Je désire me plaindre
de la conduite des policiers suivants :
Depuis le 11 février 1995,
SERVICE de POLICE de
SHERBROOKE
et/ou
SERVICE de POLICE de la
RÉGION SHERBROOKOISE
aucune repentance pour m’avoir mépris pour un autre
Serge Lacombe, né la même date, la même année que moi.
Michel Carpentier Directeur
André Castonguay Agent dégradé par les journalistes de La Tribune
Et tout les autres qui ont obéi à la corruption depuis le 11 février 1995.
Repentez-vous ma Gang de Malade !…!…!…
DATE DE L’ÉVÉNEMENT À L’ORIGINE DE LA PLAINTE
2003
MARS 22
LIEU DE L’ÉVÉNEMENT
SHERBROOKE
OBJET DE LA PLAINTE
Résumez l’événement et expliquez vos reproches. Si
vous reprochez aux policiers(ères) ou constables spéciaux des propos injurieux,
obcènes, blasphématoires, discriminatoires ou irrespectueux, veuillez s.v.p.
rapporter les morts employés aussi exactement que possible.
Lundi le 10 mars 2003, je suis à Montréal et je m’organise pour cette campagne
électorale provinciale soit Élection Québec 2003 et j’achète une grosse valise
rouge sur roulette, une importation d’Italie que j’ai trouvé au Court Mont-Royal
à 15 h 00 et que j’ai payé 235 $. Cette valise sera le symbole du candidat sans
abris et sans domicile fixe car nomade pacifique. Je me suis acheté des
vêtements pour me permettre d’être bien mis. Je possède un Toxedo Yves
Saint-Laurent et d’un manteau de cuir blanc de 3 000 $ car il est brodé à
l’intérieur comme à l’extérieur.
Mardi le 11 mars 2003, je quittes la Ville de Montréal vers 09 h 00 pour courir
dans le Comté de Sherbrooke pour promouvoir ma candidature. J’arrive au coin du
Boulevard St-François et King à 12 h 35. Je me rends déjà au Carrefour Jeunesse
Emploi de Sherbrooke, 40 rue Wellington Nord, de 12 h 55 à 13 h 25 Marie-France
Deslongchamps m’a servi dans le but de me préparer pour ma campagne électorale
Élection Québec 2003. Ensuite je me rends à la Cordonnerie Tremblay inc, 330,
rue King Ouest pour y trouver des cordons en cuir blanc. Par la suite, je me
rends chez Solutions Réseaux, 60 rue Alexandre, Serge me permets de m’installer
dans son magasin afin de me permettre d’utiliser l’Internet pour ma
correspondance, cette journée là, j’y travaille de 15 h 45 à 17 h 00. De 18 h 35
à 18 h 57, je me retrouve au coin des rues Wellington et King et je m’entretien
avec Mathieu de la Coalition Sherbrookoise pour le travail de rue. De 20 h 55
au 21 h 10, je rencontre Louise Hatcher et Stéphane Turcotte de l’Hôtel
Wellington.
Mercredi le 12
mars 2003, j’ai rencontré Mario Goupil, journaliste pour le journal LA TRIBUNE
sont article intitulé Mauvais départ paru le lendemain soit le jeudi 13 mars
2003 :
*&*&*&*&*&*&*&*«Je reconnais qu’il n’y a pas de façon, plus embarrassante en
tout cas, d’amorcer une campagne électorale. Je me vois en effet contraint
d’imiter l’autre Mario et de changer d’idée. Je suis forcer de faire de
volte-face et de revenir sur la prédiction que je vous ai faite en septembre
dernier : Mario Dumont ne sera pas le prochain premier ministre du Québec. Comme
moi, vous vouliez pourtant de lui comme premier ministre en septembre dernier du
Québec, mais l’ADQ a tellement changé de cap souvent depuis, notamment en ce qui
a trait au taux d’imposition unique et la place du privé dans le secteur de la
santé, que vous avez un peu de difficulté à le suivre. Moi aussi, je l’avoue. L’ADQ
promet du changement et de nouvelles façons de faire, un nouveau modèle de
gouvernement, mais le parti de Mario Dumont, de toute évidence, n’a pas encore
la maturité pour gouverner le Québec. Ça viendra sûrement un jour. Le Parti
libéral et le Parti québécois partent vraisemblablement nez à nez dans cette
campagne électorale. On connaît déjà la salade qu’ils ont à nous vendre. Il leur
reste maintenant 32 jours pour nous convaincre de l’acheter. Celui qui commettra
le moins d’erreurs aura de très bonnes chances de l’emporter. Les gaffes, c’est
souvent ce dont on se souvient le plus.
