Il va sans dire que le contenu d'un dossier médical
doit être tenu d'une manière strictement
confidentielle : c'est-à-dire qui se veut sous le
sceau du secret professionnel afin d'éviter tout
préjudice au patient à cause de son état de santé.
Cependant lorsqu'une équipe médicale conserve caché
et rend inaccessible l'état de santé du patient
pendant plus de 34 mois, parce que le contenu de ce
dossier était controuvé, c'est-à-dire inventée de
toute pièce, afin de faire de l'argent au dépend
d'une société qui dépense, de plus en plus, en soin
de santé.
Ce dossier médical doit alors obligatoirement perdre
sa teneur confidentiel. C'est pour cette raison
qu'aujourd'hui, je prends la décision devant DIEU et
devant les hommes de rendre publique le contenu
intégral de mon dossier médical «CHUS 398068» afin
de venir en aide à tous ceux qui souffrent de
maladies mentales légales et/ou illégales. De plus,
je tiens que la divulgation de ce dossier qui est le
mien soit en hommage à tous ceux qui sont mort d'une
dose létale de drogues légales.
Ce dossier médical a été créé à l'insu de son
patient par une équipe médicale «Sans FOI ni LOI»
qui c'est évertuer à l'époque à travailler derrière
le mur de la honte du CHUS pour se protéger d'un
OPPROBRE SANS PRÉCÉDENT.
Permet-on les maladies mentales pour promouvoir les
produits des compagnies pharmaceutiques ? Ont-ils
besoin de créer des maux imaginaires pour
rentabiliser leur profession ? Qui se ressemble
s'assemble, le besoin de faire de l'argent pourrait
corrompre bien des gens, quitte à promouvoir les
maladies mentales. Demandez-vous à qui cela pourra
profiter le plus.
On dépense en centres de désintoxication, pour les
consommateurs de drogues illégales. Où est le juste
milieu. On canalise des stéréotypes mentaux grâce
aux drogues légales. La diversité d'esprit n'est pas
permise. La liberté et le droit de la personne en
pilule. La réflexion s'impose ne pensez-vous pas?
Après avoir été libéré des mains de ces
tortionnaires par la MAIN de DIEU. DIEU a permis que
je devienne persécuté par un «Système Médical»
(voire Mafia Médicale) des plus protéger pour ne pas
se faire prendre dans le péché ou si vous le voulez
détruire un esprit libre. Il fallait à tout pris que
je sois confirmé «maniaco-dépressif, paranoïaque,
schizophrène, narcissique, atteint d'un délire
mystique et religieux avec un potentiel de
dangerosité de tueur en série».
Je n'aurais jamais cru que croire et aimer Dieu
puisse être digne de tel traitement d'injustice.
Le 18 juillet 1995, ce «Système Médical» a réussi
avec l'aide de plus de huit policiers armés à me
contentionner dans un lit au Centre Hospitalier de
Verdun. Leur intention étant de me faire disparaître
d'une cause naturelle en utilisant une «méga dose
d’antibiotique dans le but de provoquer une
hémorragie interne». Évidemment à l'insu de l'équipe
policière.
Ensuite après m'être exilé au États-Unis pendant 388
jours afin de me refaire une réputation, je suis
revenu au pays avec une certaine notoriété à cause
de ma présence aux Jeux Olympiques d'Atlanta 1996
avec «FOX» ce chiot et compagnon de route et tout ce
que j'avais accompli au nom de DIEU. Dénoncer ces
pratiques médicales pour qu'il n'y ait plus personne
victime d'abus de pouvoir médical.
Le «Système médical» était encore une fois, appuyé
du «Système Judiciaire». J'ai été conduis malgré moi
en prison pour finalement terminer mon incarcération
à l'Institut Psychiatrique Philip Pinel de Montréal
parce que des médecins membres du «Système médical»
ont décidé de me projeté «inapte à comparaître en
cours» dans une cause imaginée pour protéger toute
cette criminalité.
À l'institut psychiatrique Philip Pinel de Montréal,
j'ai été libéré encore une fois par la MAIN de DIEU
devant cette équipe médicale incapable de me garder
à l'intérieur plus longtemps.
J’ai reçu
mon dossier médical du Centre Hospitalier de Verdun
CHA 1411 après l’avoir demandé durant 70 mois
tandis que celui de l'Institut Philippe Pinel de
Montréal m’a été remis obligatoirement par les
avocats du CHUS qui ont voulu le déposer comme pièce
afin d’essayer de défendre leurs clients.
