qu'il n'y ait pas de poste de disponible à ce moment là, je suis conscient aussi que s'il y en a un, on s'empressera alors de m'engager. Le jeudi 12 janvier 1995, à la demande de madame Marie-France Deschamps, 195, rue Beauharnois, Sherbrooke (Québec) J1G 3Z2, j'écris une lettre de motivation pour lui transmettre la «Force de courage» que je possède.

Bilan, du 2 au 15 janvier 1995,
j'ai aidé en relation d'aide quarante personnes + ou - deux,
sans recevoir de l'argent pour faire ce travail.
Je dirais même plus, que j'en ai dépensé pour servir Jésus-Christ notre Sauveur.

Le 16 janvier 1995, je commence ma sixième et dernière session, j'apprends aussi que j'ai réussi tout mes cours à date. Je fais alors le décompte devant tout le monde en commençant par le chiffre trente. Eh ! oui ! il me reste alors trente jours d'école et je suis celui qui est le plus enthousiasmé du collège, j'extériorise ce désir de réussir ce sprint final en beauté. Je suis celui qui s'est toujours assis avec ces jeunes nouveaux étudiants de Santé Animale pour partager un lunch, une discussion ou pour encourager ces jeunes à continuer leur projet d'études. Je suis président du groupe 1308 depuis l'automne 1993. J'ai même la responsabilité du fond monétaire de la classe depuis le 5 janvier 1994. Je possède alors : trente-sept ans et demi d'expérience de vie, vingt-cinq ans d'expérience de travail à servir le public, dix-huit ans de scolarité et j'ai travaillé tout en allant à l'école pendant onze ans. Ce qui m'a amené à devenir un grand livre ouvert pour aider l'humanité. Je suis humoriste jovialiste tout en étant un motivateur chevronné poussé continuellement par le saint esprit pour servir Dieu, Jésus-Christ notre sauveur.

Le dimanche 5 février 1995, je reçois à souper chez moi mon amie Lucie Taillon de Québec. Je fais le service du couscous que j'ai préparé moi-même avec amour. Je commence par servir Lucie pour ensuite servir ma colocataire madame Gaétane Gagné qui demeure avec moi au 880, rue Jogues #101, Sherbrooke, J1H 2X9. J'ai été pris d'une stupéfaction lorsqu'en servant Gaétane, elle m'a présenté à mon amie Lucie en disant : «Voici Dieu, Dieu en personne !»

Le lendemain matin au collège, j'ai demandé à mon professeur Patrick Metcalfe son autorisation pour m'adresser personnellement à la classe. Étant donné qu'il ne reste qu'une semaine de classe, suivie de deux semaine d'examen et que par la suite nous irons tous faire nos stages en nous dispersant chacun de notre côté. Je leur explique qu'étant le doyen de cette classe, je suis même plus vieux que notre professeur, que je ne peux pas partir sans leur laisser un Message. Je leur dit alors : «Que nous avons passé deux ans et demi ensemble comme dans une famille. Vous avez tous remarqué que j'ai été rejeté tout ce temps. Vous savez ce matin, j'ai pris le dictionnaire et j'ai vu la définition des mots excuse et pardon. Je n'ai pas à m'excuser devant vous car je vous ai tous pardonné. Cela commence par une personne qui en rejette une autre et qui en entraîne une autre avec elle. Il ne faut pas rejeter les gens comme cela car on est jamais à l'abri du rejet. Ça vous arrivera peut-être un jour, dans votre milieu de travail comme dans votre communauté.»

Je fais un retour en arrière en leur racontant cette histoire de l'automne dernier auquel je porte une chemise jaune et blanche et qu'un étudiant m'appelle le serin toute là journée ainsi que le lendemain lorsque je porte alors une chemise verte. D'ailleurs, j'ai même empoigné ce dernier par le coup après l'avoir entendu dire le serin pour une quarantième fois ce jour là. Cet étudiant se sent attaqué dans son ego. Alors, j'explique à la classe que je m'attendais à voir toutes ces réactions. Je prends à ce moment là une craie blanche et je trace à la verticale un trait de haut en bas de ce tableau d'ardoise. Puis je leur dit : «Vous savez à droite de ce trait il y a le bien et à gauche de ce trait il y a le mal. Il y a des gens qui font du mal et des gens qui font du bien. Il y a aussi des gens qui se trouvent sur ce trait, ces gens ont de la difficulté à différencier ce qui est bien de ce qui est mal. Ces gens subissent alors, l'influence du bien et la terreur du mal

Ensuite un étudiant intervient en me demandant de parler de mon enfance. Vous savez que lorsqu'on est ouvert comme un grand livre on devient par le fait même vulnérable devant ceux qui abusent. Je leurs racontent donc, que durant ma vie à l'école élémentaire j'ai été obligé de me rendre d'urgence à l'hôpital par ambulance parce que mes confrères de classes me battaient. Une fois c'était à cause qu'un enfant voulait me jouer un tour, il me dit alors de me pencher. Je me penche pour finalement recevoir son soulier dans l'œil. J'ai vu les étoiles, la noirceur et le lendemain j'étais dans la même classe en présence de mon agresseur et tous les autres qui ne voulaient pas être agressés comme je l'avais été. Je me rappelle que je n'avais aucune haine en moi car j'avais appris qu'il fallait pardonner pour ainsi faire selon la volonté de Dieu.

Le mercredi le 8 février 1995, à 10:30 je suis dans une pièce adjacente au local d'histologie car j'ai fini ce que d'autre non pas terminée, soit une lame. J'entends alors, l'étudiant qui me rejette en ternissant mon image depuis deux ans et demi, soit depuis le début de cette formation. Il continu encore, malgré l'effort que j'ai déployé le lundi en livrant un Message de paix devant la classe. C'est à ce moment là que j'affronte cet étudiant avec une violence verbale assez étonnante car je veux qu'il cesse de ternir mon image. Je lui demande devant tous ces étudiants de faire l'effort car cela lui demandera une demi-semaine de cour et deux semaines d'examens. Je le demande en mon nom et en celui de tout les étudiants, car je veux la réussite de tout le monde.

Les professeurs ont laissé perturber ce manque de respect dès le début.

Vous comprendrez la raison à laquelle je ne veux pas qu'on rendre responsable ce jeune étudiant né en 1972. Parce que je l'ai pointé sévèrement du doigt et que j'ai crié en sa direction afin qu'il cesse une fois pour toute. Une étudiante a paniqué et dans son état de panique elle en a fait paniqué beaucoup d'autres car elle m'a qualifié de Marc Lépine en devenir en disant à tout le monde qui voulait l'entendre :

«L'avez-vous vu, il est fou, il pourrait aussi bien se rendre chez lui
pour chercher des armes et revenir pour tous nous tuer comme Marc Lépine.»

Je tairai son nom car elle aussi est née en 1972 et tout comme mon confrère de classe je ne veux pas la rendre responsable de tous les embêtements que cette histoire m'a causés.

Le jeudi 9 février 1995, madame Claire Bariteau, professeur, me remet un questionnaire d'enquête du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke), session : Hiver 1995, en me disant qu'on m'avais choisi pour répondre à ce questionnaire socio-économique de soixante-six questions. Je suis surpris de voir que la première question est la suivante : «Quel est votre âge ?» Je suis probablement le seul étudiant de 37 ans du collège et définitivement le seul du département de Santé Animale. Dans l'après-midi, je termine de répondre à ce questionnaire, en constatant que mon nom est écrit à l'endos de la dernière page.

Cet écrit ne va-t-il pas à l'encontre de notre charte Canadienne des droits et libertés de la personne de même que la première question de ce sondage.

Je m'empresse alors de revoir madame Claire Bariteau pour lui demander qui a écrit mon nom. Elle me répond alors que, selon elle, il n'y avait pas d'offense car elle avait fait de même pour tout le monde. Je lui dit que cela ne l'excuse pas car c'est quand même à l'encontre de notre Charte Canadienne et que pour cette raison je retiens mon questionnaire Je tiens à vous dire que madame Bariteau sera protégée par ma fondation, car elle est aucunement responsable de tous les embêtements que cette histoire m'a causés. Elle a seulement été désignée pour faire le travail.

Parallèlement, le jeudi soir, ma colocataire Gaétane Gagné me parle de son livre de chevet «JE SUIS CORRECT, TU ES CORRECT.. Ce livre qu'elle m'invite à lire depuis quatre ans et dont je n'y voyais aucun intérêt. Elle me dit : «La philosophie de ce livre est toute simple. Selon ce livre, tout le monde est correct, ton père est correct, ton professeur est correct, moi je suis correct, toi tu es correct. Tout le monde est correct, le tueur est correct lorsqu'il tue, le voleur est correct lorsqu'il vole et le menteur est correct lorsqu'il ment. Souviens-toi Serge avant de tuer, tu vas voler et avant de voler tu vas mentir.» Je lui ai répondu : «Cela ne fait pas partie de mes valeurs à moi et toutes les religions sont bonnes, et qu'il faut cependant faire du bien avec. D'ailleurs que tu sois juif, grec, allemand, anglais, français, italien, arménien, libanais et que tu te fasses prendre à mentir, voler ou tuer, tu seras jugée et châtiée en conséquence de la gravité de ton acte.» Elle me dit alors : «On vit une guerre de religion toi et moi. Partout dans le monde, on se tue pour une question de religion. C'est la guerre la plus tueuse au monde.» Je lui réponds : «Tu n'a pas à avoir peur car moi je ne te tuerai jamais, toi tu vas peut-être me tuer, mais pas moi

Le vendredi 10 février 1995, à 08:30, madame Martine Nadeau professeur me dit que mon professeur Jean-Pierre Roy connaît un de ses amis qui comme moi possède un don et qu'il fait comme moi juste du bien avec, elle me demande est-ce que j'aimerais le rencontrer. Je suis alors en présence de ces deux professeurs et je réponds à Martine par l'affirmative en lui disant : «Mes guides physiques et spirituels me demandent d'aller rencontrer cet homme.» Elle me demande qu'est-ce qu'un guide physique et qu'est-ce qu'un guide spirituel. Je lui dis : «Tu es un guide physique pou moi de même que Jean-Pierre et qu'un guide spirituel tu ne le voies pas. Et que j'en ai une armée derrière moi, c'est pourquoi tu dois me conduire à cet homme.» Elle me conduit au cinquième étage du pavillon deux en faisant semblant de chercher le local. Je lui dit de me suivre car je sais ou est-ce que c'est et comme nous arrivons au bureau le psychologue sort pour nous accueillir. C'est alors que je me rends compte qu'il possède un don comme moi, il me reste à voir s'il s'en sert à bon escient.

Une fois à l'intérieur de son bureau, je me présente à lui comme étant Serge Lacombe, étudiant finissant en Santé Animale provenant du groupe 1308, et qui plus est celui qu'on a qualifié de futur Marc Lépine. Il me dit qu'il s'appelle monsieur Jean Soucy et qu'il est psychologue au collège. Je m'assoie car je suis invité à le faire. Je m'installe comme lui c'est-à-dire que je prends la même position que lui et devant Martine Nadeau mon professeur je lui demande : «Parles moi donc de toi !» Il ne s'attendait vraiment pas à cela. Martine m'offre donc de rester avec moi ou de partir. Je lui dit : «Si tu veux rester, tu reste et si tu veux partir, tu parts. Et je reconnais ne pas savoir la raison qui t'a amener à faire cela pour moi, mais peu importe la raison, tu n'aura jamais de problème avec cela car je t'aime beaucoup et te trouve très bonne de nous avoir enseigné alors quand même temps tu étais mère de trois enfants en bas âge.» Me voilà seul avec le psychologue Jean Soucy qui veux que je lui parle de moi. Je le ferai pendant une heure trente minutes et pendant ce temps je lui dis de temps à autre que je suis parfaitement lucide. Il me répond à chaque fois qu'il n'en est pas sûr et que cela lui fait peur.

À un moment donné, je lui demande de se mettre à ma place en tant qu'homme qui a été qualifié à tort de futur Marc Lépine, d'ailleurs on est venu me sonder parce qu'on voulait savoir ce que j'avais en dedans de moi. Je lui fait la lecture de la quarante quatrième question de ce sondage, sondage qu'on m'avait demandé de remplir la veille.

Voici la question #44 :

«Choisissez dans la liste ci-dessous la mesure gouvernementale qui vous semblerait la plus susceptible de favoriser l'augmentation du taux de natalité au Québec. Cochez une seule case s'il vous plaît.

puce

#1 Accorder à la mère, à la naissance de chaque enfant, une allocation augmentant avec le rang de l'enfant dans la famille

puce

#2 Accorder au parent (homme ou femme) restant au foyer un salaire proportionnel au nombre d'enfants d'âge préscolaire sous sa garde

puce

#3 Accorder aux parents des allocations familiales substantielles ou des crédits d'impôts augmentant avec le rang de l'enfant dans la famille

puce

#4 Accorder aux parents des allocations pour le logement et des réductions de coût sur certains services, et ce proportionnellement au nombres d'enfants

puce

#5 Favoriser chez les employeurs la mise sur pied de services de garde gratuits en milieu de travail pour les enfants d'âge préscolaires et organiser le même service en milieu scolaire pour les enfants d'âge scolaire

puce

#6 Autre(préciser) Cesser le gaspillage des deniers publique»

Après avoir lu cette question devant lui, je lui demande : «Qu'aurais-tu répondu toi à cette question ?» Monsieur le psychologue Jean Soucy me réponds qu'il n'écoutait pas. Je lui dit : «Tu me demandes de te parler et tu ne m'écoutes pas.» Je lui fais part de ma réponse et lui demande : «Si je te lis la question suivante vas-tu être attentif elle est moins longue celle-là ?» M'ayant répondu par l'affirmative, je lui en fais la lecture.

Voici la question #45 :

«Si, dans l'avenir, vous formiez un couple et souhaitiez avoir des enfants, laquelle des options suivantes choisiriez vous ?

puce

#1 Un mariage officiel

puce

#2 Un autre type d'union»

Je lui demande : «Qu'aurais-tu répondu à cette question ?» Il me réponds : «Un mariage officiel» tandis que je lui réponds : «Dépendant du cheminement des deux personnes mis en cause, cela peut être un mariage officiel ou un autre type d'union.» À un certain moment donné je constate bien qu'il ne veut pas comprendre que le problème n'émane pas de moi. Alors, je lui dis : «Toi qui possède une maîtrise en psychologie, lorsque viennent ces étudiants perdus pour recevoir ton aide, tu leur fait voir que le problème vient d'eux et jamais du système éducationnel. Par la suite, moi je les ramasse à la petite cuillère sans avoir aucun diplôme en ce domaine.» Je suis dans son bureau depuis 09:00 du matin, il est maintenant 10:35 qu'est-ce qui m'arrive ? Je deviens tout étourdi, suis-je sur le point de m'évanouir ? Non ! mes amis, ce sacripant est sur le point de réussir à m'hypnotiser. J'avais noté dès le début de mon entretien avec lui que son but était de me rendre tout siphonné d'énergie. Il y a quatre ans, j'avais tenté de me faire hypnotiser sur scène et l'hypnologue fort réputé dans le domaine m'avait demandé de quitter la scène car il n'arriverait pas à le faire avec moi. Ce vaurien de psychologue n'a pas eu la chance de m'hypnotiser car je devais rencontrer une ancienne professeur madame Janet Pinkos à 10:30 pour l'aider à surmonter cette tristesse qu'elle me partageait à 08:35 ce matin là. Monsieur Jean Soucy était au courant de ce rendez-vous important pour moi comme pour madame Pinkos, mais il était volontairement entrain de me le faire manquer.

Avant de tomber complètement sous son contrôle, je me lève du fauteuil et je lui dis : «Donnes-moi là main toi, que je te montre qu'est-ce que l'irrationnel !» Sa main dans la mienne, j'ai fais, ce que certains appellent un transfert d'énergie par polarité négative c'est-à-dire que j'ai ramené à moi tout l'énergie que le psychologue Jean Soucy m'a siphonnée pendant quatre-vingt-dix minutes et je me suis permis de l'amener à l'état d'hypnose qu'il m'avait rendu et ce en deux minutes. Je lui ai alors dit : «Réalises-tu maintenant, que si je continue pendant dix secondes encore que tu vas être obligé de t'étendre par terre pour dormir Monsieur Jean Soucy m'a répondu oui, alors je suis passé d'un état irrationnel à un état rationnel en lui faisant cette mise en garde : «Maintenant, il y a des gens qui vont d'appeler ou il y a des gens que tu vas toi-même appeler. Tu auras alors le choix de faire du bien ou du mal avec ce que tu viens de vivre. Mais n'oublie pas qu'il y a cette loi du retour et que Dieu est là pour te surveiller.»

J'ai rencontré le samedi 22 avril 1995 une étudiante qui avait étudié avec moi tout au long du programme de Santé Animale. À la fin de janvier, j'avais remarqué dans un cours d'histologie qu'elle vivait une dépression, mon intuition me disait qu'elle vivait une peine d'amour. Ce samedi là, du mois d'avril, elle était en dépression profonde. J'étais avec mon ami Éric Nutbrown qui constatait la même chose que moi. Elle était décontenancé par ce que le psychologue Jean Soucy lui avait fait vivre. Non ! N'allez pas penser que monsieur Soucy l'ait agressé sexuellement. Cette étudiante m'a expliqué que lorsque son ami lui apprenait qu'il ne voulait plus vivre avec elle, cela l'avait amené à vivre une peine d'amour qui s'était rapidement transformé en dépression et que pour ne pas mettre ces études en péril, elle avait jugé bon de consulter le psychologue du Collège monsieur Jean Soucy. Elle confia son histoire à cet homme pour finalement faire rire d'elle.

Je tairai son nom car dans l'état que cette ex consœur de classe était le samedi 22 avril, je suis sûr que son récit était véridique, incroyable mais véritable. Cette étudiante était en stage de formation en Santé Animale et n'avait qu'un idée en tête, le suicide. D'ailleurs, devant mon ami Éric Nutbrown, elle m'a demandé si je ne connais pas un moyen efficace pour passer à l'acte suicidaire. Devant son état d'âme, je lui dis : «Tu n'a pas le droit de te laisser aller comme tu le fait, parce que toi tu es allée voir toi-même ce minable tandis que moi on m'a conduit à lui. Et que malgré le fait que j'ai vécu 57 jours en psychiatrie à cause de lui, moi j'ai encore le goût de vivre, c'est Dieu qui me le demande alors toi aussi accroche-toi à lui en espèrent un jour meilleur.» Cette étudiante m'appelle chez moi au courant du moi de mai 1995 et me demande de l'aider car elle veut obtenir cet emploi de technicienne en Santé Animale dans cet hôpital vétérinaire. Je l'ai tellement bien motivée par téléphone, que le lendemain elle était embauchée et même il y avait eu vingt-quatre personnes devant elle. J'avais par téléphone réussi à faire ce que certains appellent un transfert d'énergie par polarité positive.

Me voilà rendu au vendredi soir du 10 février 1995, je soupe au café A. L. Van Houtte sur la rue King ouest à Sherbrooke avec un de mes professeurs Marc Beaudoin et son amie qui est aussi employée au Collège. Évidemment qu'avant de se rendre à cet endroit nous étions tous au Collège et que j'ai finalement pu aider Madame Janet Pinkos à son bureau avant d'aller souper.

Bilan pour cette semaine empreinte d'émotions et de découvertes de phénomènes paranormaux : je vous déclare par mes écrits avoir aidé en relation d'aide 130 personnes + ou - dix et laissez-moi dire que cela dérange énormément tous ces travailleurs : travailleur social, infirmier psychiatrique, psychanalyste, psychologue, psychométricien, médecin psychiatre, psychothérapeute et tous les autres intervenants qui de près ou de loin ont une piastre à faire avec le névropathe ou le psychopathe.