J'étais en train
de discuter avec des membres de l'équipe de Peter Downey qui installaient la
charpente qui servira à accueillir une affiche du candidat Adéquiste dans
Sherbrooke, à l'angle des rues Des Grandes Fourches et King Ouest, lorsque je
l'ai entendu arriver... avec sa musique à bouche. _Je vous vois prendre des
notes dans votre calepin... Vous êtes journaliste? _Effectivement. _Je me
présente: Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe. Je vous informe que je serai
candidat à Élections Québec 2003 dans le comté de Sherbrooke. Je me présenterai
contre Jean Charest, Marie Malavoy et compagnie. J'ai été candidat à Élections
Canada 2000, aussi dans le comté de Sherbooke. Vérifications faites, Joseph
Adrien Serge Bourassa-Lacombe a effectivement obtenu 294 votes à la dernière
élection fédérale remportée par Serge Cardin. L'homme dit être un sans-abri. Il
est arrivé de Montréal mardi. «Maintenant, il faut que je trouve le président
des élections», m'a-t-il annoncé. On est allé faire un brin de jasette au
restaurant du terminus, juste en face. L'homme de 45 ans m'a montré des copies
d'articles de journaux qui ont été publiés à son sujet. Comme cette poursuite de
1,8 millions $ qu'il a intenté contre le CHUS parce qu'il dit y avoir été
enfermé contre son gré pendant 57 jours. Il y a aussi un long reportage sur les
4150 kilomètres qu'il a parcouru à bicyclette pour faire le tour des provinces
maritimes... avec 2$ dans ses poches qu'il n'a même pas dépensés. Tout de blanc
vêtu - il porte notamment un toxedo griffé Yves Saint-Laurent - le curieux
personnage se déplace en tirant tout ce qu'il possède, ou presque, dans une
valise sur roulettes. «Elle renferme même mon sac de couchage», explique le
sans-abri qui se dit à la tête d'un «gros ministère de délivrance et de la
guérison». Pendant que nous étions attablés, Serge Joseph Adrien
Bourassa-Lacombe a demandé à Jean-Jacques, un homme qui prenait place à la table
voisine et avec qui il avait pris le dîner, 90 minutes plus tôt, à la
Chaudronnée de l'Estrie, s'il acceptait de devenir son agent électoral. -Non,
lui a-t-il répondu. Avant de Quitter le restaurant, Jean-Jacques a quand même
pris la peine de souhaiter bonne chance à Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe.
il va même voter pour lui.
Le Parti libéral et le Parti québécois n’ont
peut-être pas contrevenu à la loi électorale en installant leurs affiches avant
le déclenchement des élections, mais ils ont enfreint la réglementation
municipale qui interdit un tel affichage. Si la Ville de Sherbrooke avait décidé
de faire respecter ses propres lois, elle aurait pu forcer les candidats du PLQ
et du PQ à retirer toutes leurs affiches hier. Mais elle ne l’a pas fait. Hier,
le candidat adéquiste dans Sherbrooke, Peter Downey, me mentionnait, et avec
raison, que «le seul parti qui respecte les lois en place, c’est l’action
démocratique du Québec». L’ADQ devait procéder à l’installation de ses propres
affiches hier soir. «Nous ne sommes pas des suiveux. On y va selon notre plan.
Les électeurs pourront décider des sanctions à appliquer contre les tricheurs le
14 avril prochain», de dire M. Downey. Le candidat de l’ADQ a peut-être perdu la
course aux affiches, mais cela lui aura permis de marquer quelques points.»
*&*&*&*&*&*&*&*
Toujours jeudi, le 13 mars 2003, je suis au ministère de l’emploi et de la
Solidarité Sociale, j’y rencontre Jean-Guy Lahaie de 11:15 à 12:00 au 2130, rue
King Ouest. De 13:20 à 13:50, je suis au 85, rue Belvédère Sud, j’y rencontre
madame Marquis, coordonnatrice chez Coup de Pouce-Emploi. Je me rends au Mail
Boxes Etc. et je rencontre Henri Bédard & Sylvie Dionne au 1645 rue King Ouest
pour y cueillir mon courrier de 16:20 à 16:25. De 18:30 à 18:45, je rencontre
Georges, propriétaire de la Boutique du Cordonnier. À Fleur de Vie, une maison
d’alimentation naturelle, on vit un beau partage de 20:00 à 21:15 au 261, rue
Alexandre.
Le
vendredi 14 mars 2003 au matin, je croise sur mon chemin Peter Downey, le
candidat de l’ADQ, il y a un échange de vœux comme le veut la tradition.
Ensuite, je me rends chez Imprimerie Sherbrooke pour y rencontré monsieur Fritz.
Je suis à cette endroit de 13:20 à 15:00 pour y préparer un document important
pour ma campagne électorale. Je rencontre Nicolas et ses employés de
construction N. C. alors qu’ils attendaient les cartes d’affaires de leur
première entreprise. Chemin faisant en face de Distribution de Meubles R.
Fortier, 1028 rue Wellington Sud, je reconnais l’agent du SPS et/ou SPRS celui
qui le 1er juillet 2002 m’avais importuné, chez Mail Box Etc. sise au
1645, rue King Ouest. Je rentre à l’intérieur du 1028 pour y rencontré Robert de
15:25 à 15:35 et pour souligné cet événement sur sa carte d’affaire. En route
pour Coaticook en tirant ma grosse valise rouge entre deux covoiturage, j’invite
Géraldine Berger propriétaire de Bio & Alternatives produits naturelles, sise
115 rue Queen, Lennoxville à me fournir de la nourriture. Jody Lloyd a bien
choisi la nourriture que j’allais manger pour son employeur madame Berger.
Toujours le 14 mars, j’arrive à Coaticook et aussitôt que je débarque de voiture
je rencontre Christian Caron, journaliste au Progrès de Coaticook. Monsieur
Caron à démontré un intérêt certain afin de parler de ma présence en campagne
électorale même si je me présente dans le Comté de Sherbrooke. Puis de 17:00 à
17:38, je suis avec Jocelyn Marchand, propriétaire de Coaticook informatique au
111, rue Child. De 17:45 à 18:05, je convainc Marc Laroche, propriétaire de
Gaétane Fleuriste, sise au 51, rue Child, de me donner une rose que je remettrez
à une dame de Coaticook. Ensuite, je suis chez PC Express de 18:20 à 18:24, je
demande à Jérémi de transmettre un message au propriétaire Robert Poulin. Je
suis maintenant au Couche-Tard de 18:28 à 18:32.
Je
suis maintenant entrain de livrer cette belle rose rouge dans une maison privé
il est 18:40. Malheureusement cette femme est sur place mais refuse d’ouvrir. Je
dépose tout de même la rose dans sa boite aux lettres extérieur.
J’arrive chez Le Naturiste JMB aux Perles de l’Estrie, 71 rue Wellington,
Coaticook, je suis avec Sylvie Morin de 18:48 à 19:10. Finalement, je rentre
dans la Station Service C.R.C. Enr. Pour déglacer et nettoyer les roues de ma
grosse valise rouge. Je profite d’un repos de 19:12 à 19:55 et je partage ce
temps avec Egude Bilodeau et Jean-Louis Jacques, avant mon départ je leur
demande de saluer le propriétaire Yves Mongeau. Par la suite, un homme me ramène
à Sherbrooke.
Samedi le 15 mars 2003, je marche publiquement pour la PAIX dans le MONDE au
côté de Peter Downey, candidat pour l’ADQ et nous marchons avec le député
Bloquiste Serge Cardin.