Vous pourrez lire aussi celui du CHUS en remarquant
que certaines pages ont été partiellement effacé de
leur contenu. Ici la LOI permettant au témoignage de
tiers de ne pas être identifié. Vous lirez le texte
surligné en jaune pour ce qui est VRAI et en orange
ce qui est FAUX. Ce qui veut dire que le contenu de
ce dossier médical ne correspond pas en totalité à
mon vécu à l'hôpital. Ils ont tenu caché ce dossier
plus de 34 mois !
-
J'ai
finalement obtenu le droit d'accès à ce dossier par
Me Lina Bisson-Jolin commissaire à la
Commission
des Affaires Sociales du Québec, le
20 novembre
1997, après avoir été entendu et avoir remis un
parchemin lors de l'audition du 23 octobre de la même
année.
Je reproche au «CHUS - HÔTEL-DIEU» de M’avoir gardé
à l’urgence le 22 mars 2003 alors que cela n’était
pas requis par mon état mais seulement fait dans le
but de protéger le «CHUS - FLEURIMONT» de ses
activités criminelles dans le dossier «CHUS 398 068»
du 11 février 1995 au 12 avril 1995.
Je reproche aussi au «CHUS - HÔTEL-DIEU» d’avoir
construit un dossier médical du 22 mars 2003 au 13
mai 2003 d’auto évidence afin de protéger le «CHUS -
FLEURIMONT» de ses activités criminelles dans le
dossier «CHUS 398 068» du 11 février 1995 au 12
avril 1995.
Je reproche au «CHUS - HÔTEL-DIEU» de m’avoir
administré par injection une drogue illégal au
Canada soit du
«ghb» Le gamma-hydroxybutyrate communément appelé la
drogue du viol
lorsque j’était à l’urgence le 22et ou 23 mars 2003
et cela sans mon consentement.
Je reproche au «CHUS - HÔTEL-DIEU» de m’avoir
administré par injection de l’HALOPÉRIDOL (HALDOL)
5ml + LOZARÉPAM (ATIVAN) 2ml et cela à au moins 10
reprises sans mon consentement et avant même d’avoir
obtenu une ordonnance de traitement soit du 24 mars
au 11 avril 2003.
Je reproche au «CHUS - HÔTEL-DIEU» de m’avoir
projeté comme une personne inapte dans le but de
protéger le «CHUS - FLEURIMONT» de ses activités
criminelles dans le dossier «CHUS 398 068» du 11
février 1995 au 12 avril 1995.
Je reproche au «CHUS - HÔTEL-DIEU» d'avoir renié le
Serment d’Hippocrate et le Serment professionnel.
Par le fait même le «CHUS - HÔTEL-DIEU» a violé
plusieurs articles du Code de déontologie des
médecins, R.Q. M-9, r.4.1, du Code criminel, [L.R.
1985, ch. C-46] de la Loi canadienne sur les Droits
de la personne, [L.R. 1985, ch. H-6] de la Loi
Constitutionnelle de 1982, de la Charte Canadienne
des Droits et Libertés, de la Charte des droits et
libertés de la personne, L.R.Q. C-12 de la
Déclaration de Lisbonne de l'Association Médicale
Mondiale sur les Droits du Patient.
Pour tout savoir
concernant cette horreur médicale veuillez prendre
connaissance d'une plainte écrite le 20 juin 2004 et
adressée au collège des médecins ainsi qu'è la
Gendarmerie Royale du Canada (GRC/RCMP) division
sécurité nationale en cliquant sur ce présent lien.
-
Je
souhaite une bonne lecture à tous ceux qui prendront
connaissance de ce dossier médical. N'oubliez pas que
je penses que les écrits demeureront toujours et je
crois qu'ils seront à mon avantage. Que la justice
soit faite et qu'on me rendre ma dignité.
|
I t goes without saying that the content of medical
records must be kept in a strictly confidential way:
that is to say who is meant under a veil of secrecy
to be professional to avoid any detriment to the
patient because of his state of health. However when
a medical team keeps hidden and returns inaccessible
the state of health of the patient counterpart more
than 34 months, because the content of this file was
fabricated, been that is to say invented of any
room, to make some money in depend on a society
which spends, more and more, on care of health.
These medical records must then lose its content
inevitably confidential. It is for this reason that
today; I make decision in front of GOD and in front
of men to make public the entire contents of my
medical records « CHUS 398068 » to help all those
who suffer from illegal and/or lawful mental
diseases. Besides, I hold that the exposure of this
file which is mine is in homage to all those who are
dead of a lethal dose of lawful narcotics.
These medical records were created without knowing
its patient by a medical team neither «Without CREED
nor LAW» which it is to strive in epoch to work CHUS
behind the wall of shame of to protect itself from
an UNSURPASSED OPPROBRIUM.