Certains de ces travailleurs se rendent vicieux et pervers pour sécuriser leur emploie et leur salaire, on va même jusqu'à mentir de connivence avec les autres pour sécuriser leur emploie, c'est une assurance qui n'est pas dispendieuse du tout. La plupart de ces gens sont très instruits, la société leur a donné le pouvoir qu'ils ont. Mais qu'en est-il de l'abus de pouvoir de ces intervenants armés, armés du fardeau de la preuve de la poursuite et armés de cette drogue légale que l'on appelle ordonnance médicale. Saviez-vous que l'on peut tuer toute une écurie avec la pharmacie d'un aile psychiatrique. J'ai goutté à leur médecine, mais avant de vous en parler, laissez-moi dire comment je suis tombé sous l'emprise de la torture médicale.

Arrêté illégalement

Le samedi 11 février 1995, je demande à ma colocataire madame Gaétane Gagné du 880, rue Jogues #101, Sherbrooke, J1H 2X9, de quitter son logement pour la journée car je reçois mes parents et que je ne veux pas qu'elle leur impose une guerre de religion. Elle accepte de bon gré sachant qu'il me reste quinze jours d'examen et que par la suite j'irai en stage pendant dix semaines en Floride. Qu'elle ne fût pas ma surprise de la voir passer devant la porte patio sur l'heure du midi lorsque j'avais une pointe de pizza à la main. Avant qu'elle pénètre son habitat, j'explique à mes parents que je vais prendre un bain pour ne pas la voir. Tout en prenant mon bain, j'espère qu'elle est revenue tout simplement à cause de quelque chose oublié par elle-même. Après m'avoir lavé, je sors de la chambre de bain vêtu de ma robe de chambre et je vois madame Gaétane Gagné en présence de mes parents tout décontenancés. C'est alors que je pointe sévèrement cette dame de mon doigt en lui disant qu'elle n'a pas le droit de me faire ça à moi en frappant vivement la table de cuisine de mon poing droit. C'est alors qu'elle dit : «Vous voyez votre fils n'a jamais été agressif comme cela à mon égard, il faut appeler la police.» Mon père ne dit point mot, alors n'ayant pas peur de la police je lui dis : «Appelle là la police !»

Elle s'empare du téléphone et dit d'un ton très calme : «Je suis en présence de mon colocataire monsieur Serge Lacombe qui est lui-même en présence de son père et de sa mère, il est dans un état démentiel.» et d'un ton très angoissé : «Vite ! Vite ! Envoyez deux chars de police pas un mais deux au 880, rue Jogues #101, Sherbrooke. Vite ! Vite !» Lorsqu'elle était en train de me trahir au téléphone, j'ai eu la réaction d'avancer vers elle sans jamais toucher à son corps. Mon père me retenait sans cesse en pensant que j'allais sauter sur elle. Pauvre de lui, de par son ignorance il n'a pas pu percevoir cette machination machiavélique. Quant à ma mère devant ce genre de situation, elle n'y voit plus rien, alors sachant cela mon père à profité de cette situation pour se donner une raison de vivre. Me trouvant seul et sans témoin, j'ai jugé qu'il valait mieux pour moi de partir que de rester. Alors, je m'habille en vitesse et je pars avec ce que j'ai de plus important, mon sac d'école car il me reste tout de même deux semaines d'examens avant de partir pour la Floride.

Ah ! Oui, j'oubliais de souligner être parti avec quatre œufs non cuit que j'ai déposé dan mes poches. Est-ce défendu par la loi ou est-ce défendu par la médecine ? Je me dirige donc en premier lieu chez mes amis du Restaurant La Falaise Saint-Michel sise au 100, rue Webster, Sherbrooke, J1H 5N3 que je tiens à remercier publiquement. Merci à Messieurs Patrick Lagniel et Michel Igual que l'on peut rejoindre au tél. : (819) 346-6339 ou au fax (819) 346-4622 pour la réservation d'une table digne d'une mention honorable et dont la réputation n'est plus à faire. Ils font vraiment parti de tout ces gens qui m'auront permis de me rendre jusqu'ici. Je leur explique ce qui vient de m'arriver chez moi et en second lieu je me rend au poste de police de Sherbrooke sur la rue Marquette, pour y déposer ma version des faits.

Nous sommes le samedi 11 février 1995, il est environ 15:30, je vois le policier d'office et lui dis : «Mon nom est Serge Lacombe, j'habite au 880, rue Jogues #101, Sherbrooke. Il y a environ une heure trente, ma colocataire madame Gaétane Gagné vous a appelé pour qu'on vienne me chercher alors je suis ici pour vous donner ma version des faits.» Il me fait attendre inutilement, pendant environ quinze minutes. Dans quel but ? Je l'ignore et lui redemande de prendre ma déposition. Devant ce deuxième refus, je lui demande de m'amener un psychologue étant donné que j'en ai vu un hier au Collège et que je veux comprendre pour quelle raison on ne veut pas prendre ma déposition. On m'indique le chemin d'une auto patrouille de la police de Sherbrooke, qui se trouve stationnée à l'extérieur du poste de police, en me disant embarque dans cette voiture ces deux policiers vont te conduire à un psychologue.

J'arrive dehors pour prendre place à bord de l'auto patrouille, lorsqu'on me demande de mettre les menottes. Je retourne à l'intérieur du poste de police et revois ce policier d'office en lui expliquant que je refuse de mettre ces menottes car je ne suis pas un criminel. Il me dit alors que c'est la loi qui stipule que toute personne embarquant à bord d'une auto patrouille se doit d'être menotté. J'accepte en toute soumission de l'être, les mains dans le dos. Qu'est-ce que je ne ferais pas pour voir un psychologue d'autant plus que je ne suis pas en état d'arrestation car l'avoir été on aurait prononcé mes droits. On me conduit finalement au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE), 3001, 12e avenue nord, Fleurimont (Québec) J1H 5N4. Je débarque de cette auto patrouille vers 16:00 et avant d'entrer en dedans de cet hôpital je prends quelques grandes bouffées d'air frais. Puis, j'entre le torse gonflé et la tête haute avec un sourire très jovialiste. D'un calme qui semble faire peur, car les deux policiers qui m'accompagnent n'en ont sûrement pas l'habitude car je les vois trembler dans leur pantalon. Ils ont définitivement plus peur que moi.

J'y suis entré le 11 février à 16:00 pour n'en sortir que le 12 avril 1995 à 10:30, laissez-moi dire, que je n'ai jamais été emprisonné, cependant le prisonnier condamné lui, il le sait qu'il sera libéré au bout de tant de jours tandis que moi je l'ai su lorsque j'en suis sorti. Comment se fait-il que cela me soit arrivé à moi. Tout d'abord, ma mère m'a révélé la vérité au mois de mai : «Serge qu'est que tu voulais qu'on fasse en ce 11 février 1995 après que ta colocataire Gaétane Gagné avait dit à ton père et à moi que tu n'allais plus à l'école, que tu te droguais, tu prenais des pilules pour t'empêcher de dormir, que tu ne dormais plus, que tu ne mangeais plus, que tu la réveillais dans la nuit et que tu lui faisait mal.» Vous auriez pu me demander si cela était vrai, lorsque je suis sorti de la salle de bain cette journée là. Mon père quant à lui n'aurait-il pas pu faire comprendre à madame Gagné qu'il était inutile d'appeler la police pour le geste que je venais de poser, c'est-à-dire pointer sévèrement une femme du doigt sans lui toucher tout en frappant une table de cuisine en disant :

«Toi tu n'a pas le droit de me faire cela.» Mon père m'a même déclaré sans s'en rendre compte probablement, avoir déclaré à la police de Sherbrooke le 11 février 1995 : «Oui, j'ai vu mon fils unique tenter de tuer cette femme devant moi.» Ma colocataire madame Gaétane Gagné aurait déclaré à la police de Sherbrooke le 11 février 1995 : «Mon colocataire Serge Lacombe a tenté de me tuer devant son père et sa mère.»

Quel conspiration machiavélique ! Même mon père s'y est mêlé, car lui qu'avait-il à perdre dans cette histoire ? Seulement un fils qui ne s'est jamais laissé dominer par lui. C'était une belle occasion pour lui de se donner une raison de vivre, lui qui voyait son garçon réussir là où plusieurs était incapable de le faire. Il a saisi l'occasion qu'il attendait depuis quinze ans pour faire un fiasco de ma vie car il n'a jamais accepté de me voir quitter mon emploi de fonctionnaire lui qui a travaillé durant trente-cinq ans de sa vie dans le fond d'une usine comme magasinier. C'est pour cette raison d'ailleurs que j'ai toujours su pardonner à mon père pour le mal qu'il a fait à ma famille, que j'ai toujours supporté mon père dans ses épreuves et que j'ai toujours caché la violence qui l'habite depuis que j'en suis conscient.

Le 11 février 1995 vers 16:00, je fais mon entrée au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE), sise au 3001, 12e avenue nord, Fleurimont, J1H 5N4. Les deux policiers qui m'accompagnent, m'indiquent ma chambre située à l'urgence. Cette pièce en est une d'isolement. Ils me demandent, si ils peuvent m'enlever les menottes sans problèmes et si on peut fermer la porte derrière moi. Je répond par l'affirmative. Pour faire un résumé de ces 57 jours d'internements autant que faire ce peut. Laissez-moi vous parler du film «Vol au dessus d'un nid de coucou.» version française du film «One flew over the cuckoo's nest.» avec l'acteur américain Jack Nicholson. Ce film étant un classique que plusieurs d'entre vous ont vu, on m'a même dit qu'on utilise ce film dans la formation de ces gens qui œuvrent en psychologie de même qu'en psychiatrie. Ce film a été produit à partir du récit d'un livre, son auteur a probablement rêver le futur. Cela étant connu par ceux qui en font. À l'hôpital, c'était moi Jack Nicholson. Cependant, je n'ai pas eu d'électrochocs et on ne m'a pas ouvert le crâne pour aller fouiller dedans mon cerveau.

J'ai subi 57 jours de torture physique et mentale de toutes sortes.
J'ai sauvé la vie de madame Pauline Bergeron,
cette dame à 07:00 le matin était en état convulsive très grave, sa peau commençait à bleuir,
ces paupières clignotaient sans cesse et ces yeux étaient dans un état bizarroïde.

Je lui ai sauvé la vie en la prenant par les deux bras en lui demandant de rester avec nous car ce n'était pas le temps pour elle de partir, que Dieu avait encore besoin d'elle sur cette terre. J'ai réagi plus vite que l'équipe médicale dont un infirmier était à surveiller la patiente à côté d'elle. Ensuite, j'ai appliqué sur Pauline qui me prêtait son  Walkman de Sony à tous les soirs avec la cassette le «Mémorandum de Dieu» d'où j'obtenais toute l'inspiration dont j'avais besoin pour continuer à bien agir malgré la torture, un transfert d'énergie par polarité positive.

D'ailleurs pour confirmer mon succès, mes tortionnaires Lynn Gaudreault médecin psychiatre, Marc Lefebvre médecin interne ainsi qu'un certain «Ousef» stagiaire en psychiatrie m'ont remis le 20 mars 1995 la seul «note d'évolution» au dossier #398068 : (Ce que vous lirez en caractère gras, a été délibérément ajouté par moi car des patients ont été témoin de mon comportement à l'intérieur de cette aile maudite. Qui plus est, j'ai eu la chance de voir mes amis me rendre visite à tous les jours. Et grâce à eux, que je tiens à remercier publiquement, j'ai su surmonter tout obstacle que l'on dressait devant moi. Tandis que, le texte soulignée que vous lirez a été écrit et rayé par l'équipe médicale.) :

«Psychiatrie, patient avisé que :

      1 - Si menace directe contre personnel(s) ou bénéficiaire(s) ou patient(s) ou visiteur(s) masculin ou féminin

      2 - Sinon collaboration avec l'équipe :

          * Tentative de guérison d'autres patients ?

          * Perturbations fréquents dans l'entrevue d'autres patients ?

          Une heure dans le 61, jaquette et PRN (Haldol + Ativan)

      1 - Si agitation ou agression non-contrôlable par d'autres moyens

      Une heure dans le 61, jaquette et PRN (Haldol + Ativan)»

Tout cet écrit n'est que fausseté, à l'exception du 61 i.e. pièce d'isolement situé au 4B du CHUS et de PRN (Haldol + Ativan) PRN i.e. injection intramusculaire, (Haldol + Ativan, deux médicaments contrôleur de l'humeur très forts pour le cerveau).

Si jamais, madame Pauline Bergeron venait qu'à décéder avant même qu'elle corrobore mes écrits, vous considérerez tous les médecins qui ont joué avec son corps durant quarante ans comme des criminels et vous devrez les considérer comme tels car ce sont les aveux de madame Bergeron qui est maintenant âgée de cinquante cinq ans.

Laissez-moi donc vous dire à quoi sert cette pièce d'isolement à l'urgence du CHUS. Il va sans dire que cette pièce est sous écoute électronique, on y film même votre comportement. Je l'avais deviné avant même d'y mettre les pieds. Sa porte est munie de trois serrures, on m'y enferme à double tour. J'y suis laissé avec un lit boulonné au plancher, une petite table sur roulette que l'on peut utiliser pour manger au lit et un litre d'eau en plastique comme on en voit dans n'importe quel hôpital. Je bois mon eau car j'ai soif. Lorsqu'on absorbe un litre d'eau et qu'on est normalement constitué, l'envie d'uriner vient rapidement. À ce moment-là, sachant que je ne dois pas devenir agressif à l'intérieur de cette pièce, j'invite les membres de l'équipe médical de l'urgence individuellement à venir m'ouvrir la porte par un virement de la poignée de porte pour attirer leur attention, puis un coup leur attention obtenu je leur fait signe de venir m'ouvrir. J'ai tourné la poignée vingt-quatre fois sans violence, sans agressivité et sans réponse. Suis-je patient ? Oui, car selon le «Petit Robert» ou le «Petit Larousse» je suis à l'hôpital donc je suis patient. Tellement patient que je trouve l'idée de par ma lucidité d'uriner dans ce contenant vide plutôt que de le faire à terre ou encore dans mes culottes afin de ne pas devenir agressif et en espérant qu'un membre de cette équipe médicale viendra s'informer de moi bientôt.

Après un certains temps, il est normal d'avoir soif après avoir uriner de la sorte. De par ma lucidité, n'ayant pas eu de réponse pendant vingt-quatre essai et erreur, je frappe d'un bon coup de poing dans ce morceau de Plexiglas. J'ai réussi à faire bouger un membre de l'équipe médicale. Il ouvre la porte et je lui raconte mon histoire en lui disant ceci : «Je suis parfaitement lucide, ça c'est un pot à eau et à l'intérieur il y a de mon urine car plutôt d'uriner à terre ou dans mes pantalons, parce que vous n'êtes pas venus lorsque je vous l'ai demandé à 24 reprises, j'ai été obligé d'agir de la sorte. Maintenant mon ami ce comportement va à l'encontre de la Charte Canadienne des droits et libertés de la personne, de plus c'est un manquement grave à mes besoins vitaux. Amène-moi au robinet que je puisse me prendre moi-même de l'eau fraîche, ça presse !»

J'ai fait aussi du yoga assis dans ce lit comme un yogi dans sa position de lotus en implorant Dieu en disant : «Seigneur, Jésus-Christ protège-moi en tout lieu, en tout temps, en toute circonstance Mon père, lui qui ne sait pas lire aucun texte de loi est venu signer tout les papiers pour me voir interné, il était environ 19:00 lorsqu'il s'amène dans le bord de la porte, je l'empoigne solidement par sa manche gauche de son manteau, l'attire vers moi et ferme cette porte derrière lui en lui disant : «Papa, connais-tu l'histoire de cette pièce ? Regarde ces marques sur le mur cela a été fait jadis par l'ongle d'un humain, remarque toutes ces brûlures sur le plancher fait par des cigarettes, vois ces encavures dans ce Plexiglas quasiment transversale, cela a aussi été fait par les ongles d'un humain tout comme ces rayures.» Puis je porte mon bras droit sur ses épaules en lui demandant : «Veux-tu faire une Ruth, un Gilbert ou un Ulysse avec moi comme tes frères et sœurs ?» Puis il est parti en me disant qu'il aimait mieux me voir en dedans qu'en dehors. Vous avez fait un beau fiasco de mes études.

Le dimanche soir, le 12 février 1995 vers 20:00, une belle infirmière vient me voir pour me dire que je devrais dormir car je n'ai pas fermé l'œil depuis 39 heures. Je lui répond que je ne suis pas venu ici pour dormir. À20:30, un infirmier m'arrive avec un somnifère, je lui dis : «Tu vas contre la Charte Canadienne des droits et libertés de la personne», idem à 21:00 et 21:30. Je lui dis alors que j'aimerais aller me chercher de l'eau à l'abreuvoir à la place. Mon infirmier me répond qu'il va m'en apporter, lui même, car il est tanné de me voir voyager au lavabo depuis mon arrivée. Il n'a pas tort car j'ai bu beaucoup d'eau. À 21:35, mon infirmier arrive avec un pot à eau. Je lui demande d'attendre à mes côtés, pendant que je sens cette eau, je lui dis : «Je ne veux pas boire cette eau, car tu a mis des somnifères dedans !» Cet infirmier s'est vendu lui-même car sa tête à changée de couleur.

À 21:55, ils ont émis un code #55 contre moi, sont arrivés deux infirmiers de carrure herculéenne dans ma chambre. Je ne m'y attendait pas du tout, il me couche de force dans ce lit. Avec une sécrétion d'adrénaline j'arrive à les soulever, c'est à ce moment là que six à huit membres de l'équipe médicale se jettent sur nous comme ils le font sur un porteur de ballons au football, c'est moi qui est en-dessous. J'ai eu probablement le même feeling que ce chauffeur de taxi Richard Barnabé dont on entend plus parler depuis que l'histoire a été jugé devant les humains, je me suis rendu compte que mes côtes étaient probablement plus flexibles que les siennes, car les miennes n'ont pas cassé. Ensuite, se produisit le deuxième traquenard, le truc, on déchire ta plus belle chemise pour ensuite t'injecter une substance inconnu dans la fesse pour finalement me laisser seul.

Je suis étonné de voir qu'après l'injection, je n'ai point de mal dans la fesse, je découvre plutôt un phénomène paranormal une nouvelle sensation du bout de mes doigts jusqu'aux épaules. Chaleur et picotements sont très agréables, j'aime cette sensation de bien-être et cela m'indique que Jésus-Christ m'accompagne dans cet hôpital. D'ailleurs, depuis cette injection la musculature de mes deux avant-bras est dure comme de l'acier. Ce feeling dure environ quinze minutes et ensuite je dors environ quatorze heures. Au réveil, un infirmier vient me dire que toute l'équipe médicale souffre de me voir confiné à demeurer dans cette petite chambre et que l'on fait des pieds et des mains pour m'en trouver une à l'intérieur de l'hôpital.

Le lundi 13 février 1995 vers 16:00, je suis invité à suivre les deux infirmiers qui me dirigeront vers une nouvelle chambre, qu'on me dit située au quatrième étage. On prend l'ascenseur, pour s'y rendre; j'ai une certaine difficulté à marcher, je suis dans un état physique dérangé par cette «drogue légale de la veille». Au sortir de l'ascenseur, je vois une porte que l'on ouvre après avoir pousser un bouton pression rouge, mon intuition me dit que c'est la qu'on me conduit et ma lucidité m'avertit que je ne sortirai pas de là comme je m'apprête à y entrer. Je marche dans ce carré de couloir, personne ne s'identifie à moi. Un patient du nom de Réjean Saint-Pierre m'aborde en me disant, tu viens d'arriver toi, j'ai eu une bonne conversation avec lui. Par la suite, on m'invite à l'interrogatoire, ces médecins psychiatres m'ont posé trois questions : «Quelle date qu'on est aujourd'hui ? Crois-tu en Dieu ? Et as-tu reçu des pouvoirs ?» À la première, je leur ai dit : «Nous sommes présentement lundi le treize février 1995 il est environ 16:30 sans me référer à ma montre !» À la deuxième, j'ai répondu en toute franchise : «Certainement que je crois en Dieu, Jésus-Christ notre Sauveur.» À la troisième, j'ai répondu : «Oui ! C'est évident que je possède des pouvoirs, d'ailleurs le 25 décembre 1995 j'ai reçu de lui un don pour m'aider davantage à aider les autres. Je m'en suis tellement bien servi que le 4 février 1995, Dieu est rentré dans mon corps. J'aime mieux être possédé de Dieu que possédé du Démon.» Surtout avec les hallucinogènes qu'ils m'avaient injecté la veille.

