Plainte déposée en Déontologie Policière contre la Sécurité de l'Assemblée Nationale le 05/04/97 16 h 55 !

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Commissaire
à la déontologie
policière
1200, Route de l'Église, RC.20
Sainte-Foy (Québec) G1V 4Y9
Téléphone : (418) 643-7897
Télécopieur : (418) 528-9473
Plainte
 
PLAIGNANT(E) Note: La loi prévoit que toute plainte doit être formulée par écrit.
NOM: Bourassa-Lacombe PRÉNOM: Serge Joseph Adrien DATE DE NAISSANCE: 20 juin 1957 09:12
ADRESSE: 103, Rue Oxford-Crescent #105, Lennoxville (Québec) Canada J1M 2G3
Téléphone (rés.) (819) 566-4951
 
Je désire me plaindre de la conduite des policiers(ères) ou constables spéciaux suivants:
NOM: Fortier Hervé et Quinn Jacques
NOM DU CORPS POLICIER CONCERNÉ Sûreté du Québec POSTE: ?
 
DATE DE L'INCIDENT À L'ORIGINE DE LA PLAINTE: 1997 03 21
Généralement, le délai pour déposer d'une plainte est de deux ans à compter de la faute reprochée.
 
LIEU DE L'INCIDENT (Municipalité, route...)
Parlement du Québec
NATURE DE LA PLAINTE
Résumez l'incident et expliquez vos reproches. Si vous reprochez aux policiers(ères) ou constables spéciaux des propos injurieux, obscènes, blasphématoires, discriminatoires ou irrespectueux, veuillez s.v.p. rapporter les mots employés aussi exactement que possible.
 
Le 21 mars 1997, je me rends sur la colline parlementaire pour assister au débat sur la loi #104, Loi sur la réduction des coûts dans la fonction publique de 10:45 à 11:50. Lors de mon départ l'agent Hervé Fortier désire s'entretenir avec moi dans son bureau. J'accepte son invitation, il me présente son confrère l'enquêteur Jacques Quinn. Ensuite, je rencontre un constable spécial M. Perreault qui s'occupe de la sécurité au parlement, le tout a duré 3 heures. On me questionne sur une base volontaire car on m'indique à plusieurs reprises que je ne suis pas sur le coup d'une arrestation. Vers 13:00, on m'amène à ma demande de la nourriture (biscuit, chips, coke) le but de mon entretien avec eux est de construire.
 
Lors de mon entretien avec eux, je leurs explique le but de Serge Bourassa-Lacombe Fondation soit d'enrayer la torture physique et/ou mentale dans le domaine médical en plus de convaincre la bonne police d'enrayer la mauvaise, la bonne éducation d'enrayer la mauvaise, et la bonne médecine d'enrayer la mauvaise afin justement de diminuer les coûts dans la fonction publique afin de construire un pays meilleur que ce soit un pays canadien ou québécois tout en respectant la démocratie ainsi que la Charte québécoise et canadienne des droits de la personne. Ces enquêteurs connaissent aussi mes croyances chrétiennes, ma condition sociale et la raison de cette marginalité. Qui plus est, je leurs parle de ce partage à la maison Aleesen inc., maison d'entraide pour toxicomane et/ou alcoolique 96, rue St-Jean, C.P. 179, East Angus (Québec) J0B 1R0 Marcel Ricard, dg (819) 832-4529 fax (819) 832-3638, du 12 mars 1997 16:15 au 13 mars 1997 09:00 devant 35 hommes, je me donne à eux, je rends un témoignage qui est mien et dont le but est de décliner la criminalité, la récidive criminelle ainsi que le taux de suicide sans oublier la toxicomanie et l'alcoolisme afin de construire un pays meilleur.
 
Je les conscientise au besoin de prévenir d'autres carnages comme celui causé dans la vieille capitale par Pierre Lecompte ce commerçant de 55 ans qui a perdu le contrôle de son camion. Je les informe aussi de ma présence à cette conférence sur le progrès dans le traitement de la schizophrénie par le Dr Pierre Vincent. Je quitte donc le parlement à 14:50 la conscience parfaitement tranquille.
 
Prêt à partir reconstruire une famille détruite, alors le 21, 22, 23, je parcours une partie de la Mauricie(cousins, cousines, oncles et tantes) sont visités, but ultime reconstituer cette famille perdue, pour finalement partager avec mon père et ma mère. Pourquoi suis-je obliger d'apprendre de la bouche de mon père devant ma pauvre mère qu'un agent de la Sûreté du Québec en poste au parlement l'avait appelé pour lui demander au téléphone s'il me savait malade mental depuis 2 ans ? Dans quel but l'a-t-on fait ? Pour quelle raison abuse-t-on de moi de cette manière ? Le temps consommé à rédiger cette plainte a pour but d'obtenir des excuses publiques ainsi qu'un montant forfaitaire devrait être versé «in trust» Serge Bourassa-Lacombe's Fondation pour rapprocher la bonne police vers le bon citoyen afin d'enrayer la mauvaise.
 
TÉMOINS CIVILS ET POLICIERS
NOM : Perreault PRÉNOM : ? Téléphone : ?
 
SIGNÉ LE 05 AVRIL 1997 16:55 À Sherbrooke Serge Bourassa-Lacombe
Victor DeLamarre II & Martin Luther King Jr Le Blanc
Tout Était Parfait Avec Le Noir

P.S. À l'aube de l'an 2000, pensons à construire un pays meilleur, moi j'écris car plusieurs comprirent que la plume est plus forte que l'épée.  

Voilà toutes leurs procédures pour ce dossier 970264 !
 
Rejet de Plainte en Déontologie Policière contre la Sécurité de l'Assemblée Nationale le 22/04/97 970264 ?
 
Traitement d'une Révision de Plainte en Déontologie Policière le 26/05/97 pour celle déposée le 24/04/97 !
 
Demande de Révision en Déontologie Policière contre Sécurité Assemblée Nationale le 06/05/97 !
 
Accusé de réception de la Déontologie Policière le 13/05/97 pour une lettre du 06/05/97 !
 
Rejet d'une Demande de Révision Déontologie Policière contre Sécurité Assemblée Nationale le 29/07/97 970264