Sherbrooke, 7 décembre 2000,

 

Je n'ai jamais eu de problèmes de santé mentale mais par le biais d'une émission de télé très connue je suis entré en contact avec une famille monoparentale où un jeune garçon était régulièrement gardé et embarré dans sa chambre sous les conseils d'un pratiquant du CHUS qui a été identifié dans des procédures judiciaires civiles entreprises contre moi afin de cacher toute l'affaire, ceci sans compter une poursuite criminelle organisée avec la collaboration des service de polices de la ville de Sherbrooke dans laquelle j'avais été suivi pendant 30 heures pour la construire et dont j'ai été acquitté.

 

Je ne passerai pas sous silence également que la DPJ de Sherbrooke appuyait toute cette violence dont étaient victimes des enfants sans défenses. J'ai découvert votre site par hasard et il m'a donné une certaine frousse en découvrant que les abus psychologiques seraient une chose courante au CHUS et à la ville de Sherbrooke. Je ne sais plus si je dois continuer à essayer de dénoncer toute l'histoire car seul contre toute cette « mafia » que je découvre bien structurée, je m'épuise.

 

Bonne chance dans vos démarches

Anonyme par crainte !