L'entrevue c'est terminée sur cela. Lorsque j'arrive devant le poste de garde, toute l'équipe médicale était devant moi, je me suis présenté à eux en leurs disant : «Bonjour à vous tous, mon nom est Serge Lacombe, je suis parfaitement lucide et je sais très bien où je suis, je suis présentement au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE). J'accepte d'être ici sans aucune médication. Vous être une vingtaine de personnes devant moi, aucune d'entre vous pourra m'en donner vous aurez beau vous réunir tous ensemble que vous serez incapable de le faire.» J'étais très calme, je me trouvais reculé d'environ dix pieds d'eux, séparé par un comptoir. Il est vrai que je les ai tous pointé du doigt tout en pivotant sur moi-même.

Un homme qui dépassait son groupe par une tête, a pris peur en disant : «Il faut appeler la police !» J'ai répondu : «Appelle, la police vous êtes vingt contre moi, je crois avoir besoin de protection moi.» Après environ trente minutes d'attente, deux policiers de Sherbrooke arrivent. Ils m'invitent à les suivre dans une chambre qui s'avère être la pièce d'isolement du 4B, soit la #61. L'un des policiers armés me dit : «Il y a un lit, alors tu vas te coucher hein !» Je suis parfaitement lucide et constatant que je suis désarmé, je me couche. Puis il ajoute ceci : «Cette dame est infirmière, elle va te piquer une fesse alors tu vas te laisser faire. Hein !» Je suis encore parfaitement lucide alors j'obtempère selon son désir n'est-ce pas. Laissez moi vous dire que l'injection reçu à l'urgence en était une de test, car cette dose était trois à quatre fois plus concentrée.

Je m'en suis rendu compte le mardi 14 février 1995, après avoir dormi de 18:30 à 11:32, soit 17:02. Je me suis levé avec l'aide d'un infirmier qui voulait me conduire devant les médecins. Je marchais en roulant mon épaule sur le mur tout en étant supporté par cet infirmier. Assis devant ces hommes, un s'avança vers moi en me disant : «Je suis médecin est-ce que je peux t'aider ?» J'avais tellement d'infâmes réactions secondaires, j'étais comme un guignol qui a mal de la tête au pied. Je souffrais tellement que je me suis pendu de mes deux mains à son bras en pleurant et en disant oui. C'est comme cela, que j'acceptais la médication «per os» (voire par la bouche). Ce jour là, j'étais un «embrouillamini dédaléen» et je revois les mêmes médecins qui m'expliquent que la maladie qui s'est développée en moi n'est pas grave en soi lorsqu'elle est traitée au Lithium.

D'ailleurs Monsieur Pierre Péladeau celui qui est propriétaire du Journal de Montréal et à la tête de l'empire de Québecor s'affiche publiquement comme maniaco-dépressif et nous le traitons avec du Lithium et maintenant il fonctionne très bien.

Devant cette bêtise médicale inadmissible, je leur répond : «Parlez-moi donc de Graham Bell et D'Henry Ford, les deux ont passé pour fous avant qu'on reconnaisse le génie de leurs inventions. Monsieur Bell a inventé le téléphone, aujourd'hui grâce à lui on peut envoyer une lettre ou une photo à l'autre bout du monde grâce à son invention tandis que Monsieur Ford fut l'inventeur de la production d'une automobile en série. En ce temps là, il y en avait pas de Lithium alors moi je sais que je ne suis pas en manque de ce sel. Vous êtes dans l'erreur médicale et vous allez à l'encontre de notre Charte Canadienne des droits et libertés de la personne (voire Humen Rights).»

À 21:55, une femme est venue dans ma chambre me réveillant de sa lampe de poche en m'éclairant en pleine figure et d'une manière vigoureusement harcelante me força à prendre cette ordonnance de pilules. C'était vraiment cauchemardesque d'avoir à vivre cela dans un hôpital du Québec, croyez-moi mes amis.

Le mercredi 15 février 1995 à 12:00, je dîne dans ma chambre et l'équipe médicale m'empêche de porter mes vêtements que mon amie Geneviève Lamoureux m'avait expressément apportés. À 14:55, je reçois la visite de mon professeur Patrick Metcalfe qui est venu pour m'annoncer qu'il a été désigné pour l'évaluation de mon retour à l'école. Vers 16:18, quatre spécialistes de la maladie mentale sont assis autour de moi formant un demi-cercle et pendant trente minutes à un tempo d'une fois la seconde me disent à tour de rôle : «Est-ce que ça tourne vite dans ta tête ? Ça tourne tu vite dans ta tête ? Cela doit tourner vite dans votre tête ! Ça tourne sûrement vite dans ta tête !»

Une fois la seconde pendant trente minutes cela fait un total de 1 800 fois.

Au bout du trente minutes, j'étais assez tanné de répondre par la négative que j'ai répondu par un oui juste pour faire une analyse comportementale de ces spécialistes. Ils se sont tous levés en même temps et sont sortie de la pièce après avoir entendu un oui. Je leur demande : «Eh ! Que faîtes vous ? Pourquoi partez-vous ainsi ?» Ils me disent alors : «On a fini, c'est terminé !» À 21:00, une infirmière vient me voir avec deux pilules dans la main l'une pour dormir et l'autre pour ralentir mon cerveau.

Le jeudi 16 février 1995, 04:00, je me rends au poste de garde, car un assèchement et une irritation insupportable s'était développée dans ma gorge entraînant une toux sèche, je suis incapable de dormir dans cet état. Aucun sirop pour la toux n'est disponible, ce qui entraîne un manque de sommeil chez moi. À 07:12, c'est ma première prise de sang pour fin de dosage de Lithium. À 07:30, j'ai pris la décision de refuser de plein gré les médicaments qu'on m'a offerts. Selon la Charte Canadienne des droits et libertés de la personne (voire Humen Rights). À 09:46, le psychiatre en devenir me rends mes vêtements, j'espère au même moment ma liberté car je n'ai pas d'affaire là. Je suis plus intelligent que toute l'équipe médicale. À 14:47, je refuse le lithium comme médication. À 15:59, j'offre du chocolat belge provenant de mon ami Patrick Lagniel aux médecins psychiatres, lors d'une de ces multiples entrevues.

Le vendredi 17 février 1995, 08:38, sur le même quart de travail, on change d'infirmier pour essayer de réussir à me manipuler avec plus d'aisance. Pourquoi agit-on ainsi ? Le fait-on avec tout les patients ? Quels en sont les intérêts ? Dans quels buts le fait-on ? Est-ce le moyen, le plus efficace que la médecine ait trouvé pour rassurer le psychopathe ? !... À 09:34, j'ai une réunion avec mes docteurs. À 09:53., j'ai remis un article traitant du Lithium que j'ai lu dans le Journal de Montréal au psychiatres. À 21:55, j'ai téléphoné à mes amis Michel Igual et Éric Nutbrown.

Le samedi 18 février 1995, de 11:30 à 14:00, je suis arnaqué par cette médecine vicieuse, je ne puis me rappeler de quel façon. Cependant, ils ont choisi la journée du samedi, parce qu'ils donnaient congé de fin de semaine à la majorité des patients de sorte que dans ce temps là tu avais difficilement des témoins de la scène. Bilan, injection intramusculaire par force machiavélique d'une substance qui a affecté ma vue ainsi que mon métabolisme qui est maintenant grandement ralenti.

Le lundi 19 février 1995, 16:00 j'ai vendu mon voyage à destination de Daytona Beach, Floride, à Madame Caroline Boisvert de Lennoxville pour la somme de 130 $. Le prix initial de ce voyage était de 279 $, j'ai dû essuyer une perte de 149 $. Madame Boisvert m'a payé par un chèque #50037 815 049 625 7, son chèque à elle était véritablement bon et je tiens à la remercier publiquement.

Le mercredi 22 février 1995, entre 09:00 et 12:00, je me suis rendu avec un psychiatre en devenir, visiter le département de microscopie électronique du CHUS car je me rappelais que cette activité faisait partie de le formation de notre cours d'histologie. J'ai convaincu toute l'équipe médicale de me conduire à cet événement, moi qui voulait revoir le groupe #1308 pour le bien de tous. Malgré le fait qu'on m'avait transformé en névropathe. J'ai su contrôler quelques peu, mes réactions secondaires pour ne pas faire peur à tout ces jeunes adultes.

Le jeudi 23 février 1995, de 16:00 à 19:30, mes parents sont venus me rendre visite à l'hôpital. Pourquoi sont-ils partis de Verdun, un jeudi après-midi pour venir me voir ? Ma mère travaillait toujours au Ministère du Revenu du Québec et je savais qu'on avait besoin d'elle au travail. Au mois de juin, j'ai posé la question à mes parents, je n'ai pas été veinard les deux souffrent dans ce cas-ci d'une récente découverte de la médecine, ils souffrent de la maladie d'Alzheimer. C'est plus facile de se rendre malade que de conserver la santé. Quoiqu'il en soit, j'aimerais bien savoir pourquoi ils sont venus un jeudi plutôt qu'un samedi.

À 18:00, je suis heureux car mon amie Geneviève Lamoureux m'apporte de nouvelles piles CR2025 pour mon agenda électronique. Tout cela a été rendu possible grâce à Monsieur Patrick Lagniel qui m'a avancé l'argent nécessaire pour l'achat et de Monsieur Marcel Bergeron, le mari de la femme que j'ai sauvé la vie dans cette hôpital qui m'a fourni le tournevis nécessaire à l'ouverture de mon agenda électronique. Cela est un événement miraculeux en soi car je peux continuer à écrire.

Le lundi 27 février 1995, 10:00, je recevais l'interdiction de participer aux activités avec mes amis les patients du 4B, par mon psychiatre interne. Je ne saisis pas le sens de cet interdit, cela est dépourvu de sens. Mon psychiatre interne ne peut même pas me dire pourquoi on agit ainsi.

Le mardi 28 février 1995, 08:30, je lis un article dans le Journal de Montréal de Monsieur Péladeau qui s'intitule : La recherche progresse, maniaco-dépression. Il est écrit dans cet article : «Selon les chercheurs d'un des principaux hôpitaux psychiatriques du Canada, ce mal affecte près d'un million de canadiens Selon le recensement de 1993 nous étions 28 753 000 canadiens à vivre au pays, ce qui revient à dire qu'un canadien sur 28,75 est atteint par cette maladie. Cette maladie de par sa bipolarité est très populaire, la médecine s'en sert comme police d'assurance et c'est cela qu'il faut changer. Il faut de toute évidence empêcher cet abus de pouvoir.

Le mercredi 1er mars 1995, entre 10:00 et 11:00 on m'oblige, en ce mercredi des cendres, à participé contre mon gré à une activité de volley-ball. Je n'arrive même pas à toucher une fois le ballon tellement que je suis névropathe au maximum par leurs pilules. De 11:00 à 11:30, je vois mon psychiatre interne et lors de mon entretien avec lui, je le menace de changer d'hôpital si on ne répond pas à mes besoins vitaux. De 14:00 à 14:45, je fais le tour du CHUS à pied avec les autres patients. Nous sommes accompagnés par les infirmiers de notre aile spéciale.

Le samedi 4 mars 1995, entre 19:00 et 20:30, je reçois la visite de Madame Lise Pelletier une tante de mon amie Geneviève Lamoureux. Cette dame est révoltée de voir ce qu'on avait fait de moi, car on s'étaient vu dans le temps des Fêtes. Elle qui œuvre dans le domaine de la médecine douce en pratiquant ce qu'on appelle le «Reiki» remarqua cette bêtise machiavélique.

Le dimanche 5 mars 1995, entre 14:00 et 15:30, je participe comme névropathe à une sortie contrôlée par mon père en dehors du CHUS. J'ai récupéré le sondage que j'avais rempli le 10 février, celui-ci étant demeuré dans mon casier au Collège. Je me suis aussi rendu chez moi pour aller chercher d'autres vêtements. Une fois de retour à l'hôpital, mon père me prête quarante dollars. Cela faisait vingt-deux jours que je n'étais pas sorti des terrains de l'hôpital. J'explique à mon père que je dois déménager de mon ancien logement en ce samedi prochain car j'ai seulement une sœur et se sera sa fête. Laissez-moi vous dire que je n'ai pas eu de difficulté à le convaincre de l'importance de cette journée pour moi. Par contre, il voulait que je déménage tout chez lui pour pouvoir avoir plus de contrôle sur moi, car dans la maladie on devient beaucoup plus vulnérable.

Le lundi 6 mars 1995, 15:00, appelle mon ami Patrick Lagniel pour lui demander de bien vouloir me permettre d'entreposer mes biens chez lui. Je demande cela à un de mes meilleurs amis, cependant ce dernier m'avait vu comme un «embrouillamini dédadéen» la semaine avant de lui faire cette demande. Il ne comprends rien à ce déménagement précipité, mais devant la clarté de ma demande, je réussi tout de même à le convaincre d'entreposer mes meubles dans l'entrepôt situé au dessus de son restaurant. Je tiens par cet écrit à le remercier publiquement pour son geste humanitaire, lui, et sa femme Joël, son associé Monsieur Michel Igual ainsi que tout le personnel de ce sympathique lieu gastronomique. Je m'excuse au même moment pour tout les inconvénients imputables à tous ces arnaqueurs qui ont été impitoyables dans toute cette histoire. Cependant, un jour la Serge Bourassa-Lacombe Fondation monopolisera le Restaurant La Falaise Saint-Michel pour un menu gastronomique très spécial et en tant que président et contrôleur je vous remettrai publiquement un chèque pour couvrir tous vos frais de service encourus. Je vous aime tous, et je pense à vous très souvent.

Le samedi, 11 mars 1995, de 09:30 à 16:00, je suis venu sortir de mon logis tout mes meubles car ce lieu me rappelle de très mauvais souvenirs. Mon père, ainsi que mes amis : Patrick Lagniel restaurateur, Claude Jodoin cuisinier à La Falaise et Éric Nutbrown concierge d'une école secondaire et d'un église sont venus m'aider dans mon déménagement. À 15:00, je dois prendre mes médicaments, car je suis sous une permission de sortie conditionnelle. Pour obtenir ce congé, je me suis engagé à accepter que mon père m'accompagne pour me protéger de mon état névrotique causé par les médicaments qu'on m'a donnés jusqu'à maintenant.

Je dois prendre 300mg de Lithium en plus d'une petite pilule rose qui l'accompagne.

Dans cet état névrotique je tremble tellement que j'en échappe les comprimés par terre de plus après avoir réussi à les porter à ma bouche, j'éclabousse mes vêtements et le plancher de la cuisine devant mon père, ma mère et mon ami Éric. Ma mère est la première personne qui me vient en aide en me disant : «C'est pas grave, tu vas guérir un jour !» Avoir été normalement constitué à ce moment là, j'aurais pu de mes deux mains tuer madame Gaétane Gagné cette colocataire que j'ai voulu aider en allant m'installer chez elle car elle avait besoin de ce 200 $ comme revenu d'appoint. Qui plus est, cette dame était au logement justement pour se protéger de moi davantage, car une menteuse lorsqu'elle ment, elle le sait.

Le lundi 13 mars 1995, à 11:30,
l'équipe médicale refuse mon congé définitif de l'hôpital.
De 16:00 à 16:45,
mon psychiatre interne réalise que
la concentration de Lithium est trop élevée dans mon sang.

Je vie maintenant une intoxication car la veille mon psychiatre interne m'avait demandé combien de litres d'eau est-ce que je buvais par jour ? Je lui ai répondu : «Je bois quatre litres d'eau par jour, sans compter le liquide contenu dans tous les fruits et toute la nourriture que je consomme par jour.» Mon psychiatre me demanda alors, de réduire ma consommation d'eau de moitié. Tandis que le Fabriquant selon les écrits du CPS (voire Compendium) disent : «Il est impérieux pour le malade de suivre un régime alimentaire normal où le chlorure de sodium et les liquides seront présents durant la médication du lithium.»

Le mardi 14 mars 1995, 15:00, je décide de cesser toutes médications, étant donné que je ne prend plus de Lithium depuis hier par interdit médicale. Mon corps physique et mental me commande d'arrêter de consommer cette drogue légale prescrite pour enrayer les effets secondaires du Lithium. Alors, je cesse de consommer le Dalmane hypnotique, l'Haldol antipsychotique et le Rivotril anti convulsant. Cette décision de survie a provoqué la première période de sevrage de ma vie. Qui plus est, l'équipe médicale m'a coupé tout mes privilèges en plus de me retrouver avec toute cette équipe médicale sur le dos. Je décide de poser un geste symbolique pour commémorer l'événement, la pousse de cette barbe me rappellera le commencement de cette vie non médicamentée par cette drogue dite légale.

Le mercredi 15 mars 1995, de 14:05 à 15:00, Je suis convoqué à une réunion par mon psychiatre interne. Tout au long de cette réunion, ce dernier essaye de me convaincre que le Lithium est un médicament qui ne fait pas à tout le monde, c'est pour cette raison qu'existe le Stelazine. Un médicament qui agit comme le Lithium avec cependant moins d'effets secondaires. Mon sevrage s'était terminé le 27 mars, ce n'est qu'à ce moment là que je pouvais vraiment lire ce compendium médical humain CPS et comprendre que mes psychiatres sont vraiment pourvus d'une cruauté mystique machiavélique. Car voyez-vous dans le CPS on écrit que le Lithium est un anti-maniaque et que le Stelazine est un anxiolytique, antiémétique, neuroleptique.

Le 9 avril 1995, j'ai dû accepter contre mon gré de prendre le Stelazine pour la première fois, car quatre infirmiers avaient réussi à m'arnaquer et m'avaient indiqué le chemin de la «61» vers 08:15 du matin. Sachant que madame Nathalie Auclair avait une ordonnance médicale de Stelazine à concentration de 1mg disponible au 4B. Comment se fait-il que mon psychiatre interne me disait que cette concentration n'était pas disponible ? Tandis que le fabriquant écrit dans le CPS : «Posologie : Individualiser la posologie et prescrire la plus faible qui soit efficace. En omni pratique : La posologie d'attaque habituelle est de 1 comprimé à 1 ou 2mg 2 fois/jour. En pratique ordinaire, il est rarement nécessaire de dépasser 6mg/jour. Par la suite de l'action prolongée inhérente de trifluopérazine, la plupart des patients peuvent être traités efficacement avec une posologie biquotidienne commode; certains ont pu prendre une dose d'entretien d'une seule prise par jour. (Chez les sujets émaciés ou de petite taille, le traitement doit toujours être amorcé avec la posologie la plus faible.)»

Quoiqu'il en soit à 22:00 ce soir là, une infirmière m'offre un comprimé de Stelazine de 5mg. Je lui demande un comprimé de 1mg. elle me dit devant d'autres patients que cette concentration n'est pas disponible. Je lui demande de me couper ce comprimé en deux, elle me dit que c'était impossible pour elle de le faire. C'est alors que je lui ai démontré comment le faire, je saisi ce comprimé avec l'aide de l'ongle du pouce et de l'index de ma main droite et le croque avec mes incisives. Il en resta exactement 2.5mg. dans le petit gobelet. Je bois après l'absorption de cette nouvelle drogue, un litre de jus de pomme et je me couche à 23:20.