Do they allow mental diseases to promote the
products of the pharmaceutical companies? Do they
need to create wrong imagination to secure a return
their occupation? Which is alike the need gather, to
make some money could corrupt many people, even if
it means promoting mental diseases. Wonder to whom
it will be able to be most of benefit.
They spend on detoxification centres, for the
consumers of illegal narcotics. Where is the golden
mean? They canalize mental stereotypes thanks to
lawful narcotics. The diversity of mind is not
allowed. Freedom and right of the person in pill.
Cogitation is obvious you do not think?
Having been released from the hands of these
torturers by the HAND of GOD. GOD allowed that I
become persecuted by a « Medical System » (or even
Medical Mafia) of to protect most not to make take
in sin or if you want it to destroy a free mind. It
was necessary for everything taken that I am
confirmed « manic-depressive, paranoiac,
schizophrenic,
narcissi,
achieves of a mystical and religious frenzy with a
potential of
danger
of serial killer ». I would never have thought that
to believe and to love God can be worthy of such
treatment of injustice.
On July 18th, 1995, this « Medical System »
succeeded with the help of more than eight policemen
armed
to
tie
me up in a bed in the Complex Hospital of
Verdun.
Their being intention to remove me of a natural
reason by using a «
mega
dose
of
antibiotic
dose with the intention of provoking an internal
haemorrhage ». Of course without knowing the police
team.
Then being exiled to me in the United States during
388 days to do again me to a reputation, I came back
to the country with a certain notability because of
my presence to the Olympic Games of Atlanta 1996
with "FOX " this pup and fellow traveller and all
that I had fulfilled in the name of GOD. Report
these medical practices so that there is no more
anybody victim of medical abuse of power.
The « medical System » was once again, supported of
the « Judicial System ». I was lead in spite of me
in prison to end my imprisonment finally in the
Psychiatric Institute Philip Pinel de Montréal
because doctors members of the « medical System »
decided of me planned « incapable to appear ongoing
» in a reason imagined to protect all this crime.
In the psychiatric institute Philippe Pinel de
Montréal, I was once again released by the HAND of
GOD in front of this medical team unable to be wary
indoors longer. I had received my
medical records of the Complex Hospital of
Verdun
CHA
1411 afterwards
to
asked for it during 70 months
while that of the Institute Philippe Pinel de
Montréal
had
be given
inevitably by the lawyers of CHUS which wanted to
deposit it as piece in order to try to defend their
customers.
You will be able to notice also that the medical
file of the CHUS by pointing out that certain pages
were partly retiring of their contents. Here the LAW
allowing the evidence of third not to be identified.
You will read the
highlighted
text in yellow as for TRUTH and in orange what is
WRONG. It means that the content of these medical
records does not correspond entirely to my living in
the hospital. They held this file hidden more than
34 months!
I finally acquired the right of access to this file
by Miss Lina Bisson-Jolin commissioner at the
Commission of the Social affairs of
Quebec,
November 20th, 1997,
having been heard and being given a
parchment during the audition
of October 23rd of the same year.
I reproach in for «CHUS - HOTEL-DIEU» of
having kept me in
emergency on March
22nd, 2003 while it was
not requested by my condition but only made with the
intention of protecting «CHUS - FLEURIMONT» from its
criminal activities in the file «CHUS 398 068 » from
February 11th, 1995 till April 12th, 1995.
I also reproach in for «CHUS - HOTEL-DIEU»
to having builted a
medical records from March 22nd, 2003 till May 13th,
2003 self obviousness to protect «CHUS - FLEURIMONT»
from its criminal activities in the file «CHUS 398
068» from February 11th, 1995 till April 12th, 1995.
I reproach in for «CHUS - HOTEL-DIEU» of
having managed by
injection a narcotic illegal in Canada is of
«Ghb»
The gamma-hydroxybutyrate commonly called the
narcotic of rape
when I was at the
emergency on March 22et or 23rd, 2003 and it
without my consent.
I reproach in for «CHUS - HOTEL-DIEU» of
having managed by
injection of
HALOPÉRIDOL
(HALDOL) 5ml +
LOZARÉPAM
(ATIVAN) 2ml and it
in at least 10 resumptions without my consent and
before even acquired a
Court Order of treatment is from March 24th
till April 11th, 2003.
I reproach in for «CHUS - HOTEL-DIEU» of
having cast me as
an incapable person with the intention of protecting
«CHUSS - FLEURIMONT» from its criminal activities in
the file «CHUS 398 068» from February 11th, 1995
till April 12th, 1995.
