Il me fera plaisir de vous mettre à jour mensuellement concernant mon Odyssée 2001 à travers la province de Québec ! Je vous rappelle que ma mission cette année est de parcourir avec plaisir ce territoire du Nord au Sud sans paresse d'Ouest en Est comme conférencier en guidance spirituel anti-crime et anti-suicide dans des conditions de sans-abri hivernale afin de construire un Pays Meilleur !

Du 06 au 27 janvier, j'ai parcouru la circonscription de Mégantic-Compton en commençant par East-Angus, Cookshire, Island Brook, West Ditton, La Patrie, Notre-Dame-des-Bois, Woburn, Lac Mégantic, Nantes, Milan, Scotstown et Stornoway. Il faut que vous sachiez que je suis en campagne électorale depuis six ans déjà et qu'au même moment j'effectue différentes enquêtes pour celui qui me l'a demandé. Présentement, je voyage toujours en co-voiturage, ce moyen de transport fait en sorte que je trouve le chemin de mon destin. J'invite donc les gens que je rencontre à partager parmi eux le Message que je leur laisse au passage, en leurs disant que je crois à l'efficacité d'un Message porter de bouche à oreille. Par cette méthode, j'étais devenu une notoriété dans le domaine de l'automobile de 1984 à 1990 pour les compagnies Bear Automotives inc et Moog Canada Ltée.

J'ai en ma possession 10 000 cartes d'affaires, j'en ai déjà distribué 2000 dans cette région de Mégantic-Compton. Cette carte laisse un héritage assez important par sa conception et le Message de son contenu. Elle se présente pliez en deux, d'un côté ont y voit ma photo actualisée et de l'autre le logo d'une fondation portant mon nom que DIEU a créé pour nous le 12 février 1995. Cette révélation m'a été donnée par DIEU lui-même lorsque j'étais au CHUS après avoir été drogué contre ma volonté. Mes tortionnaires savent maintenant que c'était aussi contre LA VOLONTÉ de NOTRE-PÈRE.

Les gens qui reçoivent ma carte liront ce qui suit :

Faute d'espace sur cette carte d'affaire, il y manque ce qui suit : Dès le retour de mon exil, on m'a mis en prison 26 jours dont 8 jours à l'Institut Psychiatrique Philippe Pinel de Montréal soit du 04 au 30 janvier 1997 pour une histoire de harcèlement criminel au Musée d'Archéologie Pointe-à-Callière de Montréal à l'été 1995. Lors de mon passage au Palais de Justice au mois de janvier 1997, un médecin décida pour la société que j'étais inapte à comparaître en cour, une avocate de l'aide juridique qui avait été désigné pour assurer ma défense pleine et entière me chuchota à l'oreille tout en me remettant sa carte d'affaire devant le juge et le médecin qu'elle était convaincue être du même avis que ce médecin généraliste. Heureusement pour la société, j'ai encore su contrôler mon humeur.

J'aime bien ma nouvelle carte d'affaires, elle se présente bien et saura chasser tout esprit de rébellion, afin de construire un pays meilleur ! J'en n'ai fait imprimer 10 000 et lorsque cette quantité sera épuisée Jésus-Christ en fera produire un autre 10 000. Car comme il y a un seul DIEU il y a aussi un seul Sauveur qui a été choisi par LUI pour nous sauver et c'est Son Fils Unique Jésus-Christ !

Du 06 au 09 janvier, j'étais à East Angus hébergé par mes amis du centre de thérapie «Maison Aleeson» effectuant mon 5^e partage de Foi Chrétienne à cet endroit. Cette Foi a permis récemment à Jocelyn, un usagé de l'endroit d'être délivré de l'emprise de drogues légales. (Je me souviens très bien de son état, lorsque je l'ai rencontré à l'été 2000, que voulez vous il prenait huit sortes de médicaments pour contrôler son humeur soit 24 pilules par jour, il était un vrai zombie parkinsonien. Tout le monde avait peur pour lui). En ce 06 janvier, il est venu me dire que depuis deux mois il ne prenait plus de drogues et que son sevrage c'était fait en douceur comme je l'avais prophétisé par la prière. Je me suis réjouie avec lui et nous avons remercié le Seigneur ensemble dans la fraternité. Je loue le Seigneur à chaque fois qu'une guérison spirituelle ce fait. Sachant que Jocelyn a compris que c'est sa Foi en Jésus-Christ qui l'a délivré.