Pendant trente minutes je me sens fouetté le cerveau à raison d'un tempo
d'une fois la seconde pour un total de 1 800 fois.
Je m'efforce donc de boire 4 litres d'eau, sachant que cela va diluer cette drogue.
De 23:30 à 01:30, je suis malade, je vomis de la bile avec les restes du médicaments.

Monsieur le docteur, quel aurait été l'effet de cette drogue d'une concentration de 5mg sans ce litre de jus de pomme ? Quel en est le but ? Est-ce de l'expérience sans mon consentement ? Savez vous lire et écrire ? Qu'est-ce qui vous pouce à mentir comme cela ? Le faites-vous pour un intérêt autre que le vôtre ? Avez-vous une Épée de Damoclès sur la tête ? Un jour je trouverai peut-être la clef de ce mystère en faisant la lecture du dossier médical #398068, bien sûr si Dieu le veut.

Le vendredi 17 mars 1995, à 16:30, la psychiatre m'annonce qu'elle a décidé de m'imposer contre mon gré, une cure fermée parce qu'elle voit un potentiel de dangerosité pour moi. De 17:30 à 18:30, madame Monique Auger représentante de Prodef Estrie arrive pour me défendre de cette cure fermée. Elle demande avec mon autorisation de voir mon dossier médical pour connaître la raison de cette cure, car cette dame ne voit aucune dangerosité en moi. De plus, tout ce temps là, j'étais accompagné de madame Brigitte Nemirovsky une des cousines de mon amie Geneviève Lamoureux. La psychiatre répond par la négative à cette demande et va contre la Charte Canadienne des Droits et Libertés de la personne (voire Human Rights).

Le dimanche 19 mars 1995, 10:30, je rencontre le second psychiatre, celui-ci doit selon la loi de la garde en établissement faire la deuxième évaluation. Est-ce que ce deuxième psychiatre est payé pour infirmer ou confirmer la décision d'une consœur ou d'un confrère ? Je comprends, pourquoi ils avaient peur à ce moment là. Depuis le 14 mars, je vivais une période de sevrage dans leur hôpital à cause de leurs abus de pouvoir. Mon corps a lutté contre ce manque de drogue légale jusqu'au 27 mars sans l'aide de l'équipe médicale. Durant trois nuits consécutives, j'étais recouvert de sept couvertures de flanelle que j'avais pliées en deux, malgré cela je claquais des dents toute la nuit tout en mouillant mon lit de toute la sueur de mon corps. J'étais en hyperthermie tout ce temps là, de surmonter tout cela dans une hôpital du Québec en 1995, sans le support médicale. Cette équipe médicale avait toute les raisons du monde de croire à un glissement de ma part vers une dépression profonde d'où ce potentiel de dangerosité pour moi ou pour les autres. Beaucoup de témoins ont vu avec quelle Force de courage, j'étais plein d'entrain pour développer cette Fureur de vaincre tout ces abuseurs mystiques et machiavéliques avec patience et persévérance.

Lundi le 27 mars 1995, mon corps s'était débarrassé de toute les effets secondaires qui m'empêchaient jusqu'à ce jour de réviser mes notes de cour en vue de mes examens finaux. À 19:00, mon amie Geneviève Lamoureux m'apportait mon cahier de notes de Pathologie car mon professeur Patrick Metcalfe se basera sur cette matière pour établir mon potentiel de réussite de mes examens finaux.

Le mardi 28 mars 1995, on m'a remis un dépliant édité pour la Direction des communications... Droits et recours des personnes admises en cure fermée. Lors d'une réunion avec la psychiatre, il y a une perte de contrôle de l'humeur de cette dame car je refuse encore sa médication, en lui disant que mon poids est à 155lbs et que selon Santé et Bien être Canada je suis en santé. À 20:30, ma barbe était maintenant âgée de quatorze jours et elle était vraiment insupportable à porter parce qu'elle frise. Heureusement, que madame Angèle Bergeron fille de Pauline était venue pour me la couper. Je tiens à remercier publiquement cette femme, car ciseaux et rasoir m'ont définitivement permis de garder le contrôle de la situation.

Le mercredi 29 mars 1995, 15:30, mon professeur Patrick Metcalfe est venu me rendre visite pour constater l'amélioration de mes capacités mentales. Malgré cette amélioration mon professeur évaluateur me recommande de faire mes examens du 1er au 19 mai, pour mettre toute les chances de mon côté me disait-il. Moi qui voulais faire ces examens en même temps que les étudiants du groupe #1307. Cela m'aurait permis d'éviter de me retrouver seul à faire mes examens et de faire mes stages par la suite.

Le vendredi 31 mars 1995, à 16:05, la psychiatre me dit : «Monsieur Lacombe, vous savez très bien que vous avez été admis le 11 février 1995 dans cette hôpital, parce que vous aviez à l'extérieur un potentiel de tueur. «C'est à ce moment là que je me suis ouvertement fermé envers elle, car elle s'entêtait en me harcelant continuellement à essayer de me rendre malade.

En soirée un infirmier prends ma main gauche et de sa main gauche exécute une pronation avec ma main et mon avant-bras, tout en faisant une pression de son pouce droit sur une position de supplice située sur cet avant-bras afin de tester mon degré d'agressivité, me dit-il. C'était plutôt un geste de provocation de sa part devant l'analyste de la situation le psychiatre interne. Ce qui aurait pu devenir un bel arnaque car j'avais mon poing droit libre pour frapper violemment sa tempe gauche. Fait à souligner, cet infirmier avait le poignet deux fois la grosseur du mien. Qu'aurait-on fait de moi, si j'avais poser ce genre de geste devant cet évaluateur ?

Le mercredi 5 avril 1995, 11:00, j'ai une réunion avec ma psychiatre concernant la réévaluation de cette cure fermée ou garde en établissement qui se terminera le 7 avril 1995, soit après 21 jours. Malgré ma bonne conduite, la psychiatre décide de prolonger mon hospitalisation d'une deuxième cure, celle-là selon la loi doit être d'une durée de 90 jours. Je lui demande pourquoi ? Elle me dit : «Monsieur Lacombe, vous n'êtes pas maniaco-dépressif, je vois en vous des épisodes paranoïdes. Pour cette raison, je vous demande de réintégrer toutes les activités autant à l'intérieur qu'à l'extérieur des limites du CHUS. Je vous avise cependant que si vous profitez d'une activité pour vous sauver, la police vous ramènera à l'hôpital. Je vous fait confiance et nous avons besoin de votre entière collaboration et de votre pleine confiance envers l'équipe médicale De 13:30 à 14:30, je participe à une activité intérieur, exercice léger et relaxation.

Le jeudi 6 avril 1995, en avant-midi, je participe à une partie de hockey intérieur pour fin d'évaluation comportementale. Vous qui me lisez, vous êtes-vous déjà frappé d'un coup de bâton intentionnellement sur l'un de vos tibia ? Afin de dérouter toute une équipe médicale, moi qui jouais sans médication devant ces patients névropathes, psychopathes, embrouillamini dédaléens ainsi que quelques infirmiers, j'anticipe le jeu et me place volontairement la jambe gauche devant un lancer frappé sans que l'on s'en aperçoive. J'arrête subitement de jouer pour me rendre à cet abreuvoir réfrigérée pour refroidir mes tissus. Le responsable de l'activité m'offre de la glace d'urgence, je me soigne seul pendant une quinzaine de minutes. Par la suite, je me transforme en Kirk Muller, j'effectue à la surprise générale un retour au jeu en boitant légèrement. J'applique de la glace à toutes les interruptions de jeu, je compte 2 buts et je réussis 2 belles passes qui permettront à mes co-équipiers de marquer. Notre équipe gagne la partie 8 contre 3. C'est ce que j'appelle posséder cette Force de courage, c'était le prix à payer pour ma réinsertion social. D'ailleurs, j'en porte encore une légère marque sur l'épiderme. Pour me remercier de cette bravoure, l'équipe médicale m'a refusé de jouer aux quilles à l'extérieur des limites du CHUS avec tous ces patients qui eux, désiraient tous que je les accompagne.

Le samedi 8 avril 1995, 09:30, je demande à un infirmier, l'autorisation de me rendre au casse-croûte pour acheter le journal La Tribune. Il me dit alors : «Je n'ai pas l'autorisation de te laisser y allé seul. «Je lui demande alors de m'accompagner et il accepte. À 13:30, je marche enfin à l'extérieur, je me sens alors comme un cheval que l'on sort d'écurie au printemps. J'ai besoin de dépenser toute cette énergie. Malheureusement je suis freiné par l'infirmier qui nous accompagne, je ne peux pas marcher à mon rythme car je m'éloigne inévitablement du groupe. Je décide de marcher autour d'eux, cependant je marche tellement vite que cela les étourdi tous quelques peu. Au cours de cette marche, je vois arriver, en provenance de Verdun, mes parents à bord de leur fourgonnette. Instinctivement, je cours vers eux tandis que cet infirmier me crie de revenir. Son commandement m'indiffère complètement car je sens ma liberté prochaine, je suis sur le point de gagner cette guerre de cerveau.

Le dimanche 9 avril 1995, à 08:15, je suis arnaqué encore une fois parce que je me trouve, au mauvais endroit et au mauvais moment, c'est-à-dire dans ce cas-ci au poste de garde sans témoin devant quatre infirmiers qui m'indiqueront cette pièce #61. Plutôt que de me battre avec eux et de souiller tout le matériel de par les blessures que j'aurais eu le temps de leur infliger avant qu'on réussisse à m'en empêcher, j'ai décidé de me retirer dans cette chambre d'isolement. Là où ces tortionnaires mystiques et machiavéliques m'ont intimidé à trois reprises. Pour bien vous situer cette pièce est fermée par une porte munie d'un carré transparent en Plexiglas possédant deux barrures. Entre cette porte et le corridor de l'aile il y a un petit couloir qui relie ces deux parties, la porte donnant sur le corridor de l'aile est vraiment pleine de sorte que lorsque tu es en isolement personne ne te vois, tu deviens donc pour tes tortionnaires une proie très vulnérable car tu n'as plus les moyens d'être supporté par des témoins de l'événement.

Tu es d'autant plus vulnérable et pitoyable, lorsque tu sais d'avance que ces impitoyables arnaqueurs sans scrupule et sans âme et conscience n'hésiterons jamais à demander de l'aide policière pour nourrir leur soif délirante mystiquement vers cette débilité machiavélique. Cette journée là, j'y suis resté une heure, c'est long attendre pendant une heure une personne qui ne vient pas. À 09:15, on m'indique la sortie en me disant que mon psychiatre interne veut me voir. À 09:20, j'invite donc par téléphone à venir me rencontrer en cette journée pour ma protection étant donné que vingt jours après avoir reçu l'avertissement écrit qui me menaçait d'isolement, ils avaient réussi à m'arnaquer. De 09:30 à 09:55, je suis en réunion avec mon psychiatre interne, le psychiatre de garde ainsi que cette psychiatre en devenir. Ils font un retour sur l'événement de la journée en me parlant de mon agressivité et de ma maladie maniaco-dépressif. Je leur parle de santé par les fruits, tout en épluchant mon pamplemousse devant eux. Avant même de le manger, j'en offre à l'équipe de psychiatre assis devant moi. Je me nourris de ce juteux fruit renfermant ce sucre naturel. Le psychiatre de garde me dit alors : «Monsieur Lacombe, si vous refusez de prendre votre médication, votre hospitalisation va être plus longue et cela risque de mettre en péril votre année scolaire

Devant son incompréhension, je lui remet une photocopie provenant d'une découpure du journal La Tribune du 4 avril 1995 dont on parle de cette MAFIA MÉDICALE traité comme tel par l'écrivaine et docteur Guylaine Lanctôt et je lui demande de joindre cela à mon dossier médical ainsi que mon curriculum vitae. Il me dit alors : «Monsieur Lacombe je vois que vous auriez fait un très, très bon avocat À 15:00, mon amie Geneviève Lamoureux arrive avec mon sac d'école, tel que demandé par moi ce matin. À 19:00, Patrick Lagniel et Claire Boulanger sont venus constater mon état de santé physique et mentale.

Le lundi 10 avril 1995, à 13:30, je signe les papiers officiels pour la plainte que j'ai formulée contre l'hôpital et l'équipe médicale du 4B, qui devait être envoyée à la Commission des affaires sociales du Québec. Les documents ont été confié aux représentantes : Carole Panneton et Sophie Caron de Prodef Estrie. À16:30, j'ai une réunion avec mon nouveau psychiatre étant donné que j'ai forcé l'autre à prendre une petite vacance. En présence du psychiatre interne et de cette stagiaire en devenir, ce nouveau psychiatre m'annonce que ma cure est maintenant ouverte. Le programme de cette ouverture est le suivant on me libérera le mardi matin pour 24 heures afin d'évaluer mon bilan d'activité le mercredi pour voir s'il y a un potentiel de dangerosité à me réintroduire socialement. Il est prévu que je dorme à l'hôpital pour une nuit lors de mon retour.

Le mardi 11 avril 1995, je veux partir vers 09:30, car mon ami Claude Jodoin c'était dit disponible ce matin là pour venir me chercher au CHUS. Je réalise en matinée qu'on m'avait dupé la veille car on m'apprends que mon départ ne pourra pas ce faire avant 13:30 parce que les papiers ne seront pas prêts avant cette heure. J'appelle mon ami Claude Jodoin pour lui faire par de cet incident car je ne veux surtout pas lui faire perdre sa journée à lui. À 10:15, l'équipe médicale du 4B m'annonce que je peux partir. Mon infirmier me dit : «Laisse-moi le temps de préparer ta médication pour ta journée de liberté.» Je lui réponds : «Je suis en santé, je n'aurai donc pas besoin de cette médication.» Mon psychiatre interne me dit à son tour : «Monsieur Lacombe, j'accepte de vous prescrire le Stelazine à une posologie de 1mg. b.i.d. comme vous me l'avez demandé. Cependant cette dose ne sera jamais assez suffisante pour vous, une dose minimale de 2mg. b.i.d. sera requise

À 10:35, je quitte l'aile psychiatrique du CHUS. À 11:34 j'arrive seul !, au Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke) dans le département de santé animale. Je rencontre les professeurs : Patrick Metcalfe, Michel Lockwell et Claire Bariteau, la technicienne Nathalie Provost ainsi que 20 étudiants + ou - 5. Puis dans le département de biologie pour m'entretenir avec un professeur cycliste dont j'ignore le nom.

À 12:45, je me rends seul ! au café A. L. Van Houtte pour dîner avec mon amie Claire Boulanger. Une dame qui me confia un jour, bien avant que je sois hospitalisé, avoir été violée par un infirmier dans une aile psychiatrique d'un hôpital de Sherbrooke lorsqu'elle était âgée de 19 ans. Cette dame est maintenant âgée de trente-huit ans, on contrôle donc son humeur depuis 19 ans. Elle est consciente que son corps a développé une accoutumance face à tout les médicaments qu'elle doit consommer par jour. Peut-être que si le domaine psychiatrique cesserais de l'épier vicieusement tout en la harcelant sur une base régulière, peut-être qu'elle vivrait finalement dans un mieux-être. On l'a dit psychopathe paranoïaque, c'est-à-dire atteinte le plus souvent d'un délire de persécution qui s'identifie par intuition ou interprétation à partir de prémisses fausses. Cependant, j'ai été témoin avec sa sœur Marie d'une vraie prémisse le vendredi 5 mai 1995 dans la soirée lorsque nous étions tous trois au bar Meadow's de Sherbrooke lorsqu'un homme s'est adressé à une femme en disant :

«On s'en retourne au CHUS (Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke).»

Cette homme au comportement bizarroïde m'a épié personnellement de 22:30 à 24:00 ce soir là. Ce soir là, justement, Claire a pu dire à sa sœur Marie devant moi : «Vas-tu me croire à partir de maintenant Lorsque je te dirai que j'ai été suivi à tel endroit, à tel heure et en tel circonstance. Cela fait 19 ans que cela perdure dans ma vie

Revenons maintenant, au mardi 11 avril à 14:00, je me rends seul ! à Place La Cité pour y rencontrer mon ami Jean Pierre Champagne. À 15:00, seul ! je retourne au café A. L. Van Houtte pour y retrouver mes amis : Carmel Hallé, France Comtois et Brigitte Nemirovsky afin de partager cette victoire. À 16:30, seul ! je me rends au bureau de mon avocat Me Gaétan Grenier, je m'entretiens alors avec sa secrétaire car il est absent. De 17:00 à 20:00, je me rends seul ! au restaurant La Falaise St-Michel pour y travailler bénévolement pour service rendu et y rencontrer mes amis Patrick et Joël Lagniel ainsi qu'Emmanuel et Christian. À 20:30, je me rends au Café Bla Bla avec Christian et à 22:15 mon ami Éric Nutbrown arrive pour me conduire chez lui.

Le 12 avril 1995, à 07:45, je me rends au restaurant Chez Charlie, celui situé sur la rue Camirand parce que je suis invité à déjeuner par Éric. Je rencontre madame Caroline Rouleau et son ami Simon. À 08:50, je suis de retour au CHUS en passant par la cafétéria à 09:05. À 09:11 je fais signer mon ami Éric Nutbrown mon rapport d'activité sur le comptoir du poste de garde du 4B. À 09:30, je fais la lecture de mon rapport d'activité à madame Pauline Bergeron tout en le transcrivant sur une feuille de travail car originalement il est écrit au dos d'un napperon. Je remet mon rapport au nouveau psychiatre traitant mon dossier, devant le psychiatre interne et de la psychiatre en devenir. Je leur dit : «Je n'aurai plus besoin de vos services, car en aucun temps, pendant cette période de 24 heures, je n'ai eu des épisodes paranoïdes. Pour cette raison, je refuse d'être vu en clinique externe car je suis en santé, comme je l'étais lors de mon entrée à l'urgence de l'hôpital. Je refuse aussi toute médication.

À 10:30 en cette date du 12 avril 1995,
je remercie mon psychiatre interne d'avoir écrit pour mon nouveau psychiatre.
Ce dernier ayant décidé de me libérer, ne voyant aucune dangerosité en moi.
Ce psychiatre a accepté ma version des faits car il a pris le temps de m'écouter.
Il avait en main mon dossier depuis le lundi 11 avril 1995 seulement.
Tandis que la psychiatre a été obligée de prendre des vacances,
cette dernière s'était épuisée à essayer de me convaincre que j'étais atteint d'une
maladie bipolaire maniaco-dépressive ainsi que d'une psychose paranoïde.

Bilan de cette médecine :

puce

- aucune urine et aucune fèces pendant 7 jours
 

puce

- perte d'un certain pourcentage de ma vision entraînant une vision floue et trouble du 12 février au 27 mars 1995
 

puce

- courbature dû à cet état fébrile du 12 février au 9 avril 1995

puce

- convulsion et raideur du 12 février au 20 mars 1995

puce

- fatigue, faiblesse musculaire, incoordination, somnolence tremblements du 28 février 1995 au 20 mars 1995

puce

- confusion, désorientation, spasmes musculaires, hyper réflexibilité du 11 au 16 mars 1995

puce

- sevrage de 13 jours du 14 au 27 mars 1995

puce

- sommeil perdu du 14 février au 11 avril 1995, en 57 jours seulement 140 heures

puce

- torture physique et mentale du 11 février au 11 avril 1995

puce

- perte de mes fonctions sexuelles du 12 février au 9 avril 1995

puce

- perte d'une certaine jouissance de la vie du 11 février au 11 avril 1995

puce

- potentiel de dangerosité de mort du 11 février au 12 avril 1995

puce

- perte de concentration académique du 11 février au 27 avril 1995

Maintenant, je n'ai nullement l'intention de vous entretenir sur le contenu de mon journal intime du 12 avril à aujourd'hui car ce que je viens d'écrire m'a demandé beaucoup d'énergie. Qui plus est, je ne peux vraiment pas écrire deux ouvrages en même temps. Quoiqu'il en soit, je dois tout de même vous révéler certains problèmes depuis ma libération de l'emprise de ces arnaqueurs mystiques et machiavéliques pour le bien-être de toute l'humanité. Tout d'abord, le samedi 15 avril 1995, à 13:30, j'arrive chez mes parents en présence de mon ami Carmel Hallé, pour y cueillir des vêtements. Mon père me reproche plusieurs choses sur les choix que j'ai eu à faire tout au long de ma vie, comme : «Je te l'avais dit de ne pas quitter ta job à l'Hydro-Québec. Je te l'avais dit de pas marier Joanne Vincent. etc, etc...»

Le mercredi 19 avril 1995, entre 19:00 et 22:30, je me rends à l'hôtel Delta avec mes amis : Claire et Marie Boulanger, Geneviève Lamoureux, Carmel Hallé et Éric Nutbrown. Je rencontre la Docteure en médecine Guylaine Lanctôt pour la première fois de ma vie.

J'avais prédit, le 7 avril 1995 lorsqu'on porta à ma connaissance l'information de la tenue de cette soirée d'information, que je serais sorti de cette cure fermée afin d'être présent à cette soirée.

Le samedi et le dimanche 22 et 23 avril 1995, et cela toute la journée je participe à une atelier préparée par la Docteure en médecine Guylaine Lanctôt. J'y livre même mon témoignage devant ce bourreau rapporteur, à la solde du CHUS. Je suis accompagné de mes amis : Françoise Fournier, Claire Boulanger, Carmel Hallé et France. Je remarque même la présence de Madame Monique Auger ancienne travailleuse pour Prodef Estrie.

Le jeudi 27 avril 1995 au matin, je commence à étudier en vue de mes examens débutant le 1er mai 1995. Je réussi mes deux examens théoriques en Technique de Recherche et Expérimentation entraînant un 76% comme résultat final. Le jeudi 4 mai 1995, mon cours d'Histologie est réussi avec un résultat de 98%. Le vendredi 5 mai 1995, mon examen de Secrétariat et Service à la Clientèle est réussi, résultat pour ce cours 72%. Après cette première semaine d'examens, tout indique que je me dirige vers une réussite totale certaine, et après 18 ans de scolarité, je le sens bien.

Le lundi 8 mai 1995, je m'apprête à débuter ma deuxième semaine d'examen. Cependant mon professeur Patrick Metcalfe ne se présente pas à mon examen que lui-même avait positionné à l'agenda. J'avertis le technicien monsieur Gilles Perron et lui dis que je me rends à la bibliothèque du Collège pour poursuivre ma révision. À 11:30, monsieur Gilles m'avise que malencontreusement mon professeur Patrick Metcalfe m'a complètement oublié et qu'étant en dehors de la ville, il doit reporter mon examen de Pathologie le mardi 9 mai 1995 à la même heure soit 08:30. Tous ceux qui lisez cette lettre, vous n'êtes pas sans savoir qu'il existe un règlement du ministère de l'éducation qui stipule que si un étudiant ne se présente pas à un examen obtient la note zéro pour cette examen. Quoiqu'il en soi, l'erreur étant humaine je laisse la chance au coureur.

Le mardi 9 mai 1995, je me présente avec mon ami Éric Nutbrown au Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke), constatant qu'à 08:30 mon professeur Patrick Metcalfe n'est pas arrivé. Je demande à mon ami de l'attendre avec moi, durant cette attente, je présente mon ami à madame Nathalie Provost technicienne du département, à mon professeur Jean-Pierre Roy, ainsi qu'au Chef du département Michel Lockquel. C'est alors que monsieur Michel Lockwell a tenté par pur provocation de créer une glissade chez moi pour que j'en arrive à perdre le contrôle de mon humeur, en me disant : «Toi ton problème, c'est que tu es incapable d'accepter les gens qui te rejette. On ne te fera pas de cadeau, etc, etc...» Je salue mon ex professeur et celui qui devait superviser mon stage en recherche Gérard Déhaies, monsieur n'a pas daigné me répondre. Mon ami Éric m'a même fait la remarque suivante : «0n ressens bien que cette homme ne t'aime pas du tout.»

Mon professeur Patrick Metcalfe arrive finalement à 10:00, je lui dis : «J'étais prêt pour cet examen de Pathologie à 08:30, maintenant cela fait déjà 90 minutes que j'attends. Je dois me rendre à la bibliothèque pour me recentrer sur cette matière.» De 13:30 à 14:30, mon examen de pathologie a été répondu dans le bureau de mon ex professeur et responsable de mon stage clinique Yvan Denis. J'aperçois très bien la lettre dont ce dernier m'avait brandi d'un geste de provocation le 19 avril 1995, Lorsque je m'étais rendu au Collège en présence de mon ami Brigitte Nemirovsky. Cette lettre avait été envoyée expressément à cette vétérinaire madame Siobhan P. Ellison qui était celle qui devait m'entraîner cliniquement en Floride.

Cette lettre a été écrite le 15 février 1995 par Monsieur Yvan Denis lui-même. Il est écrit : «Dr Ellison, It is with some consternation that I learned this morning that my student Mr. Serge Lacombe has been Hospitalised for a prolonged period. As of now it looks most probable that he will not be able to finish this semester, including the two 5 weeks internships he was supposed to do this spring in Florida. There is a possibility that we try to repeat the experience next year, it witch case we will contact you. Yet, we want to thank you for you gracious help, and hope that this will not cause any inconvenience to you and your practice. Sincerely.» («Dr Ellison, c'est avec une consternation que j'ai appris ce matin que mon étudiant M. Serge Lacombe a été Hospitalisé pour une période prolongée. À partir de maintenant il semble le plus probable qu'il ne sera pas capable de finir ce semestre, en incluant les deux stages de 5 semaines qu'il était censé faire ce printemps en Floride. Il y a une possibilité que nous essayons de répéter l'expérience l'année prochaine, dans ce cas nous vous contacterons. Cependant, nous voulons vous dire merci pour l'aide gracieuse que vous nous avez fourni et espérons que cela ne vous provoquera pas de dérangement chez vous et dans votre pratique. Sincèrement.»)

Monsieur Yvan Denis, pour qu'elle raison cette lettre se trouvait agrafé à la auteur de vos yeux depuis 83 jours ? Était-ce considéré comme un trophée de chasse par vous? Était-ce une manière de me jeter un mauvais sort ? Avez-vous appris à prendre plaisir à détruire les gens lors de votre voyage sabbatique de bateau à voile ? Quoiqu'il en soit, j'ai fait mon examen dans le bureau où Messieurs Yvan Denis et Gérard Déhaies m'avaient apostrophé le 8 décembre 1995 à 08:30. Lors de cette examen, je n'ai pas pu répondre à une question valant 3 points, j'ai écrit comme réponse à cette question : «Problème psychologique temporaire, synonyme voir blanc de mémoire, 9 mai 1995, 14:30» heure à laquelle je réussi mon examen.

Cependant, je subis un échec pour ce cours de Pathologie car l'attitude comportementale de monsieur Patrick Metcalfe au courant de ce début de semaine m'a empêché de me concentrer pour l'examen orale de Pathologie du 15 mai 1995. Cette examen orale manqué entraîna la mention échec sur mon dernier bulletin d'études collégiales avec un résultat de 53%. D'ailleurs le 9 mai 1995, 10:23, j'ai demandé à ma professeure Martine Nadeau de reporté mon examen Soins aux animaux exotiques du mercredi matin en après-midi et du mercredi après-midi au vendredi après-midi. Tout cela causé par les événements de ce début de semaine ainsi que cette mauvaise attitude comportementale provenant de certains professeurs.

Le mercredi 10 mai 1995, je demande à mon père de venir à Sherbrooke car j'ai besoin d'un témoin pour m'accompagner dans une démarche ultime. Je lui dis : «Je suis en vois de réussir tout mes cours, cependant parce que certains professeurs me font encore du trouble, je dois en avertir le Directeur du Collège Monsieur Jocelyn Vallée.» De 10:10 à 10:34, nous attendons au Collège devant son bureau. De 10:34 à 10:41, je fais part de mes doléances à monsieur Jocelyn Vallée qui m'affirme ne pas avoir été mis au courant de mon histoire de Marc Lépine II. Cependant, il me confirme devant mon père qu'il fera le nécessaire pour qu'on me fournisse un bon encadrement pour le succès de mes examens finaux en appelant les personnes hautement responsable de ce Collège. Il me félicite même du sang-froid et du calme que je possède et il est vraiment convaincu par le geste que je viens de poser qu'il y a eu erreur sur la personne.

Je conduis mon père chez mon ami Éric Nutbrown, ce dernier est très enthousiasmé par le geste que mon père viens de poser. Et pour le remercier, je l'invite à dîner au Restaurant La Falaise St-Michel, lors de ce dîner nous sommes servi par le Maître d'Hôtel Monsieur Michel Igual lui-même. Mon ami serveur Emmanuel qui viens pour me dire qu'un homme me connais dans cette salle à manger. Surprise ! Cinq hommes sont assis à la même table pour un dîner d'affaire, ils travaillent tous dans le domaine de l'automobile. Qui plus est, ces hommes me connaissent tous depuis 1985 ou 1987. Sont présents à cette table : Monsieur Claude Joannette celui qui avait été engagé à la compagnie Bear Automotive Inc. en 1985 après le congédiement de ces trois fraudeurs. Messieurs Jalbert père et fils du Centre d'estimation Guy Jalbert de Sherbrooke, ceux-ci se rappellerons toujours ce pont de levage pour voiture installé de nuit dans leur commerce, en plus le fils est guéri d'une maladie cancérigène au niveau de l'œil. Lui, il le sait qui l'a guéri, il a compris. Se trouvaient aussi à cette table un confrère de travail de Monsieur Joannette travaillant chez U.A.P. distributeur de pièces d'auto ainsi qu'un représentant manufacturier d'un fabriquant de pièces d'automobiles. Notre repas est offert par mes amis restaurateurs. Plusieurs semaines ont passé pour que finalement entendre mon père dire qu'il n'a jamais apprécié cette journée du 10 mai 1995.

Le jeudi 11 mai 1995, à 18:35, je saisis un reportage à CHLT Télé qui mentionne : «17 685 assistés sociaux dans la région de Sherbrooke, à cause de préjugés causés par une campagne du gouvernement antérieur qui parlait de fraudeur de l'aide social ce qui entraîne une difficulté à l'emploi pour tous ces assistés sociaux.»

Le vendredi 12 mai 1995, de 12:15 à 13:10, je réponds à mon examen Soins aux animaux exotiques en présence de mon amie Geneviève Lamoureux dans le bureau de travail des techniciens en Santé Animale du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke). Résultat pour ce cours dans mon bulletin d'études collégiales 66%. De 23:00 à 24:00, je suis au bar le Meadow's pour célébrer ce mois de liberté au champagne avec mes amis : Éric Nutbrown, Geneviève Lamoureux, Jean-Pierre Champagne et son amie, Claire et Marie Boulanger, Carmel Hallé, Michel Picard ainsi que Lucienne.

Tous les amis qui ont pu venir, ont eu un verre de champagne pour souligner la reconnaissance que je vouais pour eux. Nous avons levé notre verre en l'honneur de tous les amis qui m'ont sauvé. Je voulais le démontrer publiquement, j'ai choisi l'endroit et l'heure. Aujourd'hui, je tiens à remercier tous ces gens qui, de près ou de loin, m'ont permis de me rendre jusqu'à écrire cette lettre qui achève. Ceux qui me lisent, vous pouvez prendre en considération qu'il y en a plus d'une dizaine de milliers de personnes qui ont été sensibilisé à mon injustice sociale, jusqu'à maintenant.

Le samedi 13 mai 1995, de 16:00 à 16:45, je me rends avec mon ami Éric Nutbrown au Carrefour de l'Estrie. Dans ce centre d'achat, je croise monsieur Mario Morency, un homme que j'ai connu à l'automne de 1989 car il étudiait en médecine dans la graduation 1989-1992 au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/ CUSE).  En ce temps là, je le voyais quasiment à toutes les fins de semaines car je m'y rendais pour voir mon amie Johanne. Durant ces week-ends, il m'est arrivé de faire du social avec Mario, comme faire de la bicyclette, sortir pour danser ou aller manger dans un restaurant. Au mois de mars 1990, je deviens propriétaire d'une maison avec mon ami Johanne alors cet homme est même venu manger ou me rendre visite chez moi.

Monsieur Mario Morency est le premier psychiatre interne à m'avoir vu au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE), je l'ai reconnu en le voyant et lui ai dis : «Eh ! Mario, comment vas-tu, je suis content de te voir. Il m'a renié. Par sa démence mystique et machiavélique, j'ai été interné durant 57 jours à l'hôpital. Lorsque, je l'ai vu au centre d'achat, si j'avais été normalement constitué je l'aurais étouffé sur la place publique. Plutôt que de faire cela je lui donne une poignée de main qu'il n'est pas prêt d'oublier car ce jour là avec le sourire, je lui fait vivre un phénomène paranormal. Par chance que, j'avais un témoin de l'événement, car il y avait à l'intérieur de ce centre d'achat ce jour là d'autres psychiatres à la solde du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE) dans le dossier CHUS 398 068.

Le dimanche 14 mai 1995, en cette fête des mères, mon ami Éric Nutbrown me conduit chez mon amie Pauline Bergeron. Je téléphone à ma mère, elle est absente, je demande alors à mon père de lui dire que je l'aime et que je lui rendrez visite le 15 mai 1995. Madame Pauline Bergeron nous garde à souper. Après souper, à la demande de Pauline je me rends avec elle et mon ami Éric au foyer de Wotton pour rendre visite à une de ces tantes qui décédera quelques jours après.

Le lundi 15 mai 1995, contre mon gré, je ne me présente pas à cet examen orale de Pathologie car les événements dont mon professeur Patrick Metcalfe est directement responsable ont brimé ma concentration pour le restant de mes études. Croyez–moi je voulais vraiment réussir tout mes examens finaux, sans jamais développer un esprit malsain de vengeance comme certaine personne. L'examen était prévu entre 14:00 et 14:15 étant à Montréal à ce moment là, sans argent je ne pouvais pas avertir.

À 17:00, j'arrive chez mon père avec une bonne poignée de main sincère je suis content de le voir. À 17:40, mon père Raynald dit Renald me traite de trou-de-cul et il me dit : «Tu vas les prendre tes pilules, tu me rendras pas malade.» d'un ton très agressif parce que j'étais à écrire une partie de mon journal intime d'itinérant. Je m'en vais car il est très imprévisible et agressant me sachant très vulnérable sans témoin. Le patient s'était moi et mon père le savait. Aurait-il pu à tout moment se mutiler en appelant (911) et déclarer son fils coupable de cette mutilation ? Lui qui avait le 11 février 1995, déclaré faussement au policier de Sherbrooke et cela à mon insu : «Oui ! J'ai vu mon fils unique tenté de tuer cette dame devant moi.» Je m'en vais à la rencontre de ma mère, je lui explique ce que mon père vient de me faire vivre. Elle n'y croit rien, et sur la rue, elle est très mal à l'aise avec moi. Je lui dis de ne pas s'inquiéter pour moi que tout va bien.

Le mardi 16 mai 1995, je ne ferai pas mon examen d'Hématologie de même que le jeudi 18 mai 1995, je ne ferai pas mon examen Nursing et techniques chirurgicales ce qui entraînera comme résultats finaux sur mon bulletin d'études collégiales réciproquement 44% et 29%. Cette journée là, de 16:50 à 17:25, j'ai marché dans le bois seul, j'ai envie de déféquer, je m'appuie sur un rocher pour me soulager, une parcelle de cette roche est tombée, Je me rappellerai longtemps de cette écorce de bouleau, écorce que j'ai trouvé dans le bois. Je fend ce bois à couper avec une rapidité qui m'est inconnu. Je n'ai jamais été aussi en colère de ma vie. Je me sert de cette colère pour bûcher du bois. Je me suis renforcé l'esprit davantage, pour devenir encore plus sage. Je suis capable de beaucoup plus que ça moi car je pense à toi & toi & encore toi & je n'oublie pas celui qui m'a créé. Je suis son serviteur, un des serviteurs de Jésus-Christ. Ce texte fut composé par moi le 19 mai 1995, à 07:31 et est le reflet parfait de mon état d'âme du moment au levé du jour et une copie conforme de mon activité de la veille.

Le mercredi 24 mai 1995, 10:00, je suis à La Régie de l'Assurance Maladie du Québec, au 425, rue de Maisonneuve, suite #300. Je rencontre monsieur Louis Pierre Foisy, après m'avoir clairement identifié devant lui avec des preuves d'identités qu'il a acceptées. Il se refuse à me divulguer mon adresse de résidence actuelle, délais pour obtenir ma nouvelle carte, 45 jours. Par contre à 11:50, je rencontre monsieur Marcel Marcotte de La Régie de l'Assurance Automobile du Québec, succursale des Halles d'Anjou pour le renouvellement de mon permis de conduire. Un de mes amis monsieur François Brunet m'a prêté 90$ pour que je puisse l'obtenir ce jour même.

Nous sommes à 4 ans et demi de l'an 2000 pourquoi cette différence de délais ?

Le jeudi 25 mai 1995, à 19:00, j'ai reçu de messieurs Michel Igual et Patrick Lagniel un stylo à bille avec leur nom de commerce écrit dessus. Il est écrit : «La Falaise Saint-Michel, Sherbrooke, QC, J1H 5N3» Ce stylo me fût donné lors d'un souper avec tout le personnel en place. Car une ami à moi m'a averti qu'il se préparait une arnaque médicale mystique et machiavélique contre moi, le coup devait se faire au bar Meadow's commandé par l'équipe médicale qui a peur de la vérité que je transporte de bouche à oreille. Ces gens là, avaient préparé leur coup longtemps d'avance car tous les patients du 4B connus ou inconnus de moi avaient une fausse image de moi. Il s'agissait là d'une arnaque mortel, parce que j'en savais trop. D'ailleurs devant le danger, j'ai dû annuler mon action bénévole envers La Grande Randonnée Cycliste de l'Estrie et son Président Laurent Péloquin.

Le Vendredi 26 mai 1995, durant la journée, je prépare mes rapports d'impôts moi-même comme je le fais depuis 1975, c'est la première année que je produis en retard. Il est écrit : «Excusez le retard, j'étais hospitalisé au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE) en psychiatrie du 11 février au 11 avril 1995. J'espère que vous n'y verrai aucune offense. J'ai pardonné à tous ces psychiatres pour leurs erreurs médicales dans mon dossier À 23:15, avec l'aide de mon cousin Danis Bourassa et sa femme Nicole, j'ai pu embarqué avec le transporteur de passager Greyhound destination Ocala, Floride, coût du billet 173 $ + 40 $ en argent US. Je dois débarquer au douane américaine à 00:15, parce que je n'ai pas de travail présentement au Canada, je n'ai pas de preuve suffisante de résidence. De plus, on me dit que cela me prendrais 100 $ U.S. par jour pour qu'on puisse me laisser passer. À 01:15, on me transfert au douane canadienne, je demande alors des explications car je n'aime pas perdre mon temps ni faire perdre le temps aux autres comme cela. Moi qui avais justement pris le temps de passer à l'Ambassade des États-Unis à Montréal pour ne pas perdre de temps. L'officier me dit alors : «Même si tu obtiens un visa de l'ambassade, l'officier au douane peut refuser ton passage À 01:40, départ des douanes canadiennes vers Montréal pour arriver à 02:28 bilan de cette perte de temps 05:30.