I reproach in for «CHUS - HOTEL-DIEU» to have
disavowed Hippocratic Solemn promise and
professional Solemn promise. By fact «CHUS - HOTEL-DIEU»
violated several articles of the Code of practice of
the doctors, R.Q.
M-9, highway 4.1, of criminal Code, [L.R.
1985, ch. C-46] of
Canadian Law on the Rights of the person, [L.R.
1985, ch. H 6] of
the Constitutional law of 1982, Charter Canadian of
Rights and Freedom, the Charter of rights and
freedom of the person,
L.R.Q. C-12 of the Statement of Lisbon of the
Worldwide Medical Association on the Rights of the
Patient.
For every know concerning this medical terror please
acquaint with a complaint written on June 20th, 2004
and addressed to the College of the doctors as well
as the Royal Canadian Mountain Police (GRC / RCMP)
division national security by clicking on this
present link.
I wish a good reading to all those who will acquaint
with these medical records. Do not forget that I
think that writings will always reside and I think
that they will be in my advantage. That justice is
made and that one to return me my respectability. |
Él va sin decir que el contenido de un expediente
médico debe estar obligado d e manera estrictamente
confidencial: es decir que quiere bajo secreto
profesional con el fin de evitar todo perjuicio al
paciente a causa de su estado de salud. Sin embargo
cuando un equipo médico conserva escondido y hace
inaccesible el estado de salud de los pacientes
durante más de 34 meses, porque el contenido de este
expediente fue inventado, inventada es decir de toda
pieza, con el fin de hacer dinero a depende de una
sociedad que gasta, cada vez más, en cuidado de
salud.
Este expediente médico debe entonces perder
obligatoriamente su contenido confidencial. Es por
la razón que hoy, tomo la decisión delante del DIOS
y delante de los hombres de hacer pública el
contenido íntegro de mi expediente médico « CHUS
398068 » con el fin de ayudar a todos los que sufren
de enfermedades mentales legales y\o ilegales.
Además, tengo que la divulgación de este expediente
que es el mío sea en homenaje a todos los que son
muerto de una dosis mortífera de drogas legales.
Este expediente médico ha sido creado a espaldas de
su paciente por un equipo médico « Sin FE ni LEY »
que es esforzarse a la época que hay que trabajar
detrás de la pared de la vergüenza de CHUS para
protegerse de un OPROBIO SIN PRECEDENTES.
¿Permitimos las enfermedades mentales para promover
los productos de las compañías farmacéuticas?
¿Necesitan crear dolores imaginarios para
rentabilizar su profesión? Que se parece se reúne,
la necesidad de hacer dinero podría corromper a
mucha gente, con riesgo de promover las enfermedades
mentales. Pregúntese a quién esto podrá aprovechar
más.
Gastamos en centros de desintoxicación, para los
consumidores de drogas ilegales. Donde está el
término medio. Canalizamos estereotipos mentales
gracias a las drogas legales. La diversidad de
espíritu no es permitida. La libertad y el derecho
de la persona en píldora. ¿La reflexión se impone
usted no piensa?
Después de haber sido liberado manos de estos
verdugos por la MANO del DIOS. El DIOS permitió que
me hiciera perseguido por un « Sistema Médico »
(incluso Mafia Médica) de proteger más para no
hacerse agarrar en el pecado o si le quiere destruir
un espíritu libre. Hacía falta a todo tomado que
fuera confirmado « maníaco depresivo, paranoico,
esquizofrénico,
narcisista,
alcanzado de un delirio místico y religioso con un
riesgo potencial de asesino en serie».
Nunca habría creído si creer y querer al Dios pueda
ser digno de tal tratamiento de injusticia.
El 18 de julio de 1995, este « Sistema Médico » tuvo
éxito con la ayuda de más de ocho policías armados a
me agregado
en una cama al Centro hospitalario de Verdún. Su
intención que era de hacerme desaparecer de una
causa natural utilizando una «
méga
dosis de antibiótico
con el fin de provocar una hemorragia interna ».
Evidentemente a espaldas del equipo policiaco.
Luego después de serme exiliado a los Estados Unidos
durante 388 días con el fin de rehacerme una
reputación, volví al país con una cierta notoriedad
a causa de mi presencia a los Juegos Olímpicos de
Atlanta 1996 con
«FOX»
este cachorro y compañero de camino y todo lo que
había cumplido en nombre del DIOS. Denunciar) estas
prácticas médicas para que no haya más nadie víctima
de abuso de poder médico.