Je suis sans abris lorsque je voyage, c'est-à-dire que je ne sais jamais ou je vais passer la nuit à moins d'être hébergé au même endroit quelques jours. D'autant plus que je pars avec un deux dollars en poche que je refuse de dépenser en cours de route. Je vie avec la FOI de l'Évangile, sans douter et DIEU me donne tout ce que j'ai de besoin pour poursuivre le DESTIN qu'IL a choisi pour moi. Les hôteliers comme les aubergistes me reçoivent dignement, de même que les gens de bonne famille. Imaginez un homme arrivant chez vous pour vous demander un endroit pour passer la nuit. Madame Diane Roy, veuve et habitant le Lac Mégantic (avec ses deux jeunes enfants et hébergeant un de ses oncle) à 22 h 00 a très bien répondu à ma demande, ce qui m'a permis de partager un bon temps de compassion avec elle. Elle me faisait part qu'elle avait grandement été affecté par le Bogue de l'an 2000, son conjoint s'ayant donné la mort par pendaison le 23 mai 2000. On peut croire par cette histoire que DIEU avait de bonne raison de m'envoyer dans cette région du Québec en premier lieu.

De toute façon, je crois qu'on n'obtient rien sans effort et que l'ouvrier mérite son salaire. Lorsque mon destin m'a conduit au Restaurant Rosalin lors de mon passage à East Angus pour inviter les propriétaires à me soutenir en nourriture. J'ai fais la rencontre d'une cliente qui se souvient très bien de mon passage à Weedon au mois de septembre 1995, j'étais en chemin vers la Floride en vélo. Elle me dit se rappeler m'avoir donné un verre d'eau et des carottes de son jardin devant ces enfants. L'aînée de ces enfants travaille maintenant dans ce restaurant comme serveuse. Cette jeune femme de 19 ans se souvenait aussi de notre première rencontre, elle avait seulement 13 ans et je compris par le pétillement de son regard à mon égard l'importance qu'elle donnait à ma mission et le Message d'espoir que je porte par mon exemple de courage et de détermination. Le même genre de sensation m'a envahi lorsque j'ai rencontré le 10 janvier 2001 le Caporal Robert Paradis de la Sûreté du Québec œuvrant sur le territoire de Cookshire, il rappela m'avoir vu partir en exil le 01 septembre 1995. Oui, sur le chemin de mon exil, les gens que je rencontrais sur mon chemin étaient invités à révéler mon histoire de bouche à oreille. Ils comprenaient l'importance pour moi d'aller me refaire un nom afin de ne jamais payer pour un crime que je n'avais jamais commis. Ils étaient informés aussi mon intention de revenir encore plus fort que jamais afin de dénoncer la Mafia Médicale et combattre ses maladies mentales afin de construire un pays meilleur.

Lors de mon passage à La Patrie, je me suis rendu le samedi matin 13 janvier à la demeure de Daniel Gilbert, prêtre responsable de huit paroisses dans ce Comté de Mégantic-Compton. Je compris rapidement la fermeture de cet homme à ma venue, refusant par le fait même l'outil que Jésus-Christ lui envoya pour lui venir en aide. Ce prêtre aurait du profiter de ma venue au maximum afin de contrer le suicide dans son territoire. Le mardi 23 janvier vers 16h00 en la Paroisse de St-Ambroise de Milan, paroisse sous la responsabilité de Daniel Gilbert, un de ses paroissiens Yves Lapierre âgé de 39 ans est entré dans l'église par effraction pour y casser plusieurs statuts et y mettre l'église sans dessus dessous. Évidemment si Monsieur Gilbert m'avait reçu dignement le tout ne serait jamais arriver. Heureusement, que Monsieur Lapierre n'a pas mis le feu à cette église. Monsieur Jacques Gobeil, un fermier de La Patrie et son épouse Nancy m'ont reçu dignement nous avions soif de partager ensemble et cela a duré un bon quatre jours. Madame Brigitte Gobeil et son mari Michel Langlois m'ont aussi bien accueilli dans leur gîte touristique La Jardinière.