Le samedi 27 mai 1995, 04:00, j'arrive chez mon père avec mon cousin Danis et sa femme, ma mère est présente avec ma sœur nous sommes donc six personnes. Mon père ne comprends pas pourquoi je cherche à m'éloigner de lui tandis que moi je ne comprends pas pourquoi le lundi 15 mai 1995, à 17:40, mon père m'a traité de trou de cul. Il dit à ce moment-là à tout le monde que ce n'est pas vrai donc que je suis devenu menteur, fin de cette conversation. À 08:20, je converse avec ma mère elle est très gentille pour moi. Je l'aime beaucoup mais je n'aurai jamais son appuie car elle a peur de mon père et de cette médecine. À 11:30, je me rends voir Monsieur Nguyen Mgoque, docteur en médecine générale, 3987, rue Wellington, Verdun, tél. : (514) 767-4313. Ce médecin ne veux pas faire venir mon dossier médical.

Le dimanche 28 mai 1995, à 11:00, je rencontre mon cousin germain sur la rue Wellington à Verdun, ça fait dix ans que la famille le cache de moi. J'apprends alors, qu'il doit se rendre aller acheter son Lithium, je lui demande s'il était au courant que j'étais allé me faire torturer dans une aile psychiatrique de Sherbrooke pendant 57 jours cette hiver ? Il me réponds par la négative en me disant qu'il savait que j'étais retourné au étude sans plus. Il me confia qu'il n'est pas malade du tout, mais qu'étant le plus pieux de sa famille, il s'est résigné à accepté la maladie maniaco-dépressive pour sauver sa famille d'autant plus qu'il a perdu 1 an et demi de sa vie à l'hôpital, c'est-à-dire qu'il a vécu quatre cures fermées de 1985 à 1995 à cause de sa famille. On lui a même administré des chocs électriques à l'Hôpital Universitaire Psychiatrique Douglas à Verdun. Je lui ai dit que moi je n'accepterai pas une maladie que je n'ai pas pour sauver ma famille car moi aussi je suis le plus pieux de cette famille.

Le dimanche 28 mai 1995, à 13:30, je visite le Musée d'Archéologie et d'histoire Pointe à Calière du 350 Place Royal, Montréal, H2Y 3Y5 dans le cadre de cette journée Porte ouverte aux musées de Montréal. Je demande à voir la Directrice madame Francine Lelièvre (514) 872-9150, pour tout d'abord la félicitée pour cette exposition qui vraiment met l'emphase sur le travail de tous nos ancêtres canadiens français et je profite de l'occasion pour lui présenter mon amie Show Zhao ainsi que son fils Jason âgé de 5 ans. Je dis à Madame Lelièvre que mon amie est d'origine chinoise et habite dans notre pays depuis 1989. Je suis sûr que Madame Lelièvre se souvient encore de cette rencontre car je me distingué des autres de par cette jovialité exubérante qui m'habite depuis mon enfance, je suis vraiment marginal, il n'y a pas d'erreurs à ce niveau là. Cependant, il faut comprendre que cette énergie divine m'est fournie par Dieu, Jésus-Christ notre sauveur parce que je suis infiniment serviable pour lui. Et nul humain ne peut détruire ce lien divin entre lui et moi car il m'a pourvu le 25 décembre 1994 d'une lucidité clairvoyante.

Ce site archéologique est relié à la première douane de Montréal, en cette journée porte ouverte la Directrice Francine Lelièvre avait pris l'initiative d'inviter les visiteurs à déposer des menus objets très personnels pour les gens du futur. Je dépose alors, dans une boite faite de bois et de verre, devant plusieurs témoin de la scène de part mon excentricité gestuelle toujours parfaite. J'y déposa donc : une carte d'affaire imaginée par moi et conçu par Monsieur Claude Pépin (819) 566-1531 de Conception graphique CP Inc, du 880, rue Jogues, #301, Sherbrooke, J1H 2X9, avec une carte d'accès magnétique du réseau de photocopieur du Collège du Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke) ainsi qu'une note explicative de mon déménagement effectué le 11 mars 1995.

Ce dépôt, passera à l'histoire si Dieu le veut. Par la suite nous nous rendons au Musée des Beaux arts pour voir l'exposition sur la Beauté Mobile. Vous savez cette exposition sur l'automobile était très intéressante pour moi qui avait été par exemplarité au service de tous ces gens pendant 15 années de ma vie. Et pour souligner ce beau cadeau, je suis venu en aide à ce jeune couple dont la voiture était en panne de crevaison tout près de ce musée de la rue Sherbrooke. Ils se sont rendus rapidement compte avec qu'elle brio d'expérience, je leur ai sauvé du coût et de l'attente d'une remorqueuse par ce beau dimanche après-midi. Ce couple était accompagné d'un autre couple, croyez vous qu'ils seraient incapable tous en même temps de venir témoigner pour moi, si un jour la société me forçait à le faire. Des témoins du genre, j'en ai semé tout au long de ma vie.

Le mardi 30 mai 1995, entre 09:00 et 12:15, je me rends dans le centre ville de Montréal pour acheter une pièce de douche Water Pick. Sur le chemin du retour, je rencontre dans le métro de Montréal, madame Sandra Ledoux ex étudiante du groupe #1307 en 1995 au Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke). De la station Alexi-Nihon jusqu'à la station De l'église, nous vivons cette retrouvaille très agréablement communicatrice. Elle m'annonce qu'elle commence à travailler dans une clinique vétérinaire de Ville Lasalle cette journée même. Je lui dis que moi, je vie encore cette injustice sociale, je suis devenu itinérant pour le bien de tous et de ne pas s'en faire pour moi outre mesure. Arrivé chez mon père, j'ai dû partir hâtivement et sans dîner, car mon père me fait réaliser de par son comportement d'insatisfaction devant l'achat que j'ai effectué pour lui rendre service. Je suis très vulnérable lorsque je suis avec lui sans témoin de la scène. Ma vie est à chaque fois en danger parce que mon père est un grand malade que la société s'entête à ne pas vouloir le reconnaître. Car celui qui dérange la société, c'est moi, mon père étant devenu un peinard servile face à la société québécoise actuelle.

Le jeudi 1er juin 1995, mon ami Éric Nutbrown me prête 200 $ pour que je puisse effectuer un retour dans le domaine de l'automobile. À 12:00, Éric est venu me conduire à Granby, d'où j'achète un billet d'autobus pour Montréal. Je tiens à le remercier publiquement car sans ce prêt de 200 $, et sans la bonté divine de madame Micheline Gauthier de Friperie Mex Enr, du 70, rue Saint-Antoine sud, Granby, J2G 6W5 je n'aurais pas pu devenir ce clochard de luxe, grâce à ce complet trois pièces fait main que madame Gauthier m'a offert pour 58 $ incluant une chemise. À 17:00, je suis à la Place Versailles pour récupérer mes souliers présidentiels Chez mon ami Raymond cordonnier de ce centre d'achats qui me connais depuis 1984. De plus j'en profite pour faire rapetisser mes deux pantalons d'habits, chez le nettoyeur de la place. Je suis donc prêt à affronter le marché de l'emploie.
 
Le vendredi 2 juin 1995, à 09:15, je me rends chez le fournisseur de pièces d'automobiles UAP/NAPA du 2095, avenue Haig, Montréal, H1N 3E2 pour y rencontrer le Gérant des ventes monsieur René Primeau. Car avec la notoriété que je possède dans le milieu, déjà messieurs Jean Thurso et Claude Joannette tous deux Représentants pour cet employeur m'ont référé à lui, sachant qu'on venait de faire une réorganisation du personnel de la division équipement. La réceptionniste m'indique alors que Monsieur Primeau est actuellement au Manoir Richelieu de Pointe-au-Pic avec des Représentants Manufacturiers. Étant donné que je prends une part hyperactive à me chercher du travail depuis le 12 mai 1995, je décide de m'y rendre sur le pouce. Je tiens à remercier publiquement monsieur René Rheault du Centre Shell Lanneville Enr situé sur la rue Hochelaga à Montréal, de m'avoir fourni des pansements et un de ses clients du prénom de Michel qui me conduit de l'autre côté du tunnel Hyppolite-Lafontaine.

À 13:25, je dois payer pour le passage de l'autobus de la CTCUQ pour me rendre à Beauport. À 14:10, je décide de prendre le taxi car le circuit d'autobus pour avoir accès aux chutes-Montmorency est au 2 heures, coût 13 $. À 15:00, je prend un pouce des Chutes au Manoir Richelieu. À 17:00, je rencontre d'anciens clients et amis, dont monsieur Robert Rousseau des Industries Kleen Flo Tumbler Ltée, qui m'apprends qu'il n'y a aucun représentant manufacturier de présent, tandis que monsieur Claude Villemure lui, m'apprends qu'il travaille maintenant au magasin UAP/NAPA du boulevard du Séminaire à St-Jean sur le Richelieu. Je vois tout de même l'un des maîtres d'œuvres de ce congrès monsieur René Primeau, cet homme me reconnaît, cet homme ne m'a pas vu depuis 5 ans. Je suis content de le revoir, comment se fait-il que cet homme pointe son doigt sur mon veston d'habit en me demandant d'un ton puéril et moqueur : «C'est quoi ça ? !...» Devant l'accueil indésirable de cet homme, je lui réponds : «Ça, ce n'est que l'épingle promotionnelle du commerce d'un de mes amis de Sherbrooke sans plus».

Je tiens à remercier monsieur Robert Rousseau et sa femme de m'avoir ramené jusqu'au Mont Sainte-Anne le soir même. À 20:30
, j'arrive finalement au Carrefour Beauport. Je remercie aussi madame Nancy Nolan pour être venu me chercher après son travail et de m'avoir hébergé chez elle pour la nuit. Cela m'auras même permis de faire connaissance avec son frère et sa blonde. En plus de conscientiser ces gens à ma cause.

Le samedi 3 juin 1995, à 14:00, madame Nolan avec sa bonté divine m'a même déposée à l'aide de son automobile dans le cartier Saint-Sacrement de Québec. À 16:30, mon ami Abdou Amidou m'accueille chez lui dans la Haute-Ville de Québec. J'y suis seulement logé, car je suis chez trois africains qui vivent de l'aide sociale, donc en dessous du seuil de pauvreté.

Le dimanche 4 juin 1995, de 06:30 à 11:00, monsieur Maurice Grenon de Chicoutimi me prends à bord de sa camionnette (voire pick-up). Je tiens à remercier publiquement ce vieil homme de m'avoir payé à déjeuner à l'Étape. Il me dépose au boulevard du Royaume et j'ai dû marché pendant deux heures pour me rendre au Carrefour d'Arvida. De 13:30 à 14:10, je me repose à cet endroit, j'y bois un jus de mangue et mange trois pamplemousse en plus de recevoir un bon morceau de gâteau d'anniversaire du magasin IGA. Puis je marche jusqu'à la sortie d'Arvida. De 15:00 à 16:30, je me suis rendu à l'Ermitage Saint-Antoine de Padoue, situé au 250, route de l'Ermitage, Lac Bouchette, G0W 1V0 en quatre étapes. J'ai rencontré le Père Supérieur Capucin Marcel Provost (418) 348-6344, Fax. : (418) 348-9463. Je tiens à remercier publiquement tout le travail que cet homme accompli divinement et de m'avoir logé et nourri charitablement du dimanche au souper jusqu'au vendredi midi. Parce qu'il a acquiescé à ma demande, je réussirai à changer le monde de par ce ressourcement dans ce lieu en ce 800e anniversaire de ce Saint.

Le lundi 5 juin 1995, de 00:00 à 02:30, j'accompagne le gardien des lieux dans sa ronde de surveillance. Je suis venu ici pour sauver ma famille sans me soucier de ma nourriture et de mon gîte. J'ai travaillé pendant 60 heures pour transcrire tout le contenu de mon agenda électronique sur du papier. J'ai téléphoné à mon ex employeur Moog Canada Ltée afin d'aviser le Vice président des ventes monsieur Mike Holland de mon intérêt pour servir à nouveau la compagnie comme je le faisait dans le temps. J'ai fais d'autres démarches avec des employeurs possédant un service 800. J'ai rencontré le Directeur Denis Le Bel de l'Ermitage et le conscientise à mon histoire. Le vendredi 9 juin 1995, à 07:00, appelle mes parents pour leurs souhaités un anniversaire de mariage. En cette journée je n'ai pris aucune chance, j'ai sensibilisé le Père Supérieur Capucin Marcel Provost en lui demandant : «Vous savez vous et moi sommes écrivains alors j'aimerais vous remettre une photocopie de mon écrit pour que ce dernier soit protégé par Saint-Antoine, au cas où je perdrais l'original ou qu'on m'attaquerais pour me l'enlever."

Le lundi 12 juin 1995, 09:00, je suis au 205, rue Montmagny, Québec (Québec), G1N 4T2 au bureau de la Direction de l'état civil pour y cueillir un formulaire de changement de nom. Par la suite, je me rends dans la région Mauricienne car plusieurs membres de ma famille y habitent. Je dois établir hors de tout doute que je ne suis pas celui que certains aimeraient que je sois et dois comprendre pour qu'elle raison mon père a répandu des faussetés à mon sujet depuis 1980. Le mercredi 14 juin 1995, j'écris une lettre explicative de notre situation familiale à tante Jeanne Bourassa que j'expédie «C.C.» à neuf membres de ma famille choisi judicieusement par moi, avec en plus en annexe une copie de la carte que j'ai fais parvenir par courrier recommander à mon père une carte soulignant la fête des pères. Le jeudi 15 juin 1995, je suis à La tuque pour y rencontrer le cousin germain de mon père, l'abbé Claude Lacombe prêtre catholique. Je lui fait part de mes écritures de la veille car je veux percer le mystère.

L'abbé Claude Lacombe se souvenait, lui qui est beaucoup plus jeune que mon père d'avoir vu arriver chez lui en pleur, la mère de mon père. Ma grand-mère Lacombe était en ce temps là dans une dépression profonde car elle avait confié à la mère de Claude : «C'est pas drôle, tout le monde dans la ville nous appellent la Famille de fou à Lacombe.» Effectivement que cela ne devait pas être drôle de se faire considérer comme tel, parce que l'on a mis au monde une famille de 4 gars et 4 filles dont l'un et l'une sont suivi par la médecine psychiatrique dès leurs jeunes âges. Mon père dans tout cela, fut sûrement le plus doué de sa famille, alors sa mère se rabattait certainement le plus souvent sur mon père plus souvent qu'à son tour. D'où la projection du père envers son fils.

Ce soir là, l'
abbé Lacombe m'offre de commander tout ce que je voulais comme nourriture. Par la suite, j'ai dépanné plusieurs travailleurs de la compagnie IBM, qui venaient de l'état de New York en leurs trouvant un gîte pour la nuit en agissant comme interprète dans ce dépanneur gaz bar. Moi qui étais là pour demander un morceau de carton pour pouvoir m'en retourner. À la surprise générale, j'ai dû gracieusement coucher sur ce lit pliant dans cette salle de conférence gracieuseté du Motel Le Gîte. Le lendemain, je suis l'ambassadeur de ma province et de mon pays car je déjeune avec ces américains que j'amuse tout en les conscientisant à ma cause. Ce repos m'a permis de rencontrer un membre du personnel qui à malencontreusement perdu un membre de sa famille par suicide à cause des mêmes pressions que moi mais trop forte pour lui.

Le vendredi 16 juin 1995, dans cette itinérance clauchardesque je fais demi-tour mon regard étant attiré par un point rouge de la grosseur d'un dix sous. Je suis sûr que s'est une de ces voitures miniatures, celle-ci est enfoui sous ce gravier. Je suis à Saint-Georges de Champlain à 2 km. de la demeure de mon oncle Gilles Bourassa il est le premier à voir cette petite Porsche rouge. Mon oncle Gilles spontanément veut me faire visiter son érablière cette après-midi là. À Saint-Boniface nord, il réalise mon rêve du 17 avril 1995 conformément à ce que j'ai vécu. C'est alors que j'ai dis : «Oncle Gilles d'ici deux ans ma fondation achètera ton érablière

Le mardi 20 juin 1995
, je vie mon anniversaire de naissance seul dans la ville de Montréal. Je me rends au Service de police de la CUM, 750, rue Bonsecours, Montréal, H2Y 3C7 pour obtenir un certificat de police signé par l'agent #905 Edmond Babin. Par la suite ce sera à la Section de Transmission opérationnelle de la GRC/RCMP, 4225, rue Dorchester, Westmount, H3Z 1V5, par agent Roux Martin CVO862. Puis, j'envoyai un fax au Vice-président des ventes Mike Holland de Moog Canada Ltd ainsi qu'à mes amis du Restaurant La Falaise Saint-Michel. Vers 17:30, après avoir rencontré ma mère la veille, qui m'avait alors dit : «Ton père te pardonne pour la carte de fête des pères que tu lui à envoyé.» Je me rends chez mes parents pour le souper. Je suis fier de démontrer à ceux que j'aime mon cadeau d'anniversaire qui démontre que durant mon âge adulte je n'ai jamais été criminel dans mon pays.
Catastrophe ! Mon père perd le contrôle de son humeur et devant moi pose un geste d'ingratitude agressivement envers ma mère, dans le dos de sa femme. Je sort de cette maison, car j'ai peur de la violence de mon père, puis à la demande répété de ma pauvre mère je reviens dans la maison pour manger ce gâteau de fête commune. Ma mère ce soir là, m'a lavée tout mes vêtements et je suis parti dormir ailleurs.
Le 22 juin 1995, je poste une lettre à mon oncle Gilles Bourassa afin de lui confirmer l'intérêt de ma fondation de conserver son érablière comme patrimoine familiale.

Le 24 juin 1995, en cette nuit de la Saint-Jean-Baptiste, j'essaie de dormir dans un parc longeant la rivière Richelieu à Saint-Jean. Avez-vous déjà tenté de dormir avec ces moustiques ? Conclusion, je n'ai pas fermé l'œil de la nuit comme lors de mon hospitalisation au CHUS.

Du 25 juin au 9 juillet 1995, j'ai vécu à bord d'un bateau appartenant à mon ami Gordon Bruce, ce bateau étant en cale sèche pour rénovation à Saint-Paul-de-l'Île-Aux-Noix. Le 26 juin 1995, j'envoies un curriculum vitae à madame Sally Flood de Moog Automotive Ltd.

Le 17 juillet 1995, de 06:30 à 08:30, je suis au Dunkin Donuts du 5900 rue Sherbrooke est, Montréal. Je remets mon dernier 5 $ à 07:57, à la serveuse Nathalie pour son excellent service et convaincu que je serai bientôt engagé chez UAP/NAPA comme Représentant ou Directeur. Puis, je marche sur la rue Sherbrooke en direction de la rue Dickson, par intuition je change complètement de direction car la sortie de ces 4 femmes joyeuses m'intrigue. Je réalise qu'elles étaient vraiment attablées dans cette beignerie pour m'épier car à 08:10, je les ai vues pénétrées le 5810 rue Sherbrooke est, Montréal au Bureau du Commissaire Général du Travail en Santé Médicale pour le travail.

Je retourne donc au Dunkin Donuts pour partager ma découverte entre amis. Je me rends ensuite personnellement vers monsieur René Primeau pour vérifier s'il peut devenir vielle branche pour moi. À sa grande surprise, il me donne quelques bonbons ainsi qu'un numéro de téléphone bidon accompagné d'un 25 sous pour se débarrasser de moi en m'invitant à aller téléphoner publiquement un de ces confrère de travail. Je décide de traverser au courrier, pour y téléphoner sans frais, pourquoi à ton fait venir la police pour me sortir de cette édifice appartenant à UAP/NAPA. Par le comportement de monsieur René Primeau, je suis maintenant convaincu que lorsqu'il était Directeur des Ventes pour Les produits pétroliers Valvoline en 1989-90, il a pris une part active à cette conspiration dont monsieur Myer Bloom était à la tête pour me détruire.

Le 18 juillet 1995, je suis guidé par le système à me rendre dans l'hôpital de mon choix pour me faire soigner ses pieds de clochard. Je choisi de me rendre à celui ou je suis né soit le Centre Hospitalier de Verdun. Parce que le médecin de garde refusait de me traiter, moi qui avait 8 pansements par pied causé par ampoule sur ampoule sur ampoule + fongus (champignon) + pied d'athlète (voire athletic foot). Moi qui n'avais pas manger de la journée, il était environ 22:30, il refusait même de me nourrir. À ma demande la police de la CUM est venu, je croyais pour forcer ce médecin de garde à me guérir. Je réalisa bien vite que c'était plutôt pour me forcer à m'allonger sur un lit et y être attacher des chevilles et des poignets pendant 8 heures sans boire ni manger. En plus, on m'injecta une substance inconnu dans les cuisses en riant, et en implorant Dieu à venir sauver son fils.

Le 19 juillet 1995, de 07:00 à 07:30
, 2 ambulanciers d'Urgence Santé mon transporté à l'hôpital Ste-Mary's sur la rue Lacombe à Ville Mont-Royal. J'ai été dans cette dernière pendant 08:00 et on m'y a servi un repas à 13:30. Au fait, de la médecine moderne, j'ai donc été 24 heures sans manger. Espérait-on que je devienne atteint hypoglycémie afin de favoriser mon transfert dans cette hôpital Universitaire de Verdun baptisé Douglas Hospital. Quoiqu'il en soit, je tiens de source bien informé qu'un dossier historique me concernant serais déjà en filière dans ce lieu à nettoyer comme tout les autres. À partir du 19 juillet et jusqu'au 25 août 1995 au péril de ma vie je demeurerai chez mes parents, pour limité les risques je me barricade à l'intérieur, qu'en déplaise à mon père et ses amis les psychiatres. Le 22 juillet 1995, je me rends chez L/S A. Desautels Enr, 4141, boul. Lasalle, Verdun à 03:46 et 05:02, pour y acheter de la glace en cube pour me permettre de passer d'une état hyper thermique (min. 39 degré celcius) à une état d'hypothermie.

J'ai finalement dormi de 05:30 à 10:30, mon réveil fût brutal car le virus qu'on m'avait injecté en riant à l'hôpital de Verdun était très virulent s'attaquant précisément à ulcérer tout mon système digestif, entraînant un hémorragie interne très grave, mes fèces étaient d'un bleu foncé pour la première fois de ma vie. Après avoir téléphoné le centre antipoison qui ne pouvait rien faire pour moi, j'ai confié mon histoire abracadabrante à cette conseillère formée par monsieur Jean Marc Brunet des produits Le Naturiste JMB qui me recommanda devant mon état une bouteille de gel d'Aloès, des ampoules d'extrait de choux et de la chlorophylle. Coût 35 $, avec 5 jours de prières invoquées par moi, Dieu m'a finalement sauvé de ses monstres de la médecine.
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- 23 juillet 1995 Découverte d'un emploi au Mont-Orford

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- 24 juillet 1995 Perte de mon emploi par Daniel Lupien

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- 30 juillet 1995 Police CUM poste 22 chez mon père cause réceptionniste CKVL menteur (CRTC vaut pour lui menace de mort)

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- 30 juillet 1995, 14:45 Pèlerinage à la Polytechnique de Université de Montréal - imploration de ces Dames à me protéger pour m'aider

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- 31 juillet 1995 Début de sollicitation pour amasser des fonds pour ma Fondation en commençant par Jeunesse au Soleil

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- 8 août 1995 Je découvre de quelle façon le Maître de Poste Canada traite le courrier d'un clochard.

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- 12 août 1995 Récupération de mes écrits au Lac Bouchette

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- 16 août 1995 Arrestation par sécurité Garda de UQAM menotté durant 45 minutes - police CUM cause menteuse menace de mort

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- 25 août 1995, 01:00 Départ de Verdun à vélo pour 4444 km en direction de la Floride

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- 7 septembre 1995 1 000 km. entre 2 lieux historiques séparés par 2 km. à Saint-Germain de Kamouraska

 

Le dimanche 10 septembre 1995, à 19:00, j'arrive à l'aéroport de Natasquan, puis je suis accueilli par mon ami Sylvain Déraps. À 20:00, je suis au bar l'Horizon d'Aguanish appartenant à mon amie Pauline Déraps. Déjà à 22:30, un Montagnais de la Réserve de Pointe-Parent, monsieur David Ishpatao devant monsieur Pascal Mestokosho et deux Montagnais de la Réserve La Romaine ainsi que tout mes amis présents me remet un bracelet d'amitié. Devant ce geste inattendu et spontané de David, j'ai dû y aller de mon ingéniosité, j'ai pris alors 6 bâtonnets de bois qu'on se sert pour brasser le café, pour soutenir la glace, ou encore pour créer de notre inspiration. Il est maintenant écrit sur chacun : «L'HORIZON D'AGUANISH LE 10 SEPTEMBRE 1995 22:30» et «MERCI BRACELET D'AMITIÉ en plus de ma signature». J'en remet 4 aux Montagnais et colle les 2 autres près de la caisse sur le mur. Paul Lalo, Montagnais de la Romaine, me demande de coller le sien en dessous des miens ce qui forme un triangle pour représenter la tente. Voilà avec quel rapidité je me fais des amis car je tiens à être très sincère.
Je suis un des serviteurs de Jésus-Christ notre Sauveur qui me le rend très bien.
 
Le 11 septembre 1995, à 15:10, je rencontre le doyen du village d'Aguanish l'Honorable Edmond Déraps qui m'annonce qu'il fêtera ces 96 ans lundi le 18 septembre. Après l'avoir conscientisé à ma cause, je lui demande de bien vouloir m'amener du papier à écrire. Je fût agréablement surpris de le voir arriver avec une lettre qui demande «J'appuie l'action spéciale d'Amnistie Internationale pour que cesse l'usage de la torture en Turquie». À l'endos de cette lettre, j'écris alors dans le haut et à partir du milieu la même chose : «Aguanish le 11 septembre 1995, 15:10, À M. Edmond Déraps pour ces 96 ans du 18 septembre 1995. Longue vie dans cette région de richesses naturelles, à cet homme qui sera un jour centenaire. Signature du Président Fondateur & Contrôleur de la Serge Bourassa-Lacombe Fondation

Le 12 septembre 1995, à 11:35, je remet à mon amie Pauline Déraps une reproduction au laser de mon fétiche collier que j'ai moi même acheté en Floride au début de décembre 1991 et que je porte depuis ce temps. J'ai promis à mon amie que je lui remettrai celui-ci après avoir remonté jusqu'à l'artisan Séminole qui m'en fera alors un autre. Madame Pauline Déraps comme plusieurs de mes amis sait que : «C'est au fruit qu'on connaît l'arbre.» et réalise maintenant que je suis près d'une divine récolte, chose bien méritée compte tenu de ce travail laborieux. Vers 14:00, je me rends avec mon ami Sylvain Déraps à la Réserve Montagnaise de Pointe-Parent (Natasquan) pour y rencontrer David Ishpatao, afin de lui demander l'aide nécessaire pour voir mon chandail représentant l'idéologie de ma fondation brodé par les mains d'une Montagnaise. Or, j'apprends que sa mère madame Mariana Grégoire est brodeuse.

Je partirai donc de cette région magnifique avec une chevelure frisée, seul artifice chez moi, je tiens à remercier
madame Michèle Déraps pour ce geste humanitaire. Je vois au fur et à mesure que les journées passent qu'avec la Force de courage qui m'habite que ma fondation prendra beaucoup d'importance même si son Président-fondateur & contrôleur vie d'une façon clauchardesque depuis 142 jours. Les gens d'Aguanish m'auront permis de composer cette lettre dans un havre de paix enchanteresse, loin de tout : balourd, goujat, mufle, pignouf qui m'auraient empêché de travailler cette lettre de 100 heures en composition seulement.

Je tiens à remercier tout les gens; d'Aguanish, de Baie-Johan-Beetz, du Havre Saint-Pierre, de Natashquan et de la Réserve Montagnaise de Pointe-Parent. Je salue également les gens; d'Aylmer Sound, de Blanc-Sablon, de Brador, de Chevery, de Forteau, de Harington Harbour, de Kégaska, de La Romaine, de Lourdes-de-Blanc-Sablon, de Middle Bay, de Mutton Bay, de Rivière Saint-Paul, de La Tabatière, de Tête-à-la-Baleine, du Vieux-fort et je presse nos décideurs politiques non seulement de relier Havre-Saint-Pierre à Pointe-Parent mais de relier aussi Pointe-Parent à Middle Bay, afin de favoriser ce Comté de Duplessis trop longtemps dénigré par ces ancêtres décideurs. Qui plus est, j'ose espérer que la continuité de la 138 considéré par le Ministère des Transports comme étant une de nos routes principales, sera asphaltée à l'extrême pour le bien de tous.

Annexe 

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J'ai du quitter la ville de Rivière du loup le 12 octobre 1995, avant même d'être expulsé de cette ville, la Haute Direction du Collège de Rivière du loup ayant déposé une plainte officielle contre ma Fondation afin de protéger la Haute Direction du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke). Cette plainte officielle a été déposée au Directeur de police de Rivière du loup C'est pour cette raison que je n'ai pu écrire cette annexe au Québec, malgré le support technique de mes amis Peter Ritchie & Emmanuel Dubé, tous deux étudiants au Collège de Rivière du loup Qui plus est, un commerçant était même enclin à me fournir le papier et la logistique nécessaire afin que ma lettre soit produite en 57 exemplaires !

J'ai quitté ma province ce vendredi 13, à 23:59 je franchissais la frontière du Nouveau-Brunswick. En tant que président et contrôleur de la Serge Bourassa-Lacombe Fondation c'est à Sussex, Nouveau-Brunswick que ma lettre se terminera et qui plus est, que celle-ci se postera par courrier recommandé. Pardonnez-moi pour le clavier anglais et laissez-moi vous dire que mon pèlerinage à l'Ermitage Saint-Antoine de Padoue sera très bénéfique pour l'humanité car l'inspiration divine de Saint-Antoine m'aura permis de devenir Victor DeLamarre II. Plusieurs se rappellerons cet homme du Lac Saint-Jean doué d'une force surnaturelle qui en 1916, à force de bras et pouce par pouce, réussit à déplacer suffisamment ce bloc de granit d'au moins 9 091kg (20 000 livres) ou encore comme lorsqu'il s'affermit les pied de son mieux sur un rebord du rocher, prit dans ses bras la statue de Saint Michel Archange pesant au moins 591kg (1300 livres) et prestement la mit sur son piédestal tout près de la grotte Notre-Dame-de-Lourdes de cet Ermitage du Lac Bouchette.

Je ne veux pas dire prétentieusement devenir aussi fort que cet homme à l'occasion du 800e anniversaire de Saint-Antoine. Cependant si je continue à être traité comme tel, je ne pourrai plus le cacher à personne. Car voyez-vous le 13 février dernier sans que je sois agressif envers qui que ce soit, on a dérangé 2 policiers armés pour venir me contentionner dans un lit d'hôpital alors que le 18 juillet 1995 parce qu'un médecin ne voulait pas me guérir, ni me nourrir, on a dérangé plus de 10 policiers armés pour venir me contentionner dans un lit d'hôpital. Et permettez-moi de vous dire que plusieurs étaient des disciples de Satan car plusieurs ont dit : «Dieu vient sauvé ton fils !» puis un policier est venu près de moi pour me dire : «Demande-lui donc de venir te sauver maintenant !» Ce qui entraîna un rire généralisé. Je ne puis vous dire qui a parlé, ni qui a rit car j'étais dans une pièce adjacente. Cependant une équipe médicale ainsi qu'une équipe policière de la CUM étaient présentes à cette célébration.

Si je peux vous écrire, il va sans dire que je me suis comporté en Bon Prince sans résister, autrement on aurait sûrement fait un légume neurovégétatif comme ce chauffeur de taxi l'Honorable Richard Barnabé celui que plusieurs ont déjà oublié. Si jamais un jour, on en vient à faire un légume avec moi, j'espère que vous châtierez tous les monstres sataniques responsables.

Maintenant, je m'adresse à tous ceux qui auront reçu copie de cette lettre par voie directe ou indirecte, je vous demande de faire coalition afin que les choses changent. Je suis tanné d'entendre le monde dire : «Le bon paye toujours pour le méchant.» «Plus ça change plus c'est pareil !» «C'est utopique d'espérer une paix mondiale.» À tous ces désillusionistes qui chercheront par tous les moyens de contrer ce projet, je vous demande de me relire plus d'une fois car dans les écrits saints on parle du Paradis Terrestre. Qui plus est, toute personne qui osera s'en prendre malicieusement à mes écrits en osant prétendre que ce n'est pas le reflet de ma réalité de vie, veuillez considérer cette personne comme criminelle.

Monsieur le Ministre de l'éducation Jean Garon, je vous demande de congédier en même temps que le Directeur du Collège de Rivière du loup, le Directeur Jocelyn Vallée du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke) suite à l'entretien que j'ai eu avec lui, le mercredi 10 mai 1995 entre 10:10 et 10:34 devant Dieu et mon père. Je vous demande de faire le ménage nécessaire afin d'améliorer nettement la situation qui perdure depuis trop longtemps c'est-à-dire depuis la formation du département de Santé Animale dans votre institution. Le Directeur et moi n'avons sûrement pas les mêmes sources d'informations internes, d'autant plus qu'il a déclaré lui-même n'avoir jamais été mis au courant des événements entourant la création de ce Marc Lépine II à l'intérieur même de votre institution.

Devant l'insubordination envers vous-même et de cette conspiration envers moi. Tout d'abord, il est vrai que dans une situation inhabituelle on peut facilement glisser dans un état de panique. Et cela peut avoir un effet d'entraînement indésirable pour les autres. Pensons à tous ces étudiantes, tous ces étudiants de même que tous ce personnel de soutien et d'enseignant étant activement à l'œuvre. Je vous demande donc de procéder de la façon suivante, tout d'abord veuillez exiger la démission en bloc de ces conspirateurs soit : le Registraire monsieur René Richard, le Directeur de l'Enseignement monsieur Gérard Aufort, le chef de département de Santé Animale monsieur Michel Lockwell, les Professeurs et Superviseurs tergiversant odieusement plusieurs de leurs étudiants, même moi qui se révèle comme le justicier de cette oppressante histoire.

Pour ce qui est de mon professeur Patrick Metcalfe comme châtiment, vous lui assignerai des travaux compensatoires sans rémunération en lui faisant comprendre que sa qualité d'exécution le protégera peut-être de cette Épée de Damoclès. Ses travaux seront de reconstruire ce département de Santé Animale du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke) en plus de remplacer les professeurs démissionnaires afin d'assurer la réussite de tous ces élèves. Pour réussir son nouveau mandat, monsieur Patrick Metcalfe sera obligé de cesser son emploi de vétérinaire au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE) et de fermer sa clinique vétérinaire. Du moins, jusqu'à ce que ce département soit restructuré et obligatoirement jusqu'à l'automne 1996.

N'oubliez pas par-dessus tout, de congédier le psychologue monsieur Jean Soucy. Je m'assurerai qu'il soit radié à vie. De plus, vous devriez congédier ce professeur qui entraîne les étudiants en soins infirmiers dans le l'aile psychiatrique du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE). On me dit : que s'est le Maître d'Œuvre du concept 4B ! Si vous n'êtes pas en mesure d'identifier cet homme, je le ferai pour vous. Pensez-vous monsieur Garon que ces sanctions sont trop sévère, laissez-moi vous dire qu'autrefois on pendait haut et court tout tortionnaire. Je demande maintenant au technicien du département de Santé Animale monsieur Gilles Perron de veiller au grain et en référence à notre conversation téléphonique du 31 juillet 1995 à 17:10, je te demande de supporter le moral de cette troupe.

Pour revenir à vous monsieur Jean Garon, je suis sûr que vous effacerez ma dette comme étudiant #7534686, que vous travaillerez en coalition avec les intervenants du milieu et que vous trouverez le moyen de ramasser des fonds qui seront versés annuellement dans la Serge Bourassa-Lacombe Fondation in de protéger le monde de tout événement morbide.

Je demande au Dr Rémi Lair, vous qui êtes Responsable d'une équipe de 7 médecins du Syndic du Collège des Médecins, au 2170, boul. René-Lévesque Ouest, Montréal, H3H 2T8 tél.: (800) 773- 0111, j'exige la radiation à vie de la psychiatre madame Lynn Gaudreault, du psychiatre interne monsieur Marc Lefebvre, du psychiatre interne Mario Morency ainsi que plusieurs autres membres que j'aurai éventuellement à identifier ne possédant malheureusement pas leurs noms. Les personnes précédemment nommées sont tous à l'emploi du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE). Vous pourrez retracer facilement le médecin qui était de garde au Centre Hospitalier de Verdun le 18 juillet 1995 travaillant de 20:00 à 24:00, vous le châtierez de la même façon que les autres.

Les médecins qui seront à radier à vie de l'Hôpital Ste-Mary's de Montréal, ont travaillé le 19 juillet 1995 de 8:00 à 15:30. Il me restera publiquement à les identifiés ultérieurement. Évidemment vous n'aurez qu'à relire et faire relire plus d'une fois si nécessaire le contenu de cette lettre historique.

J'exige à titre de compensation pour dommage et intérêt suite à cette hospitalisation indésirable et intolérable, je vous invite à revoir le bilan de cette médecine en 13 points de la page 42 de cette lettre ainsi que cette soirée du 18 juillet et de cette nuit du 19 juillet 1995 au Centre Hospitalier de Verdun, sans oublié la journée du 19 juillet 1995 à l'hôpital Ste-Mary's. Il faut se rappeler qu'il y a eu vol d'un document électronique et physique de mon journal intime contenant : la dernière journée d'hospitalisation, mon retour au Collège du mois de mai 1995 ainsi que du fiasco de mes examens finaux car plusieurs professeurs ont glissés dans la bêtise humaine, ainsi qu'une partie de ma vie comme clochard.

Ce vol est très grave en soi car les responsables l'ont réalisé
dans le but de se protéger et de détruire mon innocence.

Comme votre Syndic a besoin de la Serge Bourassa-Lacombe Fondation pour veiller au grain en protégeant le monde de ses médecins méphistophélique en commençant par le domaine médicale psychiatrique. Heureusement que la majorité des membres de votre Corporation travaillent divinement. Pour toute les raisons invoquées dans cette lettre votre compensation sera de donner à la Serge Bourassa-Lacombe Fondation une automobile toute flambante neuve Porsche rouge 928 GTS à transmission manuelle 5 vitesses avec comme LOGO ce fétiche représentant la tête d'un ours peinturé artistiquement sur chacune des portières. Un patient se prénommant Carol se fera un plaisir de dessiner artistiquement de façon tridimensionnelle un être humain mi-homme/mi-femme contentionné dans un lit d'hôpital par ces fameux bracelets de cuir dont plusieurs de vos membres ont utilisés pour créer de toute pièce plusieurs dossier médicale d'une violence utopique. Cette œuvre d'art devra être signé de la main de son nom d'artiste «Morve» reproduite obliquement et de grandeur optimale sur le capot de cette Porsche.

Étant donné monsieur Lair que cette voiture de fonction deviendra l'automobile de fonction du Président-fondateur & contrôleur dont le mandat sera de surveiller le domaine médicale dans son entier en commençant par le côté psychiatrique de ce domaine afin d'enrayer; tout abus de pouvoir quel qu'il soit, d'empêcher la création de la maladie dans le milieu, de faire sur que le patient quel qu'il soit et où qu'il soit ne soit pas maltraité et encore moins torturé que ce soit physiquement et/ou psychologiquement.

Dr Rémi Lair dois-je vous rappeler que nous vivons l'air des coupures de toute part pour le bien de tous. Nos politiciens ne cesseront de le répéter, alors vous et moi allons travailler en étroite collaboration et prêcherons par l'exemple. Rendons à César ce qui appartient à César, tout être humain a le droit de recouvrer la santé. Je suis sûr qu'à nous deux nous arriverons à guider tous les intervenants du milieu dans cette nouvelle réforme de la Santé.

Quand est-ce que le Gouvernement va cesser de nous laver le cerveau
avec notre Assurance Maladie ?

Il serait temps de conditionner notre cerveau d'Assurance Santé, nous Francophone avons un grand rattrapage à faire car on a été visser plus d'une fois. Tandis que les Anglophones ainsi que les gens qui sont bilingues ont compris : «You can screw me once, but not twice.» («Tu peux abuser de moi une fois, mais pas deux») Dans cette voiture, vous devrai m'y installer : une ligne téléphonique (800) et tout la logistique pour que je sois relié en permanence avec la Police (voire Police Pack) comme les auto patrouilles actuelles. Afin de sauver des vies, un branchement ordiné complet sur les Réseaux Internet & Fichier judiciaire national du Canada sera de plus nécessaire. Qui plus est, par la présente je demande avec vous l'autorisation du CRTC d'être retransmit directement au médias avec l'aide d'une camera encastrée à l'intérieur de ma voiture afin être toujours épié en particulier par ses gens œuvrant dans le domaine de l'étude mentale car je serai un Prédicateur pour eux dans le cadre de mes nouvelles fonctions.

Il est évident que c'est un concept très avant-gardiste, concept qui doit être breveté et protéger car embryonné au Québec dans le Canada. Ma fondation fera le tour du monde, parce que la société m'a traité plus durement que monsieur Marc Lépine cet homme qui vivait renfermé sur lui-même et qui détestait les femmes au point d'en tuer 14 avant de se suicider le 6 décembre 1989.

Au nom de toutes ces femmes et toutes ces familles éplorées
qui ont perdu une sœur, une fille, une petite fille de même qu'une futur bru. 
Au nom de tout ces hommes qui y ont perdu leur futur épouse, et au nom de notre société.

Lorsque j'ai vécu comme Marc Lépine II à l'intérieur du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE) je me disais que si je réussis à accepter toute cette torture sans perdre le contrôle de mon humeur je pourrai faire le tour du monde de mon vivant avec une Fondation qui portera mon nom étant donné que Marc Lépine l'a fait après s'être suicider. Au moins, la mère de Marc réalisera que la mort de son fils aura servi à faire avancer positivement l'humanité.

Rappelez-vous que la
Serge Bourassa-Lacombe Fondation
protégera toute l'humanité de futur événement comme :
Marc Lépine, Valérie L. Fabriquant, Caporal Lortie, Richard Barnabé, Raymond Malenfant...
Car selon moi tous ces gens ont vécu une injustice sociopolitique au courant de leur vie !

Car un humain qui est bien encadré ne perdra jamais la face comme cela. Elle protégera aussi tous ces psychopathes avec un potentiel de dangerosité pour eux ou pour la société ainsi que tous ces futur génies que la société considère comme fou de par leur marginalité ne sachant pas trop quoi faire avec eux, la fin justifiant les moyens, on les rend encore plus marginaux en les traitant comme étant atteint de délires mystiques de toutes sortes. Et lorsque ces gens sont trop dérangeant on les traite de Gourou à la tête d'une nouvelle secte religieuse pour s'en débarrasser.

Je serai la tête dirigeante de cette FONDATION jusqu'à ma mort car je suis maintenant un homme de paix publique incorruptible. Je suis convaincu Dr Rémi Lair que vous serez tout comme moi, aussi convaincant à votre tour, afin de rendre l'information à tous vos membres. Vous jugerez tous ensemble du montant forfaitaire que vous verserai dans ma FONDATION pour qu'elle soit viable et enviable pour le bien de tous. Ce montant d'argent sera révélé publiquement par formalité devant Dieu et les humains. J'oubliais, dans le bas de la lunette arrière, ainsi que sur le toit de même que sur les portières de cette Porsche on devra être en mesure d'y lire le nom de ma FONDATION.

Veuillez prendre conscience que je ne prendrai aucun salaire dans le cadre de mes fonctions. Ma Fondation verra à bien me nourrir et bien me loger, je ne vivrai plus cette vie clauchardesque la journée que ma voiture sera prête.

Avertissement important pour vous tous ne me demandez jamais de vous poursuivre afin d'obtenir la mise sur roue de cette fondation, car ce procès passera à l'histoire, devenant plus coûteux que celui de Monsieur O.J. Simpson aux États-Unis. Ce qui veut dire que je ferais le nécessaire pour qu'il devienne enregistré dans le livre des Records Guinness. De plus, toute l'humanité y perdrait au change, incluant votre Corporation, vous y perdriez même la face. N'oubliez pas que le temps que vous prendrez pour répondre à ma demande, sera du temps pour moi que je prendrai à rouler mon vélo afin de conscientiser plus de gens encore. Prolongeant même ma vie clauchardesque. Vous avez donc intérêt à agir rapidement, ceci n'est aucunement une menace de mort. Car je me suis rendu compte qu'il est très facile de s'en prendre à un clochard solitaire et l'accuser de choses qu'il n'a jamais dites pour s'en débarrasser.

Je demande au Ministre de la Sécurité Publique monsieur Serge Ménard de mettre sous évaluation toute les personnes qui devront quitter leurs emploies des suites de cette lettre historique ainsi que leur famille immédiate. Car toute perte d'emploi peut entraîner une profonde glissade dans une dépression surtout lorsque qu'on se sait coupable d'abus de pouvoir et de conspiration. La Sécurité du publique étant menacé car il y aura un potentiel de dangerosité hors de tout doute pour ces personnes et leurs environnements immédiats. Ces personnes devront toutes être mises en garde surveillée, tandis que d'autres devront être mises en cure fermée le temps de s'assurer que tout potentiel de dangerosité pour ces personnes ou pour les autres ce soit dissipé.

De toute urgence, on devrait mettre en prison monsieur Yvan Denis professeur au Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke) ainsi que madame Gaétane Gagné agente de voyage pour l'agence Va Go de Sherbrooke, ces deux personnes sont capables de Magie Noire i.e. capable d'influencer à distance d'autres personnes à mauvais escients, dans ce cas-ci se sont les personnes les plus responsables, par contre elles n'excusent pas les autres. Qui plus est, je demande à être assermenté devant Dieu et les humains, comme le serait tout homme publique dans le cadre de ses nouvelles fonctions.

Je suis un homme de paix publique incorruptible maintenant
et je saurai aider l'humanité à déceler et enrayer cette corruption.

En tant que Président-fondateur & contrôleur de cette nouvelle Fondation, je travaillerai à redresser tout abuseur de pouvoir afin de protéger l'injusticier de la société et la société de l'injusticier. C'est ce que Jésus-Christ notre Sauveur me demande de faire, en tant qu'un de ses serviteurs. La justice terrestre ne fait-elle pas encore référence aux saintes écritures, alors aidez-moi à bien servir Dieu notre Créateur. Comme vous le savez vous-même plusieurs choses restent à changer pour le bien de toute l'humanité.

Tout doit partir du Québec, travaillons maintenant ensemble
et démontrons qu'il est possible de renforcer cette Sécurité Publique.

Tout d'abord, en 1980 j'étais confondu avec un autre individu, (voire p.11). Et le 11 février 1995 au poste de police de Sherbrooke, j'ai été mis en arrestation illégal voir p.25 de cette lettre. Ensuite, ce fut le 13 février 1995 dans l'aile psychiatrique 4B du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE) lorsque deux policiers ont utilise une force mentale excessive à mon endroit (voire p.30). Puis ce fut, le 18 juillet 1995 au Centre Hospitalier de Verdun (voire p.54). Puis le 30 juillet 1995, 2 policiers de la CUM viennent m'intimider chez mon père (voire p.55). Et encore le 16 août 1995 à l'UQAM 2 policiers me libéreront de cette arrestations n'ont mérité sans me donner une copie du rapport d'événement (voire p.55). Pour finalement être arrêter par la Sûreté du Québec poste de Trois-Pistoles le 10 octobre 1995 et être contraint à enlever mon chandail car un homme ayant le même nom de famille et le même prénom que le mien avec la même date de naissance et la même âge que moi, la seule différence lui tatoué sur les bras moi pas. Il est criminel et moi pas.

Le 12 octobre 1995, je me rends au poste de police de Rivière du loup pour y dormir en cellule n'ayant d'autre place ou aller. On m'avise que je serai libéré à 07:00 le matin, je le suis à 7:30 car on me dit que le Directeur veut me parler. Intimidation directe et arrestation illégal. Bien sur, je ne peux vous fournir dans le cas d'abus de pouvoir policier le nom de ces membres de la Force de l'ordre, mais en temps opportun je saurai les identifier. Comme vous voyez beaucoup de chose reste à vérifier et à changer en commençant par mon dossier et en terminant par celui d'autrui afin de s'assurer que le criminel écope à la place de celui qui ne l'est pas.

On devrait aussi rendre accessible l'adresse de tout fraudeur quel qu'il soit, (voire p.13 & 14). Finalement afin que cesse toute violence tant mentale que physique, j'inviterai moi-même mon père à prendre place dans une cellule comme prévenu à la prison de Parthenais pour 57 jours devant Dieu et les humains. Je m'adresse maintenant au Secrétaire général Jean Paul Sabourin du CRTC, vous devrai travailler en coalition avec le Ministre de la Sécurité Publique afin de rendre la Liberté de Presse à tous ces humains, car plus d'une fois on m'a accusé faussement de profanateur de menace de mort parce que je menaçait de porter plainte auprès de votre organisme.

Je demande au Responsable du Syndic de l'ordre des Psychologues du Québec monsieur Michel Yvon de radié à vie monsieur Jean Soucy psychologue au Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke). À la Responsable de l'ordre des Infirmiers et Infirmières du Québec madame Danielle Poulin je demande que soient congédiés plusieurs de ses membres que j'aurai éventuellement à identifier n'ayant pas leur nom en mémoire. Il est certains cependant que monsieur Germain Labrie devrait commencer à se trouver un autre travail car c'était lui le plus psychopathe au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE).

En ce 50ième anniversaire de l'Organisation des Nations Unies, je demande au Lieutenant Colonel Antoine Fasching de faire les pressions nécessaires auprès de son organisation afin que la Serge Bourassa-Lacombe Fondation soit reconnu également mondialement car mon idéologie est d'atteindre cette paix mondiale et universelle pour le bien du riche autant que celui du pauvre. Le temps est venu pour qu'on commence à se conscientiser au partage de nos richesses naturelles selon les saintes écritures suivant la parole de Dieu, Jésus-Christ notre Sauveur.

Il est vrai qu'il y a bien d'autre Abdulhah Salman à secourir de la torture en Turquie, Je demande maintenant à la Présidente d'Amnistie Internationale madame Sonia Trépanier de faire des pressions internationales pour que ma fondation face le tour du monde.

À vous deux, vous réussirez sûrement en travaillant en coalition avec le Protecteur du Citoyen monsieur Daniel Jacoby et tous les intervenants que ça intéresse de voir à renforcer notre CHARTES CANADIENNES DES DROITS ET LIBERTÉS DE LA PERSONNE (voire HUMAN RIGHTS). Il faut voir à faire quelque chose pour empêcher le non respect de cette charte car à plusieurs reprises cette année, j'ai failli mourir en mentionnant que cette charte n'était pas respecter.

Vous la Ministre déléguée à l'administration et à la Fonction Publique madame Pauline Marois aussi en charge de la Commission Administrative des Régimes de Retraites et d'Assurances, je vous demande de saisir et de verser in trust la Serge Bourassa-Lacombe Fondation tous les fonds de pensions et/ou de retraites que ses abuseurs de pouvoirs ne sont pas en droit de toucher car ils ont tous lourdement failli à la tâche de façon hautement criminelle. Cela vaudra mieux pour eux que d'aller en prison. Vous pouvez toujours avoir recours au Ministre de la Sécurité Publique afin de vous rendre la tâche plus facile. Est-il utile de rappeler qu'en tant que président et contrôleur je ne me prendrai aucun salaire afin de donner l'exemple pour ceux qui en obtienne encore deux. Tout argent versé à ma fondation servira à protéger l'humanité uniquement.

Je m'adresse maintenant au Gouverneur Général du Canada, le Très Honorable son Excellence Roméo Leblanc ainsi qu'au Président du Sénat du Canada Honorable Molgat Gildas de même que notre Solliciteur Général du Canada Honorable Herbert Gray, étant donné que tout les Premiers Ministres sont encore entrain de se battre ou de se défendre pour un Oui ou un Non pendant que plusieurs crèvent de faim dans notre pays.

Je vous demande de voir à ce que le travail que je demande soit fait sans plus tarder. D'ailleurs le Cardinal Jean Claude Turcotte représente Dieu au Canada, plusieurs ont oubliés ses commandements. Oui ! Et ça devient possible et urgent la Serge Bourassa Lacombe Fondation.

Vous Cardinal Jean-Claude Turcotte, en tout temps, en tout lieu et en toute circonstance j'irai vous rendre visite à votre demande dans le cadre de mes nouvelles fonctions car je suis devenu un homme de paix publique et incorruptible. D'ailleurs aucun règlement en dessous de la table pour moi car seulement Dieu, le régleur et moi le saurions. Je tiens à ce que ma reconnaissance devienne publique devant Dieu et les humains. En passant laisse moi te dire que l'abbé Hubert de Palma n'est pas un faux prêtre, il est comme moi un des vrais serviteurs Jésus-Christ notre Sauveur.

En 1963, ma grand-mère m'apprenait à la tutoyer car en ce temps là on commençait à tutoyer Dieu.

Cela fait cinq ans déjà que je m'adresse à ce Saint-Antoine de Padoue, saint voué aux objets ou causes perdues, car en 1990 j'ai perdu la réputation enviable que j'avais bâtie à Force de Courage & de bouche à oreille.

Maintenant je suis devenu Victor DELAMARRE
II,
grâce au 800ième anniversaire de Saint-Antoine de Padoue !
Étonnant qu'il en soit ainsi n'est-ce pas Père Supérieur Capucin Marcel Provost !
 
P.S. Qui a dit que les bons payeront toujours pour les méchants, moi je roule et roulerai mon vélo en direction de la Floride. Si on désire me voir revenir, on a juste à m'en avertir par les médias, mes amis de la Floride eux m'attendent.
 

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Serge Bourassa-Lacombe à Sussex 27 octobre 1995
103, rue Oxford Crescent #105
Lennoxville (Québec)

C.C. Personnes ne m'ayant jamais vues.

Brouillette Yves, Président Groupe Commerce & Bureau d'Assurance du Canada, Sainte-Hyacinthe

Brunet Jean-Marc & Weider Ben, l'un docteur & l'autre véritable Napoléon, Boucherville & Montréal

Diano Esa, Présidente ATSAQ, Montréal

Douville Jean, Président UAP/NAPA, Montréal

Garon Jean, Ministre de l'Éducation du Québec, Québec

Gastonguay Claude, Directeur Service aux Étudiants du Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke)

Gildas Molgat, Président du sénat du Canada, Ottawa

Gray Herbert, Solliciteur Général du Canada, Honorable, Ottawa

Hivon Michel, Responsable de l'ordre des Psychologues du Québec, Ville Mont-Royal

Jacoby Daniel, Protecteur du Citoyen, Sainte-Foy

Lair Rémi, Responsable du Syndic du Collège des Médecins du Québec, Montréal

Leblanc Roméo, Gouverneur Général du canada, Très Honorable son Excellence, Ottawa

Marleau Diane, Ministre de la Santé du Canada, Ottawa

MAROIS PAULINE, Ministre Déléguée a l'administration et a la Fonction Publique & Commission Administrative des Régimes de Retraites et d'Assurances, Québec

Ménard Serge, Ministre de la Sécurité Publique, Québec

Mongrain Jean-Luc & son Équipe, Desarnaqueurs Journalistiques, Montréal

Poulin Danielle, Responsable du Syndic de l'ordre des Infirmiers et des Infirmières du Québec, Montréal

Reinhardt Annick, Avocate pour la Commission d'Accès à l'Information, Montréal

Sabourin Jean-Paul, Secrétaire Général au CRTC, Québec

Simoneau Normand, Directeur du Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE), Sherbrooke

Trépanier Sonia, Présidente d'Amnistie Internationale, Montréal

Turcotte Jean-Claude, Cardinal du Canada, Montréal

 

C.C. Personnes m'ayant déjà vues en personne.

 

Bergeron Jacques, Agent Spécial pour le Service Anti Crime des Assureurs, Sainte-Hyacinthe

Bergeron Pauline, Ex patiente au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS/CUSE) dont j'ai sauvé la vie dans cet Enfer, Wotton

Bouchard Roméo, Écrivain, Journaliste & Créateur de cette page historique, Saint-Germain de Kamouraska

Briand Raymond, Gérant de Territoire Moog Canada, Brossard

Bruce Gordon, Peintre & débosseleur, Montréal

Caron Sophie & Panneton Carole, Prodef Estrie, Sherbrooke

Champagne France, Représentante de l'Estrie pour ATSAQ, Fleurimont

De Palma Hubert, Abbé & Non Faux Prêtre au Service des Humains, North Fort Myers

Denis André, Directeur aux Services Courants pour la Caisse Populaire Sherbrooke Est

Déraps Edmond, Doyen de la Municipalité d'Aguanish

Déraps Pauline & Sylvain, L'Horizon d'Aguanish

Di Filippo Dominic, Joe & Tony, Commerçant, Saint-Léonard

Fasching Antoine, Lieutenant Colonel Association Canadienne pour l'Organisation des Nations-Unies, Montréal

Gauthier Claude, Ex gérant du Restaurant le Quick de la Plaza Alexi-Nihon, Montréal

Gauthier Micheline, Propriétaire de la Friperie Mex, Granby

Grenier Gaétan, Avocat, Sherbrooke

Halle Carmel & Dubois Liette, lui Écrivain dans l'Ombre pour l'Instant, elle Femme de Tête, Sherbrooke

Igual Michel, Lagniel Joel & Patrick, Propriétaires du Restaurant La Falaise Saint-Michel, Sherbrooke

Ishpatao David & mes Frères & Sœurs de la Réserve Montagnaise, Pointe-Parent/Natasquan

Jalbert Guy, Propriétaire du Centre d'Estimation de Sherbrooke

Lacombe Jean-François, Cousin Germain, Technicien Dentaire & Denturologiste, Verdun

Lacombe Renald, Père & Retraite, Verdun

Lanctôt Guylaine, Médecin & Écrivain de la Mafia Médicale, Coaticook

Lamoureux Geneviève & Nemirovsky Brigitte, Témoins Oculaires, Sherbrooke

Laurent José, Infirmière & Seconde Mère, Ocala, Floride

Lavoie Jocelyn, Propriétaire d'une station service Certiguard, Montréal

Lelievre Francine, Directrice du Musée d'Archéologie et d'Histoire Pointe-à-Calière, Montréal

Noël Richard, Maire de la Municipalité d'Aguanish

Nutbrown Éric, Concierge d'une École Secondaire & d'une Église, Lifesaver grâce à son hospitalité, Lennoxville

Michaud Lyne, Directrice Service Personnel Manpower, Sherbrooke

Péloquin Laurent, Président de la Grande Randonnée Cycliste de l'Estrie, Sherbrooke

Perron Gilles, Technicien en Santé Animale pour le Collège de Sherbrooke (maintenant CÉGEP de Sherbrooke), Windsor

Prévost Serge, Vérificateur Comptable, Montréal

Provost Marcel, Père Supérieur Capucin & Écrivain, Lac Bouchette

Riendeau Pascal, Président de la SETSAS, Sherbrooke

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