NATURE DE LA PLAINTE
Résumez l'incident et expliquez vos reproches.
Si vous reprochez aux policiers(ères) ou constables spéciaux des
propos injurieux, obscènes, blasphématoires, discriminatoires ou
irrespectueux, veuillez s.v.p. rapporter les mots employés aussi
exactement que possible.
Le 21 mars 1997, je me rends sur la colline
parlementaire pour assister au débat sur la loi #104, Loi sur la réduction
des coûts dans la fonction publique de 10:45 à 11:50. Lors de mon
départ l'agent Hervé Fortier désire s'entretenir avec moi dans
son bureau. J'accepte son invitation, il me présente son confrère
l'enquêteur Jacques Quinn. Ensuite, je rencontre un constable spécial
M. Perreault qui s'occupe de la sécurité au parlement, le tout a
duré 3 heures. On me questionne sur une base volontaire car on
m'indique à plusieurs reprises que je ne suis pas sur le coup d'une
arrestation. Vers 13:00, on m'amène à ma demande de la nourriture
(biscuit, chips, coke) le but de mon entretien avec eux est de
construire.
Lors de mon entretien avec eux, je leurs
explique le but de Serge Bourassa-Lacombe Fondation soit
d'enrayer la torture physique et/ou mentale dans le domaine médical
en plus de convaincre la bonne police d'enrayer la mauvaise, la
bonne éducation d'enrayer la mauvaise, et la bonne médecine
d'enrayer la mauvaise afin justement de diminuer les coûts dans la
fonction publique afin de construire un pays meilleur que ce soit un
pays canadien ou québécois tout en respectant la démocratie ainsi
que la Charte québécoise et canadienne des droits de la personne.
Ces enquêteurs connaissent aussi mes croyances chrétiennes, ma
condition sociale et la raison de cette marginalité. Qui plus est,
je leurs parle de ce partage à la maison Aleesen inc., maison
d'entraide pour toxicomane et/ou alcoolique 96, rue St-Jean, C.P.
179, East Angus (Québec) J0B 1R0 Marcel Ricard, dg (819) 832-4529
fax (819) 832-3638, du 12 mars 1997 16:15 au 13 mars 1997 09:00
devant 35 hommes, je me donne à eux, je rends un témoignage qui
est mien et dont le but est de décliner la criminalité, la récidive
criminelle ainsi que le taux de suicide sans oublier la toxicomanie
et l'alcoolisme afin de construire un pays meilleur.
Je les conscientise au besoin de prévenir
d'autres carnages comme celui causé dans la vieille capitale par
Pierre Lecompte ce commerçant de 55 ans qui a perdu le contrôle de
son camion. Je les informe aussi de ma présence à cette conférence
sur le progrès dans le traitement de la schizophrénie par le Dr
Pierre Vincent. Je quitte donc le parlement à 14:50 la conscience
parfaitement tranquille.
Prêt à partir reconstruire une famille détruite,
alors le 21, 22, 23, je parcours une partie de la Mauricie(cousins,
cousines, oncles et tantes) sont visités, but ultime reconstituer
cette famille perdue, pour finalement partager avec mon père et ma
mère. Pourquoi suis-je obliger d'apprendre de la bouche de mon père
devant ma pauvre mère qu'un agent de la Sûreté du Québec en
poste au parlement l'avait appelé pour lui demander au téléphone
s'il me savait malade mental depuis 2 ans ? Dans quel but l'a-t-on
fait ? Pour quelle raison abuse-t-on de moi de cette manière ? Le
temps consommé à rédiger cette plainte a pour but d'obtenir des
excuses publiques ainsi qu'un montant forfaitaire devrait être versé
«in trust» Serge Bourassa-Lacombe's Fondation pour rapprocher la
bonne police vers le bon citoyen afin d'enrayer la mauvaise.