Au lac Mégantic, Monsieur et Madame GuoLi & Han Lee mon reçu à L'hôtel Oriental tandis que Monsieur Mario Pépin me recevait dans son auberge nommé l'Eau Berge et Madame et Monsieur Diane et André Tanguay m'offrait une nuitée dans leur auberge champêtre Victorines du Lac. Ce qui m'a permis le 19 janvier de revoir Michel Bédard un infirmier en santé mentale que j'avais connu en 1997 au CLSC du Faubourg - Montréal travaillant maintenant au CLSC Maria Thibault de Lac Mégantic sous la supervision de Madame Claire Giguère, chef des programmes de prévention. Monsieur Bédard n'était pas surpris de me voir parcourir le Québec ni de me voir dans une telle forme physique et mentale. Celui qui m'a offert le plus de résistance fut le Pasteur Yves Bolduc de Lac Mégantic, du Centre Évangélique Esprit et Vie et Fondateur de «Vie Abondante» un organisme à but non lucratif qui veut intervenir face à la problématique du suicide dans la région de Lac Mégantic en offrant le service d'une ligne d'écoute 24/24, la relation d'aide personnelle, des conférences, etc. Finalement, Monsieur Bolduc a insisté pour me rencontrer afin de m'avertir qu'il ne voulait aucunement être associer à Serge Bourassa-Lacombe Fondation. Il me demanda aussi de ne pas dire au gens que j'étais appuyé par «Vie Abondante» chose que je n'ai jamais dite, en plus de vouloir m'empêcher de communiqué avec les membres de son église. Je lui ai alors expliqué ce que vous savez déjà par le contenu de cette lettre et je lui ai fait comprendre que j'ai seulement un maître "DIEU" et que lorsqu'IL m'envoie en voyage IL met SA MAIN pendant et après mon passage. 

Les gens apprécient mon travail ceux qui n'ont pas ce sentiment sont tout simplement remplis d'un esprit autre que celui qui me remplie. Car il y a seulement deux sortes d'esprit, l'Esprit Saint et l'Esprit Malin, avec l'Esprit Saint on fait le bien tandis qu'avec l'Esprit Malin ont fait le mal. Malheureusement, il y a encore des gens qui cherche l'existence d'une troisième sorte d'esprit, je vous le dit en vérité jamais il y en aura une troisième sorte. Ces gens cherchent en vain. Le code de vie que Jésus-Christ nous a laissé est tellement simple. C'est pour cette raison que Son appel est irrévocable.

En terminant, je ne puis passer sous silence qu'il y a présentement des milliers de gens qui souffrent actuellement dans la région de Berthierville suite à un incident qui aurait certainement pu être éviter par la portée de cette lettre que je me suis donné la peine d'écrire au Premier Ministre du Québec Lucien Bouchard, envoyé le mercredi, 06 décembre, 2000 06h43 dont l'objet était : «2e invitation de compassion pour une investigation afin de construire un pays meilleur !» Demandant à mes lecteurs : «En ce 06 décembre 2000, qu'avez-vous fais pour diminuer la violence autour de vous depuis l'année dernière ?»

Un millier d'élèves ont été privé de cours pendant 16 jours suite à un congé forcé à la suite de l'incendie à la polyvalente Pierre-de-l'Estage. Le feu s'est déclenché avec une forte explosion vers 3 heures dimanche matin le 07 janvier 2001. La moitié du bâtiment, dont l'auditorium, des bureaux administratifs et le gymnase, a été détruite. Les salles de classe ont été épargnées par le feu, mais il n'y a plus de chauffage ni d'électricité. Les étudiants ont repris progressivement leurs cours mercredi le 24 janvier dernier, à la polyvalente de l'Érablière, de Saint-Félix-de-Valois, à une vingtaine de kilomètres de Berthierville. Les classes se font en milieu d'après-midi, après la journée écourtée des élèves de Saint-Félix-de-Valois. Les enseignants ont accepté à contrecœur les horaires imposés par la commission scolaire, soit de 15 h à 19 h 30. Les enseignants demandaient que les classes se terminent au plus tard à 18 h.

Dans tout cela, il y a sûrement matière à réflexion car cette incident coûtera au moins 11 MILLIONS $ puisqu'il est question maintenant de rebâtir au complet la polyvalente Pierre-de-l'Estage. Je me souviens avoir transmis à huit de nos gouverneurs une lettre le 12 décembre 2000 : «Je suis porteur d'un cœur rempli d'amour et en cette fin d'année charnière, j'ai décidé de porter une prière toute spéciale à votre attention pour me permettre de verser cet amour à ceux qui en ont de besoins. Comme vous le savez, je suis devenu porteur d'un rêve personnel à usage collectif car je suis altruiste depuis ma naissance. Je crois qu'il est possible de faire le nécessaire pour permettre massivement aux québécoises et aux québécois de recevoir cet espoir porteur de bonne nouvelle. Le plus tôt sera le mieux, ça presse comme on pourrait dire, il en va de la sécurité publique !»

Au plaisir maintenant de parcourir à partir de mercredi le 7 février 2001 la route 138 de Montréal à Québec en passant par Shawinigan, je ne sais pas la date que je ferai mon entrée dans la Capitale cependant je suis sans inquiétude car Dieu connaît cette date pour nous ! Au mois prochain donc !