El « Sistema médico » era una vez más, apoyando del
« Sistema Judicial ». Fui conduce a pesar de mí a
prisión para acabar finalmente mi encarcelamiento en
el Instituto Psiquiátrico Philip Pinel de Montréal
porque médicos miembros del « Sistema médico »
decidieron de yo planeado « ineptito a comparecer en
curso » en una causa imaginada para proteger toda
esta criminalidad.
En el instituto psiquiátrico Philip Pinel de
Montréal, he sido liberado una vez más por la MANO
del DIOS delante de este equipo médico incapaz de
conservarme en el interior más tiempo. Recibí
mi expediente médico del Centro hospitalario de
Verdún CHA 1411 después de haberlo pedido durante 70
meses mientras que el del Instituto Philippe
Pinel de Montréal me ha sido restablecido
obligatoriamente por los abogados del CHUS que
quisieron depositarlo como pieza con el fin de
tratar de defender a sus clientes.
Usted podrá leer también lo de CHUS observando que
ciertas páginas fueron parcialmente borrados de su
contenido. Aquí la LEY que permite al testimonio de
tercio no ser identificado. Leerá el texto
fluorescente en yema para lo que es verdad y en
naranja lo que es FALSO. Lo que quiere decir que el
contenido de este expediente médico no corresponde
en totalidad a mi vivido en el hospital. ¡Ellos
tuvieron escondido este expediente más de 34 meses!
Obtuve finalmente el derecho
de acceso a este expediente por Yo Lina Bisson-Jolin
comisario en la
Comisión de los Asuntos Sociales de
Québec,
el
20 de noviembre de 1997,
después de haber sido oído y
tenido restablecido un
pergamino en el momento de la audición
del 23 de octubre del mismo año.
Reprocho a «CHUS - HOTEL-DIOS» de haberme guardado a
la urgencia el 22 de marzo de 2003 mientras que esto
no fue requerido por mi estado sino solamente hecho
con el fin de proteger «CHUS - FLEURIMONT» sus
actividades criminales en el expediente «CHUS 398
068» del 11 de febrero de 1995 al 12 de abril de
1995.
Reprocho también a «CHUS - HOTEL-DIOS» de haber
construido un expediente médico del 22 de marzo de
2003 al 13 de mayo de 2003 de coche evidencia con el
fin de proteger «CHUS - FLEURIMONT» sus actividades
criminales en el expediente «CHUS 398 068» del 11 de
febrero de 1995 al 12 de abril de 1995.
Reprocho «CHUS - HOTEL-DIOS» de m y * 146; tener
administrado por inyección una droga ilegal en
Canadá sea
«ghb» El
gamahidroxibutirato es comúnmente llamado la droga de la violación
ación cuando j y * 146; era tiene l y * 146;
urgencia el 22et o 23 de marzo de 2003 allí esto sin
mi consentimiento.
Reprocho a «CHUS - HOTEL-DIOS» de haber administrado
yo por inyección de HALOPÉRIDOL (HALDOL) 5ml +
LOZARÉPAM (ATIVAN) 2ml y esto por lo menos a 10
reanundaciones sin mi consentimiento y hasta antes
de haber obtenido una disposición de tratamiento
esté del 24 de marzo al 11 de abril de 2003.
Reprocho a «CHUS - HOTEL-DIOS» de haberme proyectado
como una persona inepta con el fin de proteger «CHUS
- FLEURIMONT» sus actividades criminales en el
expediente «CHUS 398 068» del 11 de febrero de 1995
al 12 de abril de 1995.
Reprocho a «CHUS - HOTEL-DIOS» de haber renegado el
Juramento hipocrático y el Juramento profesional.
Por el mismo hecho al «CHUS - HOTEL-DIOS " violó
varios artículos del Código de deontología de los
médicos, R.Q. M-9, r.4.1, del Código criminal, [L.R.
1985, ch. C-46] de la Ley canadiense sobre los
Derechos de la persona, [L.R. 1985, ch. H 6] de la
Ley Constitucional de 1982, de la Carta canadiense
de los Derechos y Libertades, de la Carta de los
derechos y libertades de la persona, L.R.Q. C-12 de
la Declaración de Lisboa de la Asociación Médica
Mundial sobre los Derechos del Paciente.
Para todo saber que concierna a este horror médico
quiera informarse de una queja escrita el 20 de
junio de 2004 y enviada al colegio de los médicos
así como è la Gendarmería Real de Canadá (GRC /
RCMP) división seguridad nacional haciendo clic
sobre este lazo presente.
Deseo una buena lectura a todos los que se
informarán de este expediente médico. No olvide que
creo que los escritos quedarán siempre y creo que
estarán en mi ventaja. Que la justicia sea hecha y
que devolverme mi dignidad. |