Le
dimanche 16 mars 2003, je suis toujours à la recherche de signature pour ma
candidature. Dans l’après-midi je suis sur la rue King Ouest près de la rue
Wellington. J’improvise une tribune en utilisant le couvert qui recouvre un
poteau électrique qui a été coupé. En cette journée de la Saint-Patrick,
l’espace n’est pas très grande, elle l’est juste assez pour me permettre d’y
danser comme un équilibriste prônant la PAIX. Les citoyens de Sherbrooke
appréciaient le spectacle pour ma venu dans cette campagne Élection Québec 2003,
à l’exception d’un policier qui est venu serrer les dents au pied de mon
piédestal. Me disant : «Revient sur terre ou j’te monte au 9e ou au
10e» Puis il retourne à sa voiture pour se ganter de cuir noir. Pour
finalement me faire perdre tout mon prestige, j’étais capable de demeurer
équilibriste encore longtemps puisse que l’ai fait pendant 57 minutes. Lorsque
je suis tombé de mon piédestal, le policier a demandé à madame Carole Donato de
s’éloigner de nous car il ne voulais pas être emmerdé d’un témoin malgré le fait
qu’il s’avait qu’elle était mon agente électorale. Pratiquement le fait de
m’avoir privé de cette tribune entraîna les tentatives de meurtre en série qui
ont eu lieu à Montréal précisément sur la rue Crescent. Le tout a pris place
immédiatement après la Parade de la Saint-Patrick. Si vous voyez pas le rapport
moi je le vois.
Jeudi le 20 mars 2003, les agents Alain Roy & Christian Bourret, m’arrête sur le
trottoir pour m’amener au Poste de Police. Il font la vérification de tout mes
effets personnels, ensuite ils me conduisent au CLSC Camirand pour fin d’une
évaluation de ma santé mentale. Je tiens à remercier l’intervenante Karine Bégin
pour son professionnalisme.
Le
samedi 22 mars 2003, je monte la côte King Ouest, lorsque j’arrive au coin de
Camirand il est environ 04:15 lorsque je rencontre Nathalie, une jeune femme qui
pleur au coin de la rue. Je lui demande pourquoi pleures-tu? Elle me réponds que
son chum l’a laissé et qu’elle demeure loin. Je lui demande c’est où loin pour
toi? Elle me dit qu’elle habite St-Élie d’Orford. C’est alors que je lui dit :
«Il n’a plus d’autobus et je n’ai pas le moyen de payer le taxi. Ensuite,
j’enlève mon manteau de cuir pour lui expliquer toute la broderie de mon manteau
lui faisant remarquer que la broderie était la même que mon Toxedo. Puis en lui
montrant la manche de mon Toxedo, je lui lis ce qui est brodé :
«
»
Elle me demande si je peux la prendre dans mes bras celle qui ne cesse de
pleurer. Elle me dit alors : «J’ai peur» Je lui demande alors de quoi as-tu peur
? C’est à ce moment là qu’elle m’a dite qu’elle venait d’avoir été agressé
sexuellement par la police de Sherbrooke. Puis une petite voiture arrive sortant
du stationnement intérieur avec deux policiers du Service de police de
Sherbrooke. Elle me
dit
ce sont eux et me demande d’être discret. Ces policiers vont j’espère la
reconduire chez elle. Je sais commissaire que c’est seulement la pointe de
l’iceberg et que vous devriez instituer toute une enquête contre ce genre de
crime à caractère sexuel, en invitant publiquement toutes ces femmes qui ont été
abusé sexuellement par la Police de Sherbrooke.
Au
courant de l’avant-midi du 22 mars 2003, je me suis rendu au poste de la Sûreté
du Québec à Sherbrooke pour porter une plainte contre la Police de Sherbrooke
dans cette affaire d’agression sexuelle contre cette femme de Sainte-Élie.
Par
la suite, je me dirige vers le Carrefour de l’Estrie car j’ai besoin de choses
qui me serviront pour ma campagne électorale. Sur mon chemin, je m’arrête sur le
terrain de TVA sur la rue King Ouest, nous sommes samedi je sais qu’il sont
fermé. Je peux tout de même faire une prière, en m’exécutant je suis frappé
d’un étourdissement qui m’amène à frapper le mur avec ma tête. Peut de temps
après sont arrivé deux policiers de la Police de Sherbrooke dont l’Agent Alain
Roy. Les deux policiers ont été ordonnés par un haut gradé qui était assis dans
une grosse voiture américaine verte pâle. Celui-ci a dit : «Embarquez moi ça, y
a assez faite de bouffonnerie. Je ne connais pas le contenu des rapports de
police mais je sais qu’il sont faux à la lumière des rapports médicaux. Car j’ai
été conduit à l’hôpital par ambulance. L’ambulance était non nécessaire car je
m’étais servi de la neige qui se trouvait à terre pour empêcher l’enflure du
dessus de ma tête en avant.
Finalement, j’ai reçu les soins d’une infirmière à l’urgence, elle m’a nettoyer
l’éraflure avec de l’alcool. Puis j’ai été détaché de la civière pour me
demander d’attendre dans une pièce d’isolement. De cette pièce, j’ai vu les
policiers écrire leur rapport. Par la suite, j’ai tellement reçu d’Haldol &
Ativan que je ne me souviens plus des trois jours à l’Urgence de l’Hôpital Hôtel
DIEU.
Au
total, j’ai vécu 53 jours & 52 nuits parce que des policiers ont fabriqué de
faux rapports. Aors que ma condition ne nécessitait aucunement mon
hospitalisation. Dans mon rapport médical, il est écrit : «Il s’agit d’un
patient âgé de 46 ans, amené par les policiers parce qu’il a voulu prononcé un
discours électoral à la station dans un contexte délirant.» J’étais loin d’un
délire et par le fait même j’exige réparation du Service de Police de
Sherbrooke. D’autant plus que ces dernier mon mépris le 11 février 1995 avec un
autre Serge Lacombe né la même date, la même année que moi. Sans jamais se
repentir de l’avoir fait. Voici où j’en suis dans toute cette affaire, je suis
obligé de prendre des médicaments par ordonnance de cour, dont je n’ai pas
besoin.
CANADA
PROVINCE DE QUÉBEC
DISTRICT DE QUÉBEC
No: 1996 CN 1149
Dossier: 952054
QUÉBEC
ce douzième jour de juillet
mil neuf cent quatre-vingt-seize.
DÉCISION
Concernant
le changement de
nom de Serge Joseph Adrien Lacombe, le
Directeur de l'état civil rend la
décision suivante :
Le
22 novembre 1995, Serge Joseph Adrien Lacombe, né le 20 juin 1957, à Verdun,
Québec et domicilié et résidant au 103 Oxford Crescent, Lennoxville, a adressé
une demande au Directeur de l'état civil dans le but de changer son nom en celui
de Serge Bourassa-Lacombe, conformément aux articles 58 et suivants du Code
civil du Québec (L.Q., 1991, chapitre 64).
Le demandeur a fourni, au soutien de sa demande, la preuve des publications des
avis requis par l'article 5 du Règlement relatif au changement de nom et
d'autres qualités de l'état civil ;
La demande,
la déclaration sous serment du demandeur, et les pièces ont été produites au
dossier ;
CONSIDÉRANT
que le demandeur a été enregistré, en la paroisse Notre-Dame-des-Sept-Douleurs à
Verdun, sous le patronyme "Lacombe", soit celui de son père ;
CONSIDÉRANT
le désir du
demandeur d'ajouter à son nom de famille le patronyme "Bourassa", soit celui de
sa mère, dans le but de lui permettre de se distinguer de personnes qui portent
le même nom que lui ;
CONSIDÉRANT
que conformément à l'article 58 du Code civil du Québec, le Directeur de l'état
civil a compétence pour autoriser le changement de nom pour des motifs sérieux
;
CONSIDÉRANT
que le
changement de nom peut être accordé lorsque celui qui le porte connaît des
ennuis et des problèmes suffisamment graves qui pourront être atténués, voire
éliminés, par son changement de nom ;
CONSIDÉRANT
que le demandeur a démontré, à la satisfaction du Directeur de l'état civil,
qu'il avait un motif sérieux de changer son nom ;
CONSIDÉRANT
que
conformément à l'article 51 du Code civil du Québec, le nom attribué à une
personne est celui de son père ou de sa mère ou un nom composé d'au plus deux
parties provenant du nom de famille de l'un d'eux ;
CONSIDÉRANT
que le
Directeur de l'état civil s'est donné comme politique de relier le nom composé
par un trait d'union, de manière à éviter toute confusion sur l'identité de la
personne ;
CONSIDÉRANT
qu'aucune opposition, objection ou observation n'est parvenue dans les vingt
(20) jours qui ont suivi le 11 novembre 1995, date de la dernière des
publications ou avis prescrits par la loi ;
PAR CES
MOTIFS,
le Directeur de l'état civil,
AUTORISE
le changement de nom du demandeur "Serge Joseph Adrien Lacombe" en celui de
"Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe" ;
DÉCRÈTE
que l'acte
de naissance du demandeur soit modifié en conséquence.
GUY LAVIGNE,
avocat
Directeur de l'état civil
POUR M’ÉVITER TOUT PROBLÈMES AVEC LA JUSTICE…
AUCUN
TÉMOIN CIVIL MAIS DEUX TÉMOINS ambulanciers ; soit une ambulancière et un
ambulancier ainsi que trois témoins POLICIERS soit un haut gradé assis dans une
grosse voiture américaine vert pale et deux autres dans une voiture de
patrouille identifiée
!…
QUEL CALVAIRE, TOUT UN CALVAIRE, JE N’ÉTAIS POINT
EN TABARNAC SOUS CETTE CANICULE, J’ÉTAIS EN CHRIST COMME VICTOR DELAMARRE
ÉTAIT
EN DIEU. JE CROIS QUE LE TEMPS EST VENU POUR MA VILLE, POUR MA PROVINCE, POUR
MON PAYS, POUR MA PATRIE DE COMPRENDRE MES CALVAIRES ET D’ANALYSER TOUT MES
STIGMATES DU 20 JUIN 1957 09 H 12 JUSQU’À CE QUE VOUS RECEVIEZ CETTE PLAINTE.
SIGNÉ LE 22 MAI 2003 10:45 À SHERBROOKE
«Car
je n'ai point honte de l'Évangile: c'est une puissance de Dieu pour le salut de
quiconque croit, du Juif premièrement, puis du Grec, parce qu'en lui est révélée
la justice de Dieu par la foi et pour la foi, selon qu'il est écrit: Le juste
vivra par la foi. La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et
toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive,»
Romains 1:16-18
ME DAVID II
CHEF de la TRIBU de JACQUES CARTIER II depuis le
25 décembre
2002
JACQUES CARTIER II sorti du placard le
14 décembre
2001
et devenu
le SEUL & UNIQUE FOU du ROI des rois & SEIGNEUR des seigneurs le
25 décembre
2001
Serge Joseph Adrien Bourassa-Lacombe
verdun (québec) canada
20
juin 1957
09:12
Décrété par le ROI des
rois & SEIGNEUR des seigneurs pour mieux LE servir :) !...
Nommé ME
DAVID II le 25 décembre 2002
Surnommé
DAVID II le
14 mars 2002
Surnommé
Martin Luther King Jr Le Blanc Tout
Était Parfait Avec Le Noir
le 15 janvier 1996
Surnommé JACQUES CARTIER II le
11 septembre
1995
Surnommé Victor DeLamarre II le
8
JUIN 1995
Projeté
par le Collège de Sherbrooke
(MAINTENANT CÉGEP DE SHERBROOKE)
MARC LÉPINE II le 8 février 1995
Accusé -
Condamné - Maltraité Sans Droits Ni Lois - Persécuté - Torturé - Volé
Par la suite s'en suivi une démarche sans précédent
pour mon Pays le Canada et ma Province de QUÉBEC car :
je me souviens de la Belle Province !...