Key West, le 20 janvier 1996 13:45

Premier Ministre du Canada Jean Chrétien
Chambre des Communes
Édifice du Centre, pièce 309 sud
Ottawa (Ontario) Canada
K1A 0A6

Bonjour Jean,

Je t'écris en tant que Président fondateur et Contrôleur de Serge Bourassa- Lacombe's Fondation. Le 3 novembre 1995, après 175 jours sans revenu, ni aide sociale dans mon pays, j'ai réussi de Saint-Jean Nouveau-Brunswick à mettre à la poste une lettre historique par courrier recommandé =» coût 298.78 $

      Lettre écrite le 15 septembre 1995, dans la moyenne Cote Nord Aguanish, Québec, Canada : résumant 38 ans de vie en 57 pages

      Serge Lacombe baptisé Joseph-Adrien

      Né le 20 juin 1957 à 9:12 au Centre Hospitalier de Verdun

      Torturé au Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke du 11 février au 12 avril 1995 après avoir été illégalement mis sous arrestation

      Au moins 25 personnes sont impliquées dans une des plus grandes conspirations de notre histoire québécoise.

      Lettre complétée d'une annexe de 8 pages faisant part de mes projets futurs en tant que Président contrôleur d'une fondation qui est mienne, le 27 octobre 1995 dans la ville de Sussex, Nouveau-Brunswick, Canada

Cette lettre historique longue de 68 pages et destinée à l'Association Étudiante du Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke), en plus d'être copie conforme à 57 personnes me permettra de faire éclater la vérité d'autant plus renforci par cette présente lettre en provenance de Key West «The Southernmost point of North America».

Je suis le premier être humain à avoir été libéré d'une cure fermée de 57 jours sans pilules dans mes poches après avoir été drogué par force du 12 février au 13 mars 1995. En manque de cette drogue légale pendant 13 jours, drogue assez forte pour tuer n'importe quel cheval. J'ai été livré à moi-même pour combattre 4 jours de fièvre quasi mortel sans aide médicale. J'ai été privé de nourriture et on m'a torturé davantage des l'instant ou j'ai fait la grève de tout traitement médical, suite à une sévère intoxication au Lithium. Lithium dont je n'avais même pas de besoin dès le départ. Suite à plusieurs erreurs médicales répétées, l'équipe médical m'interdisant l'accès à mon dossier médical depuis mon hospitalisation, je n'avais aucune autre alternative que de faire la grève. Par contre au même moment toute une équipe médical formeront une coalition afin de me convaincre d'accepter les traitements médicales. lis ont essayé du 13 mars au 12 avril 1995 en utilisant des méthodes irrationnelles. On ne traite même pas une souris de laboratoire de la sorte car cela est interdit par la loi Canadienne pour la protection des animaux.

Le 1er mai 1995, je suis retourné au Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke) pour mes examens finaux comme technicien en Santé Animale. C'est alors qu'un professeur ne se présente pas à mon examen du 8 mai et il se permet d'arriver 90 minutes en retard le lendemain. C'était assez pour réussir un fiasco de mes études afin de protéger cette conspiration machiavélique. Malgré tout, six examens ont été réussi sur neuf, tenant compte du fait qu'on venait de me torturer pendant 57 jours peu de temps avant. Conclusion, je ne serai jamais gradué du Ministère de l'éducation du Québec, par contre j'ai toutes les connaissances nécessaires pour sauver des vies tant animales qu'humaines. 

Mes études se sont donc terminées par un fiasco le 12 mai 1995. Ceux qui ont conspiré contre moi, en me projettent comme un futur tueur de la trempe de Marc Lépine pour me priver d'un avenir prometteur dans le domaine des chevaux de courses comme assistant vétérinaire. Ces gens m'auront permis de devenir l'ambassadeur d'une cause humanitaire. Rappelons-nous du 6 décembre 1989; il est écrit «In Memorium: Geneviève Bergeron, Hélène Colgan, Nathalie Croteau, Barbara Daigneault, Anne-Marie Edward, Maud Havierwick, Maryse Laganière, Maryse Leclerc, Anne-Marie Lemay, Sonia Pelletier, Michèle Richard, Annie St-Arneaud, Annie Turcotte, Barbara Kluczick Widajewick». Ces quatorze femmes m'auront permis d'écrire cette seconde lettre, car elles savent qu'il m'est impossible de tuer. Ma mission étant de devenir un homme public de paix incorruptible au service de Jésus-Christ notre sauveur. D'ailleurs les gens formant l'équipe médicale et policière du 18 juillet 1995 savent très bien que Dieu est venu me sauver du virus cibleur qui m'a été injecté dans mes deux cuisses au Centre Hospitalier de Verdun. Moi, qui étais passé par cet hôpital pour que le médecin soigne les pieds d'un nomade ayant trop marché à la recherche de ses besoins essentiels tout en se cachant de ses conspirateurs.

Cela m'aura pris, 151 jours d'enquête personnelle soit du 12 mai au 10 octobre 1995 pour découvrir pourquoi ce fut si facile pour ces arnaqueurs de me traiter de la sorte. Un autre homme portant les mêmes: prénom, nom de famille, date de naissance soit «Serge Lacombe, 20 juin 1957». Lui étant criminel depuis 1979, «violence et sexe» envers une ou plusieurs femmes. Qui plus est, il se permis de déménager dans toutes les villes que j'ai habite depuis 16 ans. La seul différence entre lui et moi, lui yeux bruns tandis que moi yeux bleus, lui tatoué sur les deux bras et moi pas. J'ai découvert le tout à Trois-Pistoles, Québec, moi qui m'y rendais pour rencontrer Victor-Levy Beaulieu pour lui présenter Victor DeLamarre II, c'était le 11 octobre 1995. Cette journée la, j'ai été conduis au poste de police de la Sûreté du Québec, cela m'aura permis de mettre fin a mon enquête, de demander mon changement de nom le lendemain et de quitter la province de Québec le vendredi 13, même si cette révélation blessera quelque marginaux militants pour la séparation de mon pays. Je savais que je serais en sécurité en dehors de ma province, par contre je réalisa que nul n'est prophète dans son pays. C'est pourquoi, le 6 novembre 1995 je quittais le Canada en passant par Calais, Maine --» Cleared at Costums.

Pour toutes ces raisons et celles indiquées dans ma lettre du 3 novembre 1995. Je demande que mon pays me supporte et qu'une enquête publique soit confié à la Gendarmerie Royale du Canada (RCMP) concernant les événements de février 1995. Il va sans dire que je devrai présider cette enquête en tant que personne ayant été cible par au moins 25 personnes, tous étaient sous la responsabilité du Gouvernement Québécois. Je suis encore fier d'être Canadien, cependant force d'admettre d'avoir perdu cette fierté d'être québécois. Je tiens par contre a sauver mon peuple dans l'unité canadienne. Voilà la mission que Dieu m'a donnée.

Ayant reçu plusieurs contact direct avec Dieu, je ne peux plus rien cacher de cette nature et il faudra m'accepter comme tel :

      Depuis septembre 1990, je rêves prémonitoirement, c'est-à-dire que Dieu me permet de rêver mon futur.

      Depuis le 25 décembre 1994, j'ai reçu un don de clairvoyance et il m'utilise pour guérir la santé physique et mentale des êtres humains comme des animaux. Je ne prétends pas guérir, mais réalise que des gens sont guéris par ma présence. Je suis un outil pour Dieu et accepte de l'être sans redevance pécuniaire car selon moi tout le monde a le droit à la guérison.

      Depuis le 12 février 1995, je suis doué d'une force mentale herculéenne.

      Depuis le 12 mai 1995, je possède une force physique surprenante à voir le millage parcouru en vélo après avoir tant marché, je suis forcé de constater qu'avant j'étais en bonne condition physique mais jamais comme cela.

J'ai donc décidé de mettre tout mes talents au profit de l'humanité sous le nom d'une fondation qui n'appartient à personne d'autre que moi. Moi qui aide les plus faibles que moi depuis mon enfance. Dans mon pays, on m'a traité comme un vulgaire tueur de femme en me projettent comme tel. Je vous rappelle que mon nom est en procédure de changement depuis le 12 octobre 1995, de Rivière du Loup, Québec par le biais de l'aide juridique car l'état civile québécois n'a pas répondu à ma demande du mois de juin 1995, même après leur avoir expliqué mon problème. J'attends donc qu'on me livre mes nouvelles cartes d'identités pour pouvoir éventuellement retourner dans mon pays natal afin d'éduquer tous ces médecins psychiatres comment on aide les malades à guérir d'un désordre mental, pour plus de détails veuillez vous référer à l'annexe de ma première lettre. Alors, Jean Chrétien, Premier Ministre de mon pays, toi qui est natif de la Mauricie comme mes ancêtres fait en sorte que justice soit faite dans mon pays.

Je mandate maintenant Me. Annick Reinhardt de la Commission d'accès à l'information d'aller me chercher mon dossier médical. En tant que Président fondateur et homme de paix public incorruptible, j'ai droit de regard sur ce qui m'appartient. Mon dossier médical révélera en grande partie cette corruption machiavélique.

Je demande maintenant à Madame Sonia Trépanier, Présidente d'Amnistie Internationale de ne pas se laisser berner par de psychiatres véreux qui ne pensent qu'a torturer les gens, pour ne faire que plus d'argent avec eux. Tout comme votre organisation, je suis contre toute torture sous toutes ses formes.

Vous, Monsieur Alan W. Sullivan, Ambassadeur canadien siégeant à l'Organisation des Nations Unis. Je suis convaincu qu'il vous sera possible de présenter cette lettre historique lors de votre prochaine assemblée. Afin de commémorer le 50ième anniversaire de l'Organisation des Nations Unis, j'ai décidé de fonder une fondation qui aura comme mission d'enrayer toute mauvaise médecine et de renforcer les droits de nos humains pour qu'ils soient protéger autant que nos animaux.

Vous de l'Équipe J.E. =» T.V.A. en tant que Désarnaqueurs Journalistiques, je vous invite à venir me rencontrer au courant de mon séjour en Floride pour que je puisse rendre témoignage à ce peuple québécois entrain de s'autodétruire. Lors de ma première lettre, j'avais demande a Jean-Luc Mongrain et son équipe de vous remettre une copie de cette lettre du 3 novembre 1995. Je vous demande, maintenant dans faire autant c'est-à-dire d'en remettre copie à Jean-Luc cet homme de Coaticook. Vous pourrez ensuite démontrer au peuple québécois à quel point, ils vous est possible de vous débrouiller pour obtenir la vérité. Vous serez donc capable de me trouver en Floride. Nos Québécois(es), Canadiens(es) et le reste du monde sont en droit d'obtenir leur liberté de Presse. Vous en conviendrez avec moi que Serge Bourassa Lacombe's Fondation' n'a pas reçu la couverture de Presse donc elle serait en droit de recevoir, il en va de même pour son Président fondateur Une fondation est née le 13 juillet 1995 a 16:15 dans la ville de Granby (Québec) Canada, qu'on se le dise.

Toi, Jean-louis Guillemette Homme de Terre et de Paix, t'avais-je dis jadis que tu recevrais copie de cette lettre hystorique. Force d'admettre qu'il y a eu retard dans ce parcours sinueux autant que laborieux, cependant tu recevra deux lettres en même temps que 7 personnes autant importantes les unes que les autres pour ma Fondation. Tout comme mon ami Clermont se forgeron, tu es un bâtisseur québécois qui construit pour le bien de tous et le fruit de notre Créateur. 

Toi, Clermont Guay Forgeron de Saint-Jean-Port-Joli, je te demande de me faire parvenir trois de tes fers à cheval miniatures que tu sais si bien forger. Tu le fais par amour et pour la conservation de notre patrimoine. Je me souviendrai toujours d'avoir dormi sur le balcon de ta boutique de forge. À mon retour, j'aurai un souvenir pour toi en reconnaissance de ton labeur. De même, Jean-Louis tu recevra la même chose.

Et toi, Emile Raymackers, Professeur au Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke), tu sais très bien qui je suis et je t'admire pour la discipline que tu exigeais de tes étudiants(tes). Tu étais le seul qui n'avais pas peur d'eux(elles). Tout comme toi, «Je me souviens de la belle province» en 1978 tout a changé. Au moment auquel cette lettre te sera parvenu, sans aucun doute, je serai devenu un homme public que les gens auront intérêt a découvrir pour apprendre pour quelles raisons je n'ai pas tué comme ont m'a demandé de le faire. Je suis un écrivain avec une plume «Cross en or», voilà toute la différence. Tu devrais voir mon veston officiel, il est rouge se veston que j'ai trouvé à Fort Myers dans une boutique de vêtements recyclés. Rouge, la couleur de l'amour et puis que dire de cette doublure intérieur signe «Golden Bear», moi qui possède une fondation qui a pour logo une tête d'ours protectrice. Voilà ce que Dieu me fourni comme outil pour faire comprendre au monde qui je suis. J'ai refusé 10 000 $ pour ce veston officiel.

Cette lettre partira de Key West, par courrier enregistré, le 5 février 1996 et au même moment d'un autre endroit de la Floride sera expédié pour chacun d'entre vous une carte postale vous rappelant qu'un homme public de paix incorruptible est passé par le point le plus au sud de l'Amérique du Nord pour changer le monde de sa plume. Il a été prouvé à plusieurs reprise dans l'histoire que la plume est plus forte que l'épée. Je vous demande par coalition de me le démontrer ainsi qu'au 57 personnes dont j'aurai élues pour être aviser de ce geste de paix hystorique a l'aide d'une simple carte postale.

Le tout se fera à ma 269 journées sans revenu et sans aide gouvernementale. Période à laquelle, j'ai marché en faisant du pouce plus de 3000 miles (48OOkm) et roulé mon vélo de montagne avec 120 livres de bagages plus de 4000 miles (6240km). J'exige que les gens qui sont mêlé, ou de près ou de loin, à cette conspiration soient congédiés sans leurs fonds de retraite, n'ayant pas été capable de faire le travail correctement. Ceux qui offriront résistance à ce châtiment devront être dirigé en prison pour avoir participer à une conspiration en vue d'une tentative de meurtre par préméditation.

En tant que Président fondateur et Contrôleur de Serge Bourassa Lacombe's Fondation, je demande une commission d'enquête publique ouverte par la Gendarmerie Royale du Canada dont je serai le Président. Vous savez que nous possédons le taux de suicide le plus élevé au monde, nous les Québécois. Je veux obtenir le taux de suicide le moins élevé au monde pour mon peuple et j'y parviendrai en livrant témoignage et en prêchant par l'exemple. Certains disent déjà de moi que je suis prophète, d'autres vous diront que j'ai la parole d'un sage. Alors qu'on prépare cette «Porsche 928 GTS» tel que décrite dans cette annexe écrite le 27 octobre 1995.

P.S. À mon retour dans mon pays, je serai accueilli comme un héros qui reviens de la guerre avec mes nouvelles cartes d'identités. En Tant que Président fondateur et Contrôleur, je vous dis merci pour l'effort que vous y mettrez et rappelez-vous que: «Patiente et longueur de temps vaut mieux que force et que rage» disait Lafontaine. Tandis que moi depuis 269 jours, je rencontre des amis et leurs racontent mon histoire. Plus de 20 000 personnes auront eu la chance de changer une poignée de main sincère avec celui qui dit la vérité. Combien de gens la connaisse déjà cette histoire? Car un phénomène pyramidal est entrain de se produire tout au long de mon parcours. Je serai la révélation de l'année 1996, sans aucun doute.

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C.C.

    Guay Clermont, Forgeron de Saint-Jean-Port-Joli, Québec, Canada
      Guillemette Jean-Louis, Ex-président de l'UPA St Isidore, Beauce-nord, Québec, Canada
      J.E. a/s T.V.A. Désarnaqueurs Journalistiques, Montréal, Québec, Canada
      Raymackers Emile, Professeur au Collège de Sherbrooke (maintenant Cégep de Sherbrooke), Sherbrooke, Québec, Canada
      Reinhardt Annick Me., Commission d'accès a l'information, Montréal, Québec, Canada
      Sullivan Alan W., Ambassadeur canadien a l'O.N.U., New York, New York, U.S.A.
      Trépanier Sonia, Présidente d'Amnistie Internationale, Montréal, Québec